1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon livre est avant tout une thérapie. Car à un moment de ma vie je me suis mis à écrire pour mettre des mots sur des maux. Et ensuite je me suis senti mieux. C’est un recueil de poèmes qui fait part des souffrances, des pleurs et des joies de ceux partis trop tôt de chez eux. Chaque poème est aussi encré dans l’actualité.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

L’inspiration est partout. Ça peut être un mot, un cri, une discussion, la marche. Mais je n’attends plus que ce vent qui éclaire dans la production vienne m’effleurer la peau. Je tente d’écrire de tout afin d’atteindre une certaine polyvalence et courir à une sorte de réinvention.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Sans aucun doute, je pense que c’était Parolede Jacques Prévert. Pourquoi ? Parce que je me suis rendu compte du pouvoir éducateur d’un livre. Le recueil était simple, comique et divertissant à la fois. Cette poésie était différente de tout ce que j’avais lu jusque-là. J’ai alors compris que si je voulais mieux comprendre des choses, il fallait que je me nourrisse de ces rectangles de papiers gorgés de morales et d’histoires qui changent. Il fallait aussi que j’écrive.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je dirais que je suis fougueux, de nature heureuse et curieuse. Ça me définis bien je crois.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Ma citation favorite, c’est « N’arrête pas d’essayer ». Personne ne l’a dit je crois. C’est juste la phrase que je rumine toute la journée.

6. Quel est votre mot préféré ?

Je n’ai pas de mot préféré ! Car un mot tout seul n’est rien et ne vaut pas grand-chose. Ça n’a juste pas de sens quand j’exclame « métro » par exemple. Mais un alignement réfléchis, travaillé et parfait de quelques mots peuvent changer une vie. Par exemple « Aux armes miraculeuses, on a lu Césaire et Prévert / On viendra vous faire la guerre avