1 - Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon livre est un roman historique qui s'inscrit dans la période des années 1930 à nos jours.

2 - Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Ce que nos aïeuls ont vécu avant que la télé n'existe, et le qu'en dira-t-on.

3 - Quel est le livre qui vous a donné envie d'écrire ?  

Les romans de Pagnol et de Victor Hugo.

4 -Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

La vérité , l'amour et l'aventure.

5 -Quel est votre citation favorite ?

C'est simple , essayez de comprendre !

6 -Quel est votre rituel d'écriture ?

Chaque matin en me levant j'écris mes rêves et mes cauchemars pour ne pas les oublier.

7 -Quel sont vos projets d'avenir ?

Continuer ma saga pour faire rêver les femmes et les hommes sur le présent et l'avenir.

8 - Comment s'est fait le choix de votre maison d'édition ?

J'ai contacté plusieurs éditeurs, le  2 éme  qui m'a répondu est sérieux et compétant (une valeur sûre).

9 - Stylo ou clavier ?

Les deux.

10 - Le mot de la fin ? 

Lire un livre est un moment de bonheur.

L'écrire est l'aboutissement d'une vie.

L'offrir est un cadeau inoubliable.

Découvrir "La guerre et la paix" : https://bit.ly/38ONn8u

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

La plage des baleines perdues est mon premier livre en français. J’écrivais en Persan (Farsi) pendant des années, mais la plupart de mes écrits n’ont pas survécu à la lame de censure. Dans ce livre, j’ai librement loué l’amour, la passion de la vie et j’ai critiqué sans hésitation les problèmes qui ont bouleversé nos vies partout dans le monde telles que la guerre, la pauvreté, la religion et l’incompétence de certains politiciens.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La vie elle-même, avec toutes ses qualités et ses défauts, avec tous ses sourires et ses pleurs, avec toutes ses victoires et ses défaites.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Il y a beaucoup d’œuvres qui ont forgé mon esprit, mais si je dois n'en choisir qu’un seul, c’est certainement les Rubaiyat d’Omar Khayyam. Sa perception de la vie me surprend toujours.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Amoureux, ami, fils.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Quand le soleil s’éclipse, on en voit la grandeur. Sénèque.

  1. Quel est votre mot préféré ?

L’honneur.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je n’ai pas de rituel en particulier, quand les mots viennent, j’écris.

  1. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Shahnameh, le livre des rois de Ferdowsi.

  1. Stylo ou clavier ?

Clavier.

  1. Le mot de la fin ?

La vie est différente de la survie, la respiration n’est pas la seule raison d’être en vie. Tout comme le poisson de mer et le poisson d’aquarium, pour l’un le monde est limité pour l’autre l’illimité est son lit.

Découvrir La plage des baleines perdues : https://bit.ly/3MxrXv3

Si vous étiez un livre, vous seriez

« Chat-Poète Chante », ce sont des histoires de chats très sympas. J'ai accueilli de nombreux chats, aucun n'avait la-même personnalité… Très, très intéressant, d'autant que c'est le chat qui est le plus proche de la personnalité de l'homme.

Si vous étiez une citation :
« L'esprit est comme un parachute, on ne l'utilise correctement que lorsqu'il est ouvert. »

Si vous étiez un marque-page : Un marque-page Chat pour me glisser voluptueusement entre les pages d'un livre.

Si vous étiez un discours :

Merci pour tout.

Si vous étiez une collection

Je ne suis pas collectionneuse pourtant une collection de livres de poésie, La Fontaine, Verlaine, Prévert, Queneau, Devos.

Si vous étiez un papier :
Une feuille d'or véritable : extra fine, légère et pure ou bien un morceau de papier flash, à titre d'information, c'est le papier utilisé par les magiciens : Ce papier très spécial s'embrase en un éclair sans laisser la moindre trace.

Si vous étiez une bibliothèque :
la Bibliothèque Nationale de France ou celle du Sénat pour avoir toute la collection La Pléiade à demeure.

Si vous étiez une recette :

« La Salade Jifoutou » parce que j'y fous tout car c'est nippon ni mauvais.

