Actualités

1 - Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

J'ai pris plaisir à poursuivre ma vie de musicien improvisateur en remplaçant rythmes et notes par ponctuations et mots.

Et pour chaque nouvelle, une improvisation narrative à partir d’un souvenir, réel ou pas ; comme en Jazz, sur une mélodie et un canevas harmonique.

Et une autre, sur le même point de départ, mais beaucoup plus libre, comme de l’écriture automatique, ou de l’improvisation libre en musique.

2 - Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Je ne crois pas trop aux messages d’auteurs, sauf pour des ouvrages à caractère socio-politique. Les livres sont des bouteilles jetées à la mer.

3 - Qu’elles sont vos sources d’inspirations ?

Je suis attentif à chaque détail de la vie que je traverse, au gens que je croise, aux oiseaux qui volent et aux feuilles d’arbres qui volettent.

J’aime rire. Et je ris beaucoup, même tout seul.

Je suis un contemplatif hyperactif, un loukoum speed !!!

4 - Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

J’ai toujours beaucoup lu. Des livres m’ont réellement marqué, transformé.

L’envie d’écrire m’est venue d’un coup. J’ai cessé un jour de composer quotidiennement de la musique, et me suis amusé de m’autoriser les mots.

5 - Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Vital, optimiste, attentif.

6 - Quelle est votre citation préférée ?

« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas. C’est tout l’inverse. C’est parce que nous n’osons pas que les choses nous paraissent difficiles ».

7 - Quel est votre rituel d’écriture ? 

Aucun rituel. Je me souviens de beaucoup de mes rêves nocturnes. Je brode souvent au tout petit matin ou en pleine nuit sur ce qu’il me reste de ces songes.

Des sensations, des situations, des émotions.

J’écris vite, comme on improvise.

Et je ne relis jamais. J’aurais peur de souiller la sève en ne voulant qu’améliorer a posteriori.

8 - Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je continue à broder sur ce qui vient à ma conscience furtivement. J’ai déjà quasiment fini d’écrire un deuxième recueil.

Je le donne à relire, par petits paquets de pages, et je laisse la personne trier et dire ce qu’il convient de garder dans tout ce que je lui soumets.

Les choses viennent d’un jet, puis ne m’appartiennent plus….

9 - Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Par hasard. J’étais allé dans un ou deux salons du livre, mais ne me sentais pas « légitime » pour aller parler de ce que j’avais écrit aux stands des éditeurs.

Un journal télévisé attrapé par hasard, donnant la parole à une femme qui, pendant le premier confinement Covid, avait retrouvé dans des malles, rangées dans le grenier de la maison de sa grand-mère, des journaux intimes écrits pendant son enfance.

Elle les avait relu, triés, et avait envoyé ce qu’elle trouvait digne d’être lu à une plateforme éditoriale.

Et j’ai fait de même, optant pour les Éditions du Panthéon, car j’avais trouvé leur site et leur catalogue très classe et diversifié.

Un seul envoi ! Et bingo !

10 - Le mot de la fin ?

J’ai toujours été inclassable, là où l’on ne m’attendait pas. J’ai picoré de partout au cours de ma vie. Écrire est une énième pirouette.

La légèreté et la spontanéité…

1 - Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’agit du récit de ma transformation profonde depuis le printemps 2020. Vous pourrez découvrir le long de cette lecture, mes blessures, mes souffrances mais aussi et surtout leurs libérations. Il relate de l’éveil de conscience qui m’a mené vers la spiritualité et la découverte de ma médiumnité.

2 - Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Ce témoignage est un message d’AMOUR et d’ESPOIR. Je m’adresse directement aux lecteurs et les questionne même parfois. Ils peuvent carrément s’identifier à moi et comprendre qu’ils peuvent, eux aussi, guérir. Je leur partage comment je me suis allégée de mes masques et comment j’ai découvert mon authenticité et l’immense pouvoir intérieur que nous avons TOUS.

