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1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Confession d’un cœur est un roman, rythmé, un peu différent.
Chaque page y possède sa propre histoire, courte mais intense.
Chaque page est une fable où les émotions dansent et se romancent.

Au fil des pages, le lecteur découvre un univers dont son cœur est le héros,
Un monde où ses émotions sont le seul rouge fil.
Pas de raison, ni de réflexion, il est invité  à se laisser bercer par le flot,
De son imaginaire et de ses pensées subtiles.

Envie d’offrir au lecteur le goût de l’implicite, le langage au-delà des mots,
Lui faire apprécier le jeu des sens et la douceur de la métaphore,
Qu’il ose s’abandonner aux vers dont je lui fais cadeau,
Qu’ils le portent au pays du rêve et des envies d’encore.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Les émotions qui me parcourent à tout moment, au présent, dans les souvenirs de moments vécus ou dans l’espoir de moments à venir.

Un mot, un geste, une expérience de vie, une image, un paysage, une personne peuvent éveiller une émotion plus intense qui est source d’inspiration. Si elle me parle, je vais fermer les yeux et l’observer, la laisser me prendre, la comprendre et l’accepter. Puis, je vais la décrire avec des mots et des métaphores, à « ma façon ».

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

J’ai toujours aimé écrire mes pensées, mes idées, mes opinions ; fortement influencé par la philosophie gréco-latine (Platon, Aristote, Horace, Socrate, Marc-Aurèle, etc.), me prenant pour un philosophe des bacs à sable, parlant à moi-même dès mon plus jeune âge.

Mais s’il est une œuvre littéraire à sortir du lot, celle qui, comme une étincelle sur les bûches de mon âme, m’a poussé à approfondir cette part de moi et l’épanouir, c’est Le Cercle des poètes disparus de N.H. Kleinbaum.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Romantique, à la fois idéaliste et sentimental, l’esprit toujours dans l’imaginaire. 

Chevaleresque, dans l’attitude et dans le geste.

Fidèle, à moi-même d’abord (ayant trop longtemps vécu dans le conformisme), à mes valeurs ensuite (d’un autre temps – chevalier), dans les relations avec l’autre (amis, amour)

5. Quelle est votre citation favorite ?

Carpe Diem – Horace (23 A.T.N.)

6. Quel est votre mot préféré ?

Lâcher-prise, tel celui qui, conscient de ses capacités et limites, vit dans l’ici et maintenant ; accepte l’autre tel qu’il est, s’offre à l’autre tel qu’il est.

"que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être, mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre." Marc-Aurèle

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Sortir prendre l’air, vivre l’ici et maintenant, me laisser envahir par les pensées et émotions de l’instant, m’asseoir quelque part, à-même le sol, sortir mon carnet, mon stylo et écrire. 

L’inspiration dans la Nature, dans l’ouverture à ce qui m’entoure et me traverse au-dedans.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Question piège. Chaque être humain est différent, partageant une part de lui dans des mots qui lui sont propres et uniques. Un livre peut-il seulement nous correspondre si tant est que quelqu’un d’autre l’ait écrit ?

Je vais répondre différemment : un livre qui m’inspire et me parle plus qu’un autre est L’écume des jours de Boris Vian.

Le livre que j’aurai aimé écrire est le roman que je suis en train de rédiger car il me correspond totalement.

9. Stylo ou clavier ?

Stylo. A l’ancienne. 

10. Le mot de la fin ?

« Dans un monde dépossédé de sa Nature, je me ferai jardinier. Je sèmerai des graines pour cultiver les cœurs et reboiser l’âme humaine ».

Citation personnelle, tel est mon crédo.

En savoir plus sur "Confession d'un coeur" : https://bit.ly/2vOkzcF

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

C’est un conte fantastique où le passé vient chambouler le présent de tous les personnages en leur faisant vivre des situations maléfiques et surnaturelles dans leur vie de tous les jours.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Le quotidien, la musique et le cinéma.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Au nom de tous les miens de Martin Gray.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Humain, généreux, compréhensif.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Il ne faut pas donner au client ce qu’il veut ; mais ce que l’on a (je suis aussi commerçant, je l’ai inventée).

6. Quel est votre mot préféré ?

Tolérance.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Attendre que l’inspiration arrive même si c’est à cinq heures du matin, je me lève et j’écris.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Les fables de Lafontaine.

9. Stylo ou clavier ? 

Stylo.

10. Le mot de la fin ?

À suivre. 