Si vous étiez un titre de livre :

« Demandons ce que nous voulons car », essai en cours d'écriture d'Emilie Würz ; Le genre ? Pensée positive.

Découvrir les tomes I et II de Chat-Poète chante : https://bit.ly/3EQP3dh

 

Écrivez-nous quelques lignes biographiques.

Née sur les rivages de la Méditerranée, j’ai toujours écrit depuis mon plus jeune âge, pour me libérer de sensations et sentiments lourds, que je ne voulais pas garder en moi. L’écriture est devenue ainsi pour moi un moyen de garder mon équilibre psychologique en créant des histoires où des éléments biographiques se croisent avec des rêves et des espoirs (pour cette raison j’écris sous pseudonyme et je ne veux pas rencontrer directement publics et critiques ; ce que j’écris est trop personnel).

Mais avec Zarah je me suis rendue compte que je voulais aussi communiquer à un public plus large un message de tolérance et d’espoir.

J’aime la Méditerranée d’une façon viscérale et je suis de plus en plus frappée par l’incroyable développement des civilisations qui en peuplent les rivages depuis le paléolithique. Depuis des millénaires cette mer intérieure a connu des guerres, des migrations, des échanges commerciaux et culturels, des empires qui se sont effondrés, des bateaux qui ont fait naufrage… La Méditerranée pourrait nous raconter des milliers d’histoires, si elle pouvait parler.

J’ai eu envie de rappeler que, au-delà de l’actualité angoissante que les médias nous livrent chaque jour, il fut un temps où des hommes et des femmes ont réussi à cohabiter sur les rivages de la Méditerranée, à se parler et à se comprendre malgré leurs différences de culture, de langue et de religion.

Je voulais tâcher d’envoyer un message d’espoir. Dans une époque lointaine, Zarah et Ibrahim sont arrivés à se comprendre et à s’aimer, malgré tout ce qui pouvait les séparer.

 Si vous étiez un livre, vous seriez…

Seta de Alessandro Baricco

Si vous étiez une citation :

« Le voyage en Grèce est de tous les voyages que nous entreprenons le plus spirituel. Moins qu’ailleurs nous y sommes conduits par cette curiosité à demi sensuelle qui est, et a toujours été, le fond secret de tant de voyages. Et nous sommes presque déconcertés quand la Grèce… nous accueille avec ce que nous aurions le moins pensé y trouver : un parfum ensorcelant, tout oriental, mêlant la fleur d’oranger, le robinier, le laurier et le thym » H. von Hofmannsthal, La Grèce, 2012

Si vous étiez un marque-page…

Une photo de la mer en Grèce, transparente et ensoleillée

Si vous étiez un discours…

Je serais un discours bref et concis, je n’aime pas le bavardage

Si vous étiez une collection…  

Une collection de papillons

Si vous étiez un papier…

Une vieille carte postale

Si vous étiez une bibliothèque…

Je serai une petite bibliothèque nichée au sommet d’une tour, avec de milliers de livres concernant plein de sujets différents

Si vous étiez une recette…

Un fraisier

Si vous étiez un titre de livre…

L’Odyssée

Découvrir "Zarah" : https://bit.ly/3Mv2wKf

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

C'est un premier livre parce que je savais qu'il y en aurait un et qu'il était temps de l'écrire. J'y raconte la difficulté que mon père et moi avions à nous comprendre, à nous rencontrer, à nous aimer. Il avait son modèle de vie et d'éducation et moi j'avais mes besoins en tant qu'enfant. Et nous ne convergions pas. Dans ce livre je constate nos différences, je décris mon évolution et ma découverte qu'une fois adulte on ne peut pas demander à un parent d'être ou d'avoir été plus, ou différent, de qui il est ou de qui il a été. Il fait ce qu'il sait faire, avec son histoire et son époque. La seule chose que je pouvais faire était d'être qui je suis vraiment. Ce qui a permis ma réconciliation avec mon père.