3 - Qu’elles sont vos sources d’inspirations ?

Tout d’abord, ce livre m’a été dicté par mon âme et certains défunts qui ont aimé m’inspirer tout le long. C’est vraiment d’eux que me viennent mes sources d’inspirations. Mais le livre qui m’a beaucoup aidé à la compréhension de mes blocages c’est « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » de Lise Bourbeau. Cette fabuleuse dame aide des millions de personnes à se découvrir et se libérer.

4 - Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

J’ai eu beaucoup de lectures qui m’ont aidées durant mon travail de développement personnel mais ce sont vraiment mon âme et mes guides qui m’ont impulsé cet élan d’écrire.

5 - Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

VIS LA VIE

6 - Quelle est votre citation préférée ?

Je vais vous en donner deux car elles me touchent et décrivent très bien mon livre « Guérir c’est toucher avec de l’amour ce qui a été précédemment touché avec de la peur » de Stéphen Levine et « Le génie c’est l’enfance retrouvée » de Baudelaire.

7 - Quel est votre rituel d’écriture ?

Mon rituel d’écriture était continuel. C’était toute la journée sans interruption et très souvent même la nuit. Le livre m’a été dicté en un mois et demi.

8 - Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Mon prochain livre sera sur « les enfants intérieurs » et les blessures transgénérationnelles.

9 - Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Le choix a été difficile pour moi car je ne connaissais pas du tout le monde de l’édition. Mais j’ai fait, comme j’agis toujours aujourd’hui, j’ai laissé choisir mon cœur.

10 - Le mot de la fin ?

J’espère de toute mon âme que le but de mon livre sera atteint en aidant et donnant de l’espoir aux lecteurs.

Découvrir "Il est temps" de Sandra Couffin : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/il-est-temps/

Lorsqu’un auteur confie son manuscrit à une maison d’édition, plusieurs étapes sont nécessaires à la publication officielle du livre. Parmi elles : la correction de l'œuvre. Une excellente connaissance de la langue française ne suffit pas à éliminer les éventuelles coquilles, c’est pourquoi il est primordial de déléguer cette phase à un professionnel. 

  • Confier la relecture de son manuscrit à un correcteur professionnel permet tout simplement d’améliorer la qualité de l’écriture d’un auteur. Les erreurs de grammaire, d’orthographe et de ponctuation peuvent être éliminées. Cela contribue à améliorer la clarté et la cohérence du texte. 
  • Un ouvrage corrigé contribue à la crédibilité de l’auteur car si le livre contient des erreurs, cela alimente une impression peu professionnelle et moins sérieuse. 
  • La correction permet de lever les ambiguïtés qui auraient pu subsister au fil des pages. En effet, l’auteur qui s’est concentré sur la conception d’une œuvre et sa rédaction peut manquer de hauteur sur ses écrits. Le filtre de la correction permet d’optimiser la bonne communication des messages de l’auteur. 
  • Ce dernier, en relayant la relecture à un professionnel, gagne un temps précieux dans la réflexion sur les aspects relatifs à la recherche ou la préparation des étapes de promotion. 
  • Le rôle d’un correcteur n’est pas de dénaturer le texte, mais bien d’identifier en toute objectivité ses faiblesses et de les neutraliser. 

Effectuer la correction d’un manuscrit en vue de sa publication est un véritable métier. Aux Éditions du Panthéon, les correcteurs sont tous certifiés Voltaire car ce critère est un gage de qualité, et il est de plus en plus recherché dans le secteur de l’édition.

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ? 