Découvrir l'ouvrage : https://bit.ly/2IV1jNG

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Une volonté de justice d’un côté, une vengeance de l’autre. Un criminologue du nom de Mickeal fera tout pour trouver le malféteur qui laissa la sœur de Leile presque mourante. Il se mettra Kassim, son ami proche et collègue qu’il considère comme son frère, à dos car tout se fera dans l’illégalité…Et oui, pour lui parfois, pour que justice soit faite il faut enfreindre les lois. Ce qui les plongera lui et Leila dans un enjeux d’ordre national.

2. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Un plein de valeurs : fraternité, altruisme, humanité, courage, justice...car comme dit si bien l’un des personnages principaux :  « Je ne peux me concernant vivre sans que justice soit faite. »

3. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Les films majoritairement, bien que mon style sois centré sur l’action. Le plus important pour moi est qu’a la fin du film de n’importe quel genre, il y ait une moral emplie de valeur (cela va de American assassin avec la persévérance, la ténacité, la volonté d’atteindre un but précis au Fast and furious avec l’esprit "Famille".

4. Quel est le livre qui vous a donné envie d'écrire ?

Antigone de Jean Anouilh dans le style d'écriture, la rigueur et la précision.

 5. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Solidaire, ouverte au monde, têtue (on est pas tous parfaits, rires).

6. Quelle est votre citation favorite ?

 Manners maketh man (Kingsman)

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Avec l’université, cela devient compliqué d’avoir une écriture régulière mais je reste entêtée et je continue pour le plaisir (pas dans le but d'être éditée ) de m’octroyer des temps de rédaction. On trouve toujours le temps lorsque l'on est passionné.

8. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je reste convaincue que le secret de la réussite est de réaliser ses projet dans l’humilité et la discrétion jusqu’à ce qu’ils aboutissent, alors Chut….

9. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

J’ai commencé l'écriture de mon livre à 15 ans, alors je n’envisageais pas de le publier, c’était selon moi bien trop espérer à cet âge. Mais par hasard, j’ai décidé d’envoyer mon manuscrit à cinq maison d’édition. Après avoir reçu cinq réponses favorables, j’ai laissé le hasard faire les choses et j’ai choisi la première maison m’ayant donné son accord : Les Éditions du Panthéon.

10. Le mot de la fin ?

Croyez en vous ! Vous allez me dire que cette phrase est culte et répétée à longueur de journée, mais elle est essentielle car si vous ne le faites pas, personne ne le fera pour vous.

Découvrez l'ouvrage : https://bit.ly/2Q4Cx1C 

 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’agit d’un roman, tiré de certains épisodes de ma vie, quinze années condensées sur six mois et ramenés à l’époque ou notre famille a quitté le clos, racheté plusieurs fois. Les deux derniers acquéreurs ont réalisé avec sérieux, une magnifique propriété.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La fratrie de huit frères et soeurs, élevée par mon père (Riton) et deux soeurs, (Jacqueline et Denise) ont tenté de m’apporter, la partie de vie sociale qui me manquait et la partie culturelle. Imaginez ces enfants livrés à eux mêmes. Claude, plieur de parachutes a mis à ma disposition sa collection de héros de l’aviation française, russe et allemande, Robert, fan des Strauss et tous les disques en sa possession. Jacques, ténor de haut niveau n’a jamais manqué de nous chanter en toutes les langues, le répertoire classique. Encore enfants, la Traviata nous était familière. Je n’oublie pas la pêche à pied, (au début non loin des carcasses de navires) très formatrice. Puis les soeurs de St Vincent de Paul m’ont fourni et commenté des livres : à douze ans, Peguy, Steinbeck, Alexandra Neel...et Robert Surcouf.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Certains de ces jeunes auteurs, études littéraires en avant, écrivent et vendent leur maîtrise de la langue et de l’histoire nonobstant un certain manque d’imagination et d’expérience. Alors, je pouvais tenter de m’aligner. J’ai lu récemment la saga de Gilbert Sinoue, relatant la vie au Moyen Orient à compter du XIVème siècle à nos jours, les colonisateurs, les massacres puis à nouveau les massacres des dictateurs et des nouveaux colonisateurs des XX et XXIème siècle sur des terres jugées trop arides, il y a 2000 ans.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Ambition...humaine. Empathie. Casse-cou.

5. Quelle est votre citation favorite ?

En effectuant une tâche, je dis systématiquement : “ Ne jamais remettre à demain, ce qu’un autre peut faire aujourd’hui”. Mais celle qui a guidé ma vie et qui -détrompez vous- est très usitée : “ C’est seulement par l’entraide et les concessions mutuelles, qu’un organisme groupant des individus en nombre grand ou petit, peut trouver sa pleine harmonie et réaliser des progrès sérieux." J.K.

6. Quel est votre mot préféré ?

Respect mutuel ou liberté individuelle.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’écris en fin d’après-midi et soirée, parfois tard. Au cours de la nuit, j’affine et je rectifie le lendemain matin.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Si j’avais étudié la géopolitique, les grands échecs politiques et l’exploitation ainsi que la négation des peuples, surtout dans les 122 pays les plus pauvres.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier au cours de mon activité professionnelle. Puis deux cents pages du roman manuscrites et...avec de l’aide, la pratique de l’informatique.

10. Le mot de la fin ?

Au suivant ! (si dieu le veut).

Pour en savoir plus sur "Le Clos - La démesure" : https://bit.ly/3asmCBT 

Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Lors d'un voyage en voiture entre Rouen et Nice, 4 personnes
déficientes visuelles et le conducteur du véhicule partagent leurs expériences sur leur handicap.

Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Je souhaite faire connaître aux lecteurs les difficultés que rencontrent les personnes déficientes visuelles au quotidien, et les manières que chacun adopte pour y faire face.

Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mes sources d'inspiration sont mes expériences personnelles et celles de personnes ayant le même handicap que moi.

Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Je lis beaucoup donc dès que je termine un livre, je me mets à mon clavier parce que je trouve fascinant de pouvoir inventer des histoires, faire évoluer les personnages et intrigues à ma guise.

Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Courage, écoute et empathie.

Quelle est votre citation favorite ?

"Les Hommes naissent et demeurent égaux en droit" : Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789.

Quel est votre rituel d’écriture ?

Je n'ai pas de rituel bien précis.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je vais continuer à écrire comme je l'ai toujours fait, parce que
c’est pour moi un besoin. J'ai quelques idées, je vais de ce fait, le plus rapidement possible, les concrétiser.

Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

J'ai soumis mon manuscrit à plusieurs maisons d'édition dont les Éditions du Panthéon qui ont su me convaincre.

Le mot de la fin ?

L'écriture a toujours été une passion, je trouve magique d'inventer des personnages, des situations, des intrigues et de m'évader en évoluant avec eux tout au long de l'histoire.

Découvrir l'ouvrage : https://bit.ly/2TdOvaV

Qu’on lise des ouvrages à la chaîne ou que la lecture évoque plutôt un vague souvenir d’enfance, les livres font partie du quotidien. Qu’importe son volume, un ouvrage est visiblement composé d’une couverture et d’un « dos » servant de supports à des informations récurrentes : titre, nom de l’auteur et résumé. Mais à l’étude attentive des composants d’un livre papier, les « codes » de l’édition se dévoilent. De la première à la quatrième de couverture, zoom sur les mentions nécessaires à toute publication.

Informations obligatoires

Lors d’une publication, il est impératif de porter les mentions légales sur l’exemplaire:

  • Le nom ou la raison sociale de l’éditeur, et son adresse.
  • Le « dépôt légal » suivi de l’indication du mois et de l’année d’exécution du dépôt.
  • Le numéro ISBN, qui permet d’identifier le livre dans le monde entier.
  • Le nom et l’adresse de l’imprimeur, ou son numéro certifié.
  • La date de création, édition et achèvement du tirage.
  • Le code-barres
  • Le prix de vente dans la devise du pays

Ces éléments sont disposés sur la couverture et sa quatrième ainsi que sur les premières et dernières pages qui encadrent l’intrigue. De la même façon, on y retrouve régulièrement le biographe et la photo de l’auteur.

Quid du biographe ?

Le biographe est la brève description du parcours de l’auteur qui figure habituellement au dos d’un livre. Ces quelques lignes peuvent permettre de mieux cerner la plume et ont parfois une véritable valeur ajoutée, notamment dans le cas d’un témoignage ou d’un récit de vie. Pour illustrer ce paragraphe, il est courant de trouver une photographie de l’auteur. Sa présence permet de mettre un visage sur un nom, mais au même titre que le biographe, elle est facultative.  En effet, ces éléments perdent de leur intérêt lorsqu’un auteur souhaite par exemple rester anonyme.

Ces codes d’édition et de publication s’inscrivent dans un cadre légal et sont donc inévitables lors de la publication d’un ouvrage.  Avec la liste des "étapes à ne pas manquer pour publier son livre" ci-dessus, pourquoi ne pas s'essayer à la tâche?

Vous avez un manuscrit à partager ? Envoyez-le au comité d’études des Éditions du Panthéon ici.