Les vaches prennent une part importante du récit. Mon père était tanneur et moi j'aimais les vaches, ce qui a suscité de nombreuses anecdotes qui ont pris du sens lors de l'écriture de ce livre.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Par cette écriture j'ai pu mettre des mots sur les incompréhensions entre mon père et moi et découvrir qu'elles cachaient un amour qui ne savait pas se révéler. Cette découverte a changé ma vie, elle a permis mon évolution. Alors ce livre est une invitation au lecteur à découvrir son propre chemin de réconciliation avec ses parents. Ce peut être l'écriture ou une autre voie.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Les sujets qui me questionnent intérieurement, qui me font évoluer vers une vie meilleure sont des sources d'inspiration. Ils peuvent alors être transmis à d'autres personnes ouvertes, qui désirent également bouger leurs limites.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Mon envie d'écrire est présente depuis très longtemps, sans modèle extérieur particulier. Après une très longue gestation l'accouchement est subitement devenu urgent.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Bienveillance, ouverture, évolution me décrivent assez justement.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

"La vie n'est pas d'attendre que l'orage passe, c'est d'apprendre à danser sous la pluie."  Sénèque

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Lorsque le projet d'écrire est installé dans ma tête, je commence par emmagasiner les idées. Ensuite je structure ces idées. Ces deux étapes peuvent prendre un long temps de maturation. Ensuite pour écrire, je mets du rythme, j'écris plusieurs jours par semaine, sinon l'ouvrage risque de traîner et de ne pas sortir.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J'ai presque terminé l'écriture d'un recueil de 52 méditations que j'avais diffusées pendant le premier confinement au printemps 2020. Chaque méditation sera illustrée par un tableau réalisé par ma fille Coralie Pluchon-Bachy.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Les Éditions du Panthéon ont été les premiers à me proposer d'éditer mon livre avec une belle collaboration. C'était facile d'accepter. Je les en remercie.

  1. Le mot de la fin ?

Il n'y a pas de fin. La vie continue toujours sous une forme ou sous une autre.

Découvrir "Pour l'amour de mon père… et des vaches" de Christian Pluchon : https://bit.ly/3y2oXTl

Si vous étiez un livre, vous seriez…

Si j’étais un livre, je serais un recueil de poésies de Victor Hugo ou de Baudelaire, (ce dernier à mon instar, vomit sa douleur mais atteint ainsi les cimes)

Si vous étiez une citation

Si j’étais une citation : ‘’Les plus beaux livres sont ceux qui n’ont jamais été écrits’’ d’Anatole France.

Si vous étiez un marque-page

Si j’étais un marque page, je serais un marque page coloré et parfumé qui marquerait la 77ème page sur 377 du livre en question. Il resterait donc un gros chouille à vivre à mon livre qui telle la vie, passe à une vitesse phénoménale.

Si vous étiez un discours

Si j’étais un discours, je serais un discours poétique avec des émotions, de la beauté et de la verve.

Si vous étiez une collection

Si j’étais une collection, je serais une collection des plus beaux tableaux de Van Gogh.

Si vous étiez un papier

Si j’étais un papier, je serais un papier papyrus qui, se déroulant avec bonheur, ferait quasi vivre des vers peaufinés et des rimes mélodieuses.

Si vous étiez une bibliothèque

Si j’étais une bibliothèque, je serais la célèbre bibliothèque de Babel de l’écrivain argentin Jorge Luis Borges.

Si vous étiez une recette

Si j’étais une recette, je serais un plat qui mijote lentement comme le tajine, ou alors, un bon ragout de bœuf.

Si vous étiez un titre de livre

Si j’étais un titre de livre, je serais les ‘’Fleurs du Mal’’ de Baudelaire auquel je ressemble un peu, toujours flottant entre Spleen et Idéal.

Découvrir Vers après vers : https://bit.ly/394z7Iy

 

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il explique, au quotidien, comment peut se passer la vie d’un patient à l’hôpital, qui sait -mais ne veut pas le dire- que son issue est fatale. En parallèle, il explique la vie de son compagnon, complètement submergé de questions, de remords, de regrets. Tous deux vont s’accompagner, s’aider.

L’idée de la mort ne sera évoquée ouvertement qu’une seule fois. Mais elle sera présente à mots couverts tout au long de l’hospitalisation. L’un se débattant pour abandonner, l’autre cherchant l’énergie pour aider et accompagner au mieux.