Mon roman « Terreur dans le Pingaluit » est une fiction et se veut une intrigue policière qui se déroule dans le Grand-Nord du Québec. Il est divertissant, instructif et humoristique. Il regorge de références culturelles et artistiques québécoises et françaises. Il est intriguant du début à la fin.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Je me suis inspiré de mon milieu de travail dans le Nunavik pour écrire mon roman et de mes souvenirs d’enfances et de jeunesse tout en puisant dans la gamme d’émotions que j’ai pu ressentir tout au long de ma vie.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Le livre qui m’a donné le goût d’écrire est « L’Alchimiste » de Paulo Coelho et par la suite tous les autres romans du même auteur, car ils sont divertissants et instructifs.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Il serait très difficile de me d’écrire en trois mots; cependant, romantique, passionné et généreux conviendraient à esquisser une ébauche de la personne que je suis devenue avec le temps.

5. Quelle est votre citation favorite ? 

Ma citation favorite serait « Carpe diem », car il n’y a rien de plus important que de vivre le moment présent et de savourer chaque instant que la vie et le destin nous offrent.

Mon mot préféré est « amour », car sans l’amour nous ne sommes rien.

6. Quel est votre rituel d’écriture ?

Mon rituel d’écriture est simple et basé sur mon horaire de travail. Je me lève très tôt le matin, vers 2h00, pour boire quelques bons cafés noirs et écrire, car c’est à ce moment-là que ma concentration et mon esprit créatif sont en alerte. Il va sans dire que je me couche tôt le soir.

7. Quel livre auriez-vous aimé écrire ?

J’aurais bien aimé avoir écrit le roman « Le nom du vent » de Patrick Rothfuss, car c’est un vrai charme et un pur plaisir pour le lecteur.

8. Plutôt stylo ou clavier ?

Il fût un temps durant lequel je privilégiais l’écriture manuscrite, mais à la longue je devins illisible; alors, je me suis adapté au clavier de mon ordinateur portable qui devint mon meilleur ami.

9. Le mot de la fin ?

Pour conclure je dirai que je suis un être spirituel et que j’aime bien manger, rire, m’amuser, voyager et profiter des bons plaisirs de la vie tout en respectant les conventions sociales. Je suis un passionné.

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

 Cet ouvrage est « le livre de ma vie » car je suis très préoccupé par le déclin de la France, la faillite économique à venir, la perte de son identité, les erreurs grossières de politique étrangère, et les risques de guerre civile à venir si rien ne change.

 Ce livre puissant, original, référencé, encyclopédique représente aussi la synthèse de ma pensée politique et géopolitique , ayant déjà écrit trois ouvrages sur les problèmes européens.

2. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ? 

Analyser la situation, pratiquer la politique de l’autruche, en attendant les catastrophes à venir, est inacceptable.

Il importe de dire au lecteur ce qu’il faut faire, d’une façon précise, pour sauver, redresser la France et redonner espoir à la jeunesse de notre pays pour un avenir meilleur, dans un monde multipolaire de plus en plus dangereux.   

3. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

L’Histoire de France, la philosophie, la littérature, mon passé de redresseur d’entreprises et d’homme d’action réaliste, le célèbre Professeur américain Huntington, Julien Freund, la pensée et les réalisations du général De Gaulle.

4. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

 « La décadence » de Julien Freund.

5. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

 Réaliste, érudit, courageux.

6. Quelle est votre citation favorite ?

« Il faut savoir pour prévoir et prévoir pour pouvoir ».

Auguste Comte 

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Un livre profond pour le grand public tous les 5 ans.

8. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai depuis longtemps 3 projets de livres dans mes cartons, mais je préfère écrire sur des thèmes qui peuvent contribuer à changer le cours de l’histoire de mon pays et de la civilisation européenne.

9. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Ce choix s’est fait d’une façon réfléchie pour 3 raisons :

-Les Editions du Panthéon sont une maison d’édition très sérieuse, organisée et professionnelle.

-Le contrat signé avec l’auteur est équilibré si l’on vend un minimum de livres.

-Les Editions du Panthéon permettent à l’auteur d’être imprimé et diffusé par Hachette.

10. Le mot de la fin ?

La situation de la France est très sérieuse, potentiellement explosive.

Il importe que les Français se réveillent et agissent avec des hommes nouveaux, un Homme d’Etat fort, un Etat fort...avec les forts et non plus seulement avec les faibles.