Alors que les conclusions tant attendues de l'enquête PISA 2018 ont été révélées la semaine dernière par l'OCDE, et montrent une stabilité des résultats des élèves français de 15 ans, focus sur l'ouvrage d'Olivier Marion "Paroles de Collégiens" publié aux Éditions du Panthéon, dans lequel l'auteur nous ouvre aux pensées et aux rêves de nos chères têtes blondes.

« Mao Tse Toung à était assassiné à Dallas en 1963. »
« Le chef de l’Italie s’appelait Missouris. »

Les perles de nos chères têtes blondes constituent le parcours obligé de toute année scolaire. Passé le rire, on s’interroge : ces élèves, qui sont-ils ? Les divers questionnaires qui leur sont remis, pour se présenter puis évoquer l’année écoulée, sont révélateurs des aspirations et des préoccupations d’adolescents de 11 à 16 ans. Livrées dans leur version originale, ces remarques nous ouvrent aux pensées et aux rêves des collégiens.

Avis de l'éditeur : Si ces perles de collégiens révèlent les aspirations et les préoccupations de nos ados, elles nous interrogent également sur notre système éducatif.

<< Lire un extrait >>

<< Découvrez l'interview de l'auteur >>

À l'occasion de la Journée Internationale des droits de l'enfant qui se déroule mercredi prochain, découvrez une sélection d'ouvrages liés au sujet publiés aux Éditions du Panthéon.

Photo by Juliane Liebermann on Unsplash

Un été à la campagne de Chantal Blanc

« L’été est fini.
Je n’aime plus la campagne. »

Elle a dix ans, vit dans une triste cité, entourée de ses frères et sœurs et d’une maman débordée. Et aveugle aux abus que subit sa fille. Comment grandir lorsque l’impensable se produit ? Elle, car elle n’est jamais nommée, devient une adolescente rebelle à toute autorité au point d’être envoyée dans un centre pour enfants difficiles. Les adultes, qu’ils soient sots ou bienveillants, peuvent-ils être d’un quelconque secours ?

Avis éditeur : Comment grandir lorsque l’impensable se produit ? L’auteure, qui a exercé dans le secteur médico-social pendant plus de quarante ans, aborde le sujet très sensible de l’inceste. Un roman bouleversant.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754738613/#pct0

Cachée au bout du Moi de Lisa Depray

« De longues années, j’ai été prisonnière de mon passé, de moi-même, en fait. Car ce passé, aussi difficile soit-il, a fait de moi ce que je suis aujourd’hui. »

Une enfant non désirée grandit mal aimée, maltraitée et abusée par des adultes prédateurs. Ce livre est l’appel au secours de la petite fille perdue devenue femme et qui survit grâce à son combat mené au jour le jour. Fine, précise et incisive, la plume décrit les souffrances subies et l’espoir silencieux : celui de se faire entendre, aider et, enfin, aimer.

Avis éditeur : Servi par une plume fine et précise, ce témoignage est une véritable catharsis pour son auteur. Puissant et incisif.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754738613/#pct0

Pauline, ma fille d'Yves Jalic

« Au milieu de mes appréhensions, de mes incertitudes, s’éveillait, exigeant, le désir de la voir, de la connaître, de l’aider. Je mis quelque temps à accepter son existence, mais il fallait bien l’admettre, même si elle me dérangeait profondément. J’identifiais en moi des forces puissantes qui me poussaient vers elle, auxquelles je ne trouvais aucune raison décisive de résister. Etait-ce l’appel du sang ? »

Pauline a six ans, Pauline a dans la gorge un nœud qui l’empêche de manger. Elle est en danger, blessée par la violence de son beau-père. Elle réclame la présence et l’affection de son « vrai » papa, qui, lui, ignore jusqu’à son existence. Dérangé par cette arrivée soudaine dans sa vie, le père doute de sa capacité à répondre aux attentes de sa fille inconnue. Hommage à la paternité, ce lien viscéral mais si peu évident, ce roman évoque à mots choisis la construction cahin-caha de la relation filiale.

Avis éditeur : Comment faire face à l’arrivée d’un enfant inconnu dans sa vie ? Véritable hommage à la paternité, cet ouvrage touchant évoque à mots choisis la construction de la relation filiale.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754738613/#pct0

Terrorist at home de Victoria Bell

« Je ne peux plus supporter la violence constante de mon époux. Je patiente depuis trois ans. C’est long, trois ans. »

Ce récit, basé sur des faits réels, nous rapporte l’histoire d’Emerik, un enfant qui a subi l’inceste, la pédophilie, la maltraitance. Malgré les obstacles, sa mère se bat pour le défendre, utilisant pour cela tous les moyens en sa possession, qu’ils soient médicaux ou juridiques. Entre influences politiques et francs-maçons, le lecteur découvre que la résistance et le refus de la vérité peuvent parfois venir de l’intérieur : la famille.