Au fil des visites, deux êtres vont comprendre et conscientiser leur amour indéfectible.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Dans toute souffrance, dans toute épreuve, il ne suffit de pas grand chose pour trouver du positif.  Plus encore : du bonheur partagé.

Jusqu’au bout, ne jamais douter. Jusqu’au bout, chaque être est capable de trouver la force nécessaire tant physique que psychologique pour que, mutuellement, un couple puisse s’épanouir encore et encore.

Et je suis intimement convaincu qu’il en est de même pour toute expérience douloureuse. Que ce soit la perte d’un chat, la maladie d’un enfant, la mort de ses grands-parents, chacun vit dans ses tripes une douleur. Une souffrance. Alors : cherchons, cherchons comment cette tragédie peut être non pas transformée mais sublimée en quelque chose de positif.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Pour ce livre en particulier, il est évident que ma source d’inspiration a été très personnelle et intime. « Vive la vie, plus que jamais » est un condensé de notes, de mails, de remarques récupérés pendant toute cette période. Au départ, plus de 900 pages étaient retranscrites. Je pense avoir puisé dans tout cela l’essentiel.

Pour les livres en cours et j’espère à venir, mes sources d’inspiration sont la vie des autres. Leur quotidien. J’ai aussi en cours une série de nouvelles complètement imaginaires. Ou pas !

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

J’écris depuis mes 17 ans. Au départ des poèmes. Puis des nouvelles. Et des débuts de romans… Si je devais citer un livre qui m’a donné réellement l’envie d’écrire ce serait sans doutes « Bleu comme l’enfer » de Philippe Djian. Mais bien d’autres auteurs m’ont poussé. Je pense à Marcel Proust, à John Irving, à Katherine Pancol, à Jean d’Ormesson que j’ai eu la chance de rencontrer. Mais tant d’autres ! Je pense à des auteurs compositeurs interprètes comme Barbara, Yves Duteil (que j’ai pu côtoyer et avec lequel j’ai eu la chance d’échanger quelques courriers au début de sa carrière), Lynda Lemay, Mannick…

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Aimer, vivre, mourir.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Ce serait plutôt le titre d’un poème de Louis Aragon : « il n’y a pas d’amour heureux »

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Aucun ! J’ai toujours un carnet et un stylo sur moi et je note. Je note… Puis ensuite je rassemble. Je creuse dans mon imaginaire, dans mes souvenirs. Mais je n’ai pas de rituel précis. Il m’arrive d’écrire à 3h du matin comme à 5h de l’après midi. Les mots se construisent en phrases puis en paragraphes parfois. Et, à un moment donné, le besoin de rédaction survient, sans prévenir.

Si j’avais un seul rituel à donner, ça serait que je commence toujours par l’écriture manuscrite, avec quelques stylos plume fétiches.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai plusieurs projets en cours. Tout d’abord la suite de « Vive la vie, plus que jamais », qui serait un peu moins autobiographique mais pourrait donner des clés, des « lignes de conduites » permettant de se reconstruire après un drame. Comment reprendre le fil de sa vie, en en changeant le cours ou pas.

Je pense aussi proposer à l’édition un recueil de poèmes, de nouvelles, donnant, peut-être, des idées d’introspection, de réflexion.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Un contact humain, une ouverture d’esprit quant au contenu de mon livre, un accompagnement tout au long du processus de publication et après. Bref : un professionalisme.

  1. Le mot de la fin ?

Vivre… Vivre, vivre ! Profiter de chaque instant comme si c’était le dernier. Carpe Diem…

Découvrir le témoignage "Vive la vie, plus que jamais" : https://bit.ly/3jC5SP4

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’agit d’une « tranche de ma vie » qui, de façon définitive, m’a transformée à tel point que j’ai remis en question toutes mes croyances.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Plus qu’une source d’inspiration, c’est la singularité des faits eux-mêmes que j’ai souhaité écrire. Il s’agit de ma vérité, celle que j’ai vécue et eu peur d’oublier dans un premier temps. Ensuite, j’ai écrit pour répondre à une promesse d’amour que mes premiers lecteurs ont su reconnaitre ; leurs retours m’ont procuré tellement de réconfort…

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Impossible de tous les citer car chaque livre procure des émotions très différentes… Par exemple, j’ai adoré « les grandes familles » pour le style de Maurice DRUON, auteur que j’admire pour sa fascinante simplicité d’écriture mais j’aime également SIMENON ou MAIGNANT pour la complexité de leurs personnages, de leurs histoires.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Réservée (mais pas timide), assurée (mais en apparence seulement car je doute en permanence), pleine de bonnes intentions (mais comme tout le monde, je me trompe quelques fois).