Découvrir "Comment sauver la France" : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/comment-sauver-la-france/ 

Cet ouvrage est aussi mentionné ici .

La New Romance est un genre littéraire qui met l’amour au premier plan, au travers d’histoires sentimentales et scènes charnelles explicites. Anciennement toisés, les livres de romance font leur retour en force depuis une dizaine d’années. Quèsaco ? 

Codes de la New Romance

Ce courant littéraire a pour caractéristique de mettre en scène l’amour naissant de jeunes et belles personnes au bagage sentimental bien présent. Les épisodes torrides ponctuent l’intrigue qui mène la plupart du temps à un heureux dénouement. 

Néanmoins, la New Romance n’est pas que légèreté si l’on considère que le harcèlement moral, sexuel et parfois même le viol et les violences physiques sont régulièrement évoqués en arrière-plan. 

Dans la New Romance, c’est le divertissement qui est visé et non la finesse d’écriture des grands classiques. Au fil des pages, ce qui plaît aux lecteurs -et surtout aux lectrices- est de s’évader du quotidien via ces histoires d’amour pimentées.

New Romance, l’indéniable engouement

Remis au goût du jour par la saga Fifty Shades en 2012, le genre fait de nombreuses adeptes dans le monde, et notamment en France. On note d’ailleurs l’apparition de maisons d’édition spécialisées dans ce segment, ainsi que la multiplication des titres dans les rayons des librairies et bibliothèques ! D’autre part, le festival de la New Romance se tient chaque année en France pour regrouper les amateurs et les auteurs phares des sagas adoubées. 

Parmi les plus gros succès New Romance : 

  • Fifty shades of Grey, EL James
  • After, Anna Todd
  • Calendar Girl, Kirsten Osbourne

Ces séries littéraires, comme bien d’autres qui ont vu le jour aux États-Unis, au Canada et en France, fédèrent un lectorat indéniable et fidèle à chaque nouveau volet. 

La communauté New Romance

De nombreuses sagas New Romance ont vu le jour sur Wattpad, la plateforme d’écriture interactive qui permet de partager ses écrits avec la communauté en ligne. Aussi, l’écriture devient un exercice collectif où les retours des lecteurs présents sur Wattpad influencent la suite du récit et sa publication. 

Cet engagement pour les livres de New Romance provient aussi des codes du genre, qui s’appuient sur des bases susceptibles de parler au plus grand nombre : les relations sentimentales, l’avancée d’une histoire d’amour plus ou moins compliquée et l’intimité sont des sujets dans lesquels chacun peut se projeter. 

La New Romance abrite par ailleurs des sous-genres qui apportent au récit sa particularité, et qui permettent à tous d'y trouver son compte.

Les sous-genres de la romance 

  • Chick-Lit : la « littérature pour poulettes », est écrit par les femmes pour les femmes. Cette cible peut alors s’identifier au personnage principal. Parmi les références de la Chick-Lit, on peut citer Le Journal de Bridget Jones. 
  • Dark-romance : ces récits de romance sont sombres, et les sujets interdits voire tabous s’invitent dans l’intrigue. Le climat général s’en retrouve alors tendu, voire glauque. 
  • Bit-lit : la littérature de vampires (« bit » vient du verbe « to bite » en anglais, qui signifie « mordre »). On y retrouve les codes de la romance, sur fond de fantastique et créatures surnaturelles. La saga Twilight illustre parfaitement ce qu’est le bit-lit. 

Après ce tour d’horizon de la New Romance, voici la sélection des Éditions du Panthéon pour découvrir un roman du genre : 

L’Ange… qu’il aille au Diable de Diane Délos - 19,50€

Chronique d’une rencontre inattendue : celle d’Eve et Johan. Johan est en couple, qui plus est avec un homme… Mais pour Eve, ça n’a pas d’importance. Une attirance mutuelle et inexplicable s’installe, un amour improbable se développe. En cherchant à comprendre les émotions de Johan ainsi que les siennes, Eve écrit, sans relâche. L’écriture mène à la découverte : que va-t-elle comprendre de cette situation si singulière ?