Avis éditeur : Basé sur des faits réels, ce récit poignant de Victoria Bell nous livre une vision troublante de la famille, dans laquelle influences politiques et franc-maçonnerie se mêlent à la résistance et au refus de la vérité.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754738613/#pct0

Jacques a dit… suce ! de Charlie Vincent-Cheer

« Puisque personne ne rêverait pour moi, je me suis mise à rêver de grandeur toute seule ; souvent, le pire vous fait espérer le meilleur.
Parfois, aussi, du pire naît le meilleur… »

« Jacques a dit… suce ! », tout est dit.
La Bergerie, un établissement évangélique comme on en trouve peu : une secte à dire vrai.
Charlie Vincent, fille unique, nourrisson, y est placée. Elle y restera 18 ans et y connaîtra tout.
À la Bergerie, le secret est partout et le silence, un choix. Jusqu’à aujourd’hui. Charlie raconte le pire et ne nous épargne rien : une histoire brutale, folle, puissante et vivante, comme Charlie, la folie en moins. Un cri à la mort mais qui transpire la vie. Une leçon.
« Jacques a dit… suce ! », un récit bouleversant, qui dérange.

Avis éditeur : Instinctif et puissant, ce témoignage de Charlie Vincent-Cheer renverse les tabous, la bien-pensance, et sans jamais céder à la facilité, amène au grand jour la bête immonde. Un véritable coup de poing sur le chemin de sa résilience !

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754738613/#pct0

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Exutoire, cathartique, thérapeutique, bol d'oxygène.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La (complexe) nature humaine.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Les fleurs du malde Charles Baudelaire.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Curieux, opiniâtre, bourreau de travail.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Pas d'abscisse sans ordonnée.

6. Quel est votre mot préféré ?

Imagination/(Logique).

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Un mot (une locution) me vient à l'esprit, je note ce qu'il (qu'elle) m'inspire en vrac, j'élabore mon brouillon, ensuite, je mets au propre.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Indignez-vousde Stéphane Hessel.

9. Stylo ou clavier ?

Les deux (selon les circonstances).

10. Le mot de la fin ?

Pour conclure, ce livre est une sorte de fusée de détresse aux laissés pour compte. Par ailleurs, ce livre est une espèce de miroir de désamour afin d'aider à tourner la page. Et enfin, ce livre est une sorte de lampe torche sur le chemin sinueux de l'amour.

Avis éditeur : Un recueil de poèmes uppercut, qui utilise les mots comme des caresses ou des coups. « Brouillard émotionnel » est une invitation à embarquer pour une destination peut-être sans retour.

Pas un livre n'est publié en France sans passer par le service du dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France (BnF). Cela représente 82 313 livres imprimés en 2018 ! L'établissement, à mission patrimoniale, dresse ainsi un inventaire exhaustif de toutes les publications réalisées en France. Et effectue un travail d'analyse détaillée par secteurs.

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Qu'est-ce que le dépôt légal ?

Inscrit dans le Code du patrimoine, le dépôt légal est l’obligation pour tout éditeur, imprimeur, producteur, importateur, de déposer chaque document qu’il édite, imprime, produit ou importe, auprès de l’organisme habilité à recevoir le dépôt en fonction de la nature du document. Cette obligation s’applique à tout document diffusé en nombre à un public s’étendant au-delà du cercle de famille.

Historique

Institué en 1537 par François Ier, le dépôt légal permet la collecte, la conservation et la consultation de documents de toute nature, afin de constituer une collection de référence, élément essentiel de la mémoire collective du pays. Il est conçu comme la mémoire du patrimoine culturel diffusé sur le territoire national et englobe donc des œuvres étrangères éditées, produites ou diffusées en France.

Objectifs

  • Collecte et conservation à long terme de tous les documents produits, dans une perspective patrimoniale
  • Constitution et la diffusion de notices bibliographiques
  • Consultation en Bibliothèque de recherche, que ce soit en salles de lecture de la BnF ou via la bibliothèque en ligne Gallica
  • Enrichissement des fonds de bibliothèques partenaires pour les documents imprimés
  • Réalisation chaque année d'un observatoire du dépôt légal 

NB : Aux Éditions du Panthéon, nous prenons en charge toutes les formalités pour déposer chaque ouvrage de nos auteurs à la BnF.