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« On est toujours le con de quelqu’un » aurait ma préférence quand je suis d’humeur légère.  Cela étant, je me rappelle entendre ma mère prononcer cette autre citation lorsque j’étais enfant et que j’ai compris depuis : « va où tu veux, meurs où tu dois ».

  1. Quel est votre mot préféré ?

« AMOUR » : simple, efficace et évident.

C’est la seule et unique solution. Sans amour, quel qu’il soit, il n’y a pas de vie possible.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’adorerais avoir un rituel, cela voudrait dire que j’ai écrit beaucoup !

  1. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

« DA VINCI CODE » (pour ne citer que celui-là). Je me rappelle que j’avais beaucoup de mal à le « lâcher » le temps nécessaire à l’accomplissement de mes tâches quotidiennes. J’ai souvent lu plusieurs livres en même temps mais celui-là avait quelque chose d’hypnotique. Je l’ai tout bonnement dévoré !

  1. Stylo ou clavier ?

Les deux !

  • Le mot de la fin ?

Puisse-t-il n’être qu’un début…

Découvrir 506 : https://bit.ly/3KI8eIq

Écrire

Je m'approche d'une pièce d'eau dans un jardin de Normandie.
Un homme est là, debout, regardant quelque chose que je ne vois pas.
Accords des plantes aquatiques ? Équilibre végétal ? Sereine luxuriance ?
Vais-je l'interroger sur ses choix de telle ou telle variétés de nénuphars plantée dans son étang ? Ou vais-je l'écouter peindre la luminescence aux ombres mêlée de son Bassin aux nymphéas ? Époustouflante phanie, enfin disponible, jetée là sur sa toile et offerte aux yeux de tous.

Écrire, ce n'est pas décrire ce qu'un seul pourrait voir. Écrire, c'est emprunter un carré du monde et le rendre disponible. C'est prendre, ce qui se joue là, le temps de l'instant.
Il n'y a rien d'ordinaire dans ce que le Sentiment perçoit. Écrire, c'est effleurer, du bout du clavier, un morceau choisi, sans pour autant l'extraire de son éternité.

C'est vivre un acte poétique, non définitif,
livré à la bienveillance de chacun.
Écrire est un acte naturel, fondateur, infiniment utile, comme couper du bois ou composer un bouquet de fleurs des champs.

Je souhaite à ceux qui auront l'occasion de me lire un instant de détente.
Un instant loin des encombrements,
des sollicitations, des remises en questions.
Je souhaite qu'en parcourant quelques distances en compagnie de ces mots-là, vous gardiez cette envie renouvelée et féconde d'être vivants.

Les mots sont des perchoirs avant l'envol. Et je vous souhaite l'envol.

Découvrir "Les Dits de Silence à des fragments du chaos mêlés" : https://bit.ly/3J78XkB

Visiter le site de Michel Tauziède : www.micheltauziede.com

 Si vous étiez un livre, vous seriez….

La Bible.

 Si vous étiez une citation

"Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s'habitueront." René Char

 Si vous étiez un marque-page

Celui de notre livre.

 Si vous étiez un discours

Celui du docteur Denis Mukgewe à Oslo pour sa remise du prix Nobel de la paix.

 Si vous étiez une collection

Une collection de tableaux artistiques.

Si vous étiez un papier

Un papyrus.

Si vous étiez une bibliothèque

Nos bibliothèques respectives.

 Si vous étiez une recette

Une feuille de manioc cuisinée à la congolaise.

Si vous étiez un titre de livre

De nous transmettre vous n'avez jamais cessé.

Découvrir "De nous transmettre vous n'avez jamais cessé" : https://bit.ly/3NHdWw7