Les mots nourriciers d’Hélène Caratini - 22,50€

Hélène est une femme active, mère adoptive et célibataire, elle rêve parfois de rencontrer le grand amour, celui que seuls les ouvrages romantiques relatent. Jeanne est chercheuse dans un institut, travaille beaucoup et aimerait renouer avec le grand frisson amoureux. Toutes deux vont se trouver suite à une annonce déposée sur un site de rencontre. Une longue correspondance va alors débuter, intense, captivante, dévorante, sensuelle. Lorsque deux femmes s’éprennent l’une de l’autre par le seul biais de l’écriture.

Ces trucs qui pétillent au-dessus de nos têtes de Christine Bécel - 18,90€

La vie sens dessus dessous… Alice, quarante-cinq ans, connaît bien ses aléas.

Cela fait deux ans qu’elle a créé le « Jardin Secret », son salon de thé qui combine galerie d’art et jungle café. Deux ans qu’elle vit avec ses fils, après avoir été plaquée par son mari, pour une plus jeune qu’elle. Deux ans qu’elle a organisé sa vie autour de sa famille et de ses amies.

Et un jour il franchit la porte… et fait réapparaître ces trucs qui pétillent au-dessus de nos têtes, qui bousculent les équilibres et nous encouragent à croire que tout est possible. Mais la vie est étonnante et réserve quelques surprises, sans parler du destin qui n’en fait qu’à sa tête…

François et moi de Louise Phaneuf - 13,90€

Claudine, après avoir vécu un traumatisme, ne se consacre plus qu’à sa carrière et ses amis depuis un moment. Pour son anniversaire, elle s’offre un appartement dans une ancienne bâtisse au charme fou et découvre que son non moins charmant voisin est, entre autres, un écrivain dont elle admire le travail ! Ils apprendront ainsi à se connaître et le destin les amènera à partager des moments très intenses… Qu’adviendra-t-il de leur relation ?

Belle découverte !

Écrivez-nous 2, 3 lignes biographiques.

Fils d’ouvrier. Issu d’une fratrie de 4 enfants ayant vécu en banlieue Parisienne. Seul garçon, j’ai reçu une bonne éducation. L’école était franciscaine. Les jours de repos, j’allais avec mon père sur les chantiers pour éviter de rester dans la cité. J’ai travaillé dans un supermarché avant de partir à l’armée. Puis  ce fut dans la gendarmerie Nationale. En gendarmerie Mobile puis en départementale où j’ai passé l’examen d’OPJ (officier de Police Judiciaire). J’ai bougé en France et en outremer. J’ai ensuite ouvert un Cabinet privé d’Investigations, avant de m’orienter vers la sophrologie évolutive et je suis parti vivre au Québec. Je suis rentré en France début juillet 2022. 

Si vous étiez un livre, vous seriez….

Un beau livre ancien, relié, sur l’histoire. De l’aventure, de l’action et de la Justice et qu’il faut lire avec soin de ne pas l’abîmer. 

Si vous étiez une citation 

« Le bonheur te garde gentil
Les épreuves te gardent fort
Les chagrins te gardent humain
 et les échecs te gardent humble »

Si vous étiez un marque-page

Ce serait une fleur, une rose blanche par exemple.

Si vous étiez un discours

Je prononcerai celui de Martin Luther King. Ce serait un discours de paix et d’amour.

Si vous étiez une collection

Ce serait les blasons et insignes des militaires et des polices du monde. Les images des héros qui ont œuvré pour la paix et la liberté.

Si vous étiez un papier

Je serai du parchemin. Un papier fragile que l’on ne touche qu’avec des gants. 

Si vous étiez une bibliothèque

Un immense bâtiment regroupant toutes sortes de livres sur l’Histoire de l’humanité, sur les découvertes.

Si vous étiez une recette

Un plat Antillais.

Si vous étiez un titre de livre

Ce serait  « Justice ».

Découvrir Anika : https://bit.ly/3iL2BAc

Le roman et la nouvelle développent chacun une intrigue fictive, s’appuyant sur des personnages et un cadre spatio-temporel définis. Au moment d’attribuer un genre à son oeuvre, comment savoir s’il s’agit d’un roman ou plutôt d’une nouvelle ? Zoom sur trois clés qui permettent de différencier les deux genres. 

La longueur du récit

Dans une nouvelle, la durée de l’intrigue est moins étendue que dans un roman. En effet, le lecteur est plongé dans une situation précise et qui prend racine dans un cadre posé d’entrée par le narrateur. La nouvelle peut donc être lue en une fois ou en un jour. À l’inverse, le roman se parcourt généralement en plusieurs fois, l’intrigue étant plus complexe et pouvant couvrir plusieurs années ou différentes époques. Par conséquent, le nombre de pages est plus conséquent.

La complexité de l’intrigue 

Le roman se déroule sur un temps long et inclut donc naturellement des intrigues secondaires. Les événements ont lieu en simultanée et s’imbriquent au fil de l’histoire. En bref, dans un roman, de petites histoires cohabitent avec l’histoire principale qui se dévoile petit à petit au lecteur. De fait la distribution de personnages est plus vaste que dans une nouvelle, qui se concentre généralement sur la perception d’un seul protagoniste.

Les changements de point de vue 

Avec davantage de personnages, le roman permet d’alterner les points de vue. Cela donne du rythme au récit romanesque, mais ne ferait qu’apporter de la lourdeur dans une nouvelle reposant sur une situation simple. Là où la concision est de mise, les allers-retours d’un protagoniste à l’autre perturberaient l’avancée de l’action et rendraient la lecture laborieuse.

Le roman et la nouvelle ont chacun leur style. En tant qu’auteur, il convient de se demander dans quel genre il semble plus naturel d’écrire et surtout, lequel permettra mieux de donner vie à ses idées. Ces dernières ont-elles de quoi alimenter le temps long inhérent au roman ? Ou bien se prêtent-elles plus au condensé de la nouvelle ?  Les plumes les plus aguerries peuvent tout aussi bien mêler les genres...

Dans les rayons des librairies et sur la toile, la concurrence est rude en matière de littérature… Les bons livres sont nombreux et en tant qu’auteur, il est primordial de promouvoir son ouvrage pour toucher les lecteurs. 

Pourquoi promouvoir son ouvrage ?

De nos jours, écrire un livre de qualité et en confier la publication à un éditeur ne suffit pas à hisser son oeuvre au rang de best-seller. Il faut se démarquer aux yeux du lecteur pour le convaincre d’acheter son livre, et la communication est le levier adéquat. Parler de son travail d’écrivain, c’est lui offrir de la visibilité, et cela permet de s’approprier le discours autour de l’ouvrage tout en étendant l’univers développé dans les pages hors du livre ! Être acteur de la promotion, c’est aussi soutenir les actions de sa maison d’édition qui porte l'ouvrage.

Comment offrir de la visibilité à son livre ?

Avant de démarrer, il faut éclaircir les points suivants pour élaborer une prise de parole efficace : 

  • À qui je souhaite m’adresser ? 
  • Comment toucher ces personnes ? 
  • À quelle fréquence communiquer ? 

L’idée étant de définir un cap, pour véhiculer des messages pertinents aux bonnes personnes, en adoptant un langage qui leur parle. 

Les actions clés

Les réseaux sociaux sont incontournables. Alors que nous vivons dans une société hyper connectée, c’est sur ces plateformes que l’on peut se connecter aux lecteurs et les avantages sont nombreux à créer un profil d’auteur en ligne ! Gratuits, les réseaux sociaux permettent de toucher tous les profils dans une fenêtre horaire très large. Facebook, Instagram, Twitter, Tik Tok, LinkedIn… il en existe pour tous les goûts et tous les usages. 

De manière générale, chaque auteur possède un réseau autour de lui. Il est primordial de le solliciter pour déceler des opportunités de promotion et faire de ses proches les prescripteurs du livre. Le bouche-à-oreille est une arme de taille pour faire rayonner l’information de la sortie d’un livre. 

Il est également pertinent de se présenter à ses libraires de quartier, de se renseigner sur les évènements littéraires qui se déroulent près de chez soi, d'envoyer de l’information à la presse de sa région… Comme l’adage le dit : qui ne tente rien n’a rien ! 

En tant qu’auteur, il est nécessaire de s’armer de patience puisque les résultats sont rarement immédiats. Naturellement, la maison d’édition est un soutien précieux sur lequel s’appuyer en cas de doutes et de questions. L’expérience de l’éditeur contribue à la réassurance de l’auteur, et à aiguiller dans les démarches de promotion. 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ? 

Le livre regroupe les réponses que j'ai données à des questions qui me furent posées par une personnalité parisienne. Les questions étaient :

 - Comment pensent les Chinois ?

 - La Chine veut-elle étendre ses zones d'influence ? Imposer sa philosophie, son mode de vie au monde ?

- Où en sera la Chine, où prévoit-elle d'en être dans un an, dix ans, cinquante ans?

- Quels sont les impératifs eu égard au 1,4 milliard d'habitants de la Chine (marché intérieur, droits de l'homme, privilège des élites) ?

-  Comment la Chine gère-t-elle ses minorités, notamment au Tibet?

-  Comment la Chine gère-t-elle la minorité Ouïghour?

-  Quelle menace pèse-t-il sur Hong Kong?

-  La Chine va-t-elle attaquer Taïwan?

-  Comment la Chine voit le monde?

J'ai constaté que toutes les questions étaient à charge. Elles expriment de façon détournée des préjugés que l'on retrouve en première page de la presse française, notamment le Monde ou le Figaro. Je me suis demandé pourquoi.

Tout le monde a un point de vue sur la Chine, exclusivement construit sur de fausses informations car peu de gens ont fréquenté des Chinois ou sont allés dans le pays. 

Que tous les "blancs" aient le même point de vue n'est pas le fruit du hasard. Ce point de vue n'est pas une vérité mais une représentation intellectuelle. Le philosophe Schopenhauer a parfaitement décrit le phénomène dans sa formule célèbre " le monde est ma représentation". Nous en avons là une parfaite illustration. Cette unanimité qui remettait en question ma propre expérience avec ces gens-là m'a poussé à me dire : "mais comment fait-on pour inventer une Chine qui n'existe que dans nos médias occidentaux ? Comment fait-on pour construire cette virtualité qui exclut la réalité"?

 Ce livre est le résultat de cette quête et montre que ce n'est pas un hasard. Nous sommes endoctrinés pour être antichinois. Cette recherche prend aujourd'hui une dimension sinistre car le livre a été conçu et écrit avant la guerre d'Ukraine. Ce qui s'applique à la Chine s'applique hélas aussi à la Russie !

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ? 

Le monde et les anachronismes qu'on y rencontre. Je ne vis pas en France, je suis donc confronté régulièrement à des modes de société qui ont peu à voir avec celle qu'on vend à la télévision française. Je viens, par exemple, de traverser tous les états baltiques. C'est assez édifiant comme "fausse vérité". C'est de la diversité que nait l'inspiration. Donc le baroque de la vie m'amuse et m'intéresse. Le monde serait terriblement ennuyeux si tout était pareil, si tous les gens se ressemblaient et si la cuisine se résumait à McDonald.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ? 

"Lonesome Dove" de Larry McMurtry, qui explore la fin d'un monde au Texas. Mais mon auteur favori était Anthony Burgess.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ? 

Libre, sincère et humaniste. Pour moi, les religions sont des fables, parfois utiles souvent néfastes.

5. Quelle est votre citation favorite ? 

Chaque année, je change de citation favorite. Mais cette année, je reste à celle de Jean Jaurès : "Le courage, c'est de chercher la vérité et de la dire". Elle me paraît d'autant plus appropriée que la situation internationale compliquée que nous vivons est en train d'amener les gens à ne plus savoir ce qu'est la vérité. Ce n'est pas surprenant car le mensonge ne tue plus, surtout en politique.

6. Quel est votre mot préféré ? 

Tolérance.

7. Quel est votre rituel d’écriture ? 

D'abord j'accumule l'information en lisant et en notant. Cela n'aboutit pas toujours à un livre, ou seulement des années plus tard. Ensuite, je structure le livre. Dans le cas d'une biographie ou d'un roman, cela peut être compliqué mais pour un livre comme celui-ci, c'est différent puisqu'il s'agit de questions et réponses. 

J'écris alors un premier jet. Ce livre fait deux cents pages. Le premier jet en faisait sans doute trois cents. Pour chaque question j'avais un dossier et une foule d'articles et informations venant de sources, à 90% anglo-saxons.

Comme je parcours plusieurs journaux par jour, je les lis par internet, je sauve beaucoup de choses qui m'ont intrigué mais qui ne font pas la "une" qui est régie par d'autres règles.

Je vérifie chaque fois la source primaire. Elle dit très souvent l'inverse de ce que le titre annonçait, car le titre est surtout le travail du rédacteur en chef, en quelque sort du chef d'orchestre du jour. Il est en effet très facile de faire un "faux" en tronquant le contenu d'une information ou en changeant sa conclusion. 

Mon travail de bénédictin demande seulement d'être sans apriori sur l'information reçue. Même fausse, elle est utile. Par exemple, sur le Tibet, il existe des montagnes de livres. Néanmoins ce qui manque toujours c'est le côté historique qui vous informe que l'Empereur chinois avait mis en place deux gouverneurs, un dans chaque famille "royale" tibétaine, et marié l'une de ses filles à l'un des "ducs" locaux. Cette histoire est classique et le bouddhisme n'avait rien à voir avec l'attrait du pouvoir. Quand vous étudiez cette période assez longue, vous comprenez rapidement que l'histoire du Dalaï-Lama est un décor pour quelque chose de plus sinistre.

Je n'ai pas d'horaire. Il y a vingt ans j'écrivais la nuit. Désormais, c'est selon l'humeur ou plus exactement la maison où je suis. J'en ai plusieurs, je les aime toutes et donc je vais de l'une à l'autre selon les saisons. Le confinement français m'avait au reste bloqué dans ma ferme de Haute-Savoie. Il neigeait. C'était très beau, mais très froid. Donc j'ai écrit là ce livre. Le plus compliqué a été d'articuler les notes et de les traduire, car dans le premier jet, pour gagner du temps et ne pas ralentir la pensée, je note dans la langue qui me vient. Je passe indifféremment de l'anglais au français. Remettre le tout dans une seule langue prend du temps. 

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ? 

Les deux volumes qui suivent "Le Choc", mon premier livre sur la Chine. Ils sont finis à 80%. Raconter dans le volume 2 la guerre de cent ans en Chine (1840-1940) n'est pas une chose simple. Il y a une foule de détails savoureux. Les blancs n'y ont pas le bon rôle, mais parmi ceux il y a des personnages excentriques formidables. Le tri est difficile. Tout est passionnant.

9. Stylo ou clavier ? 

Les deux. 

10. Le mot de la fin ? 

Quand le livre est publié commence une autre histoire, son histoire. Ce sont les lecteurs qui le font vivre, le modifient, lui donnent sa raison. Pour l'écrivain, c'est un enfant qui s'en va. 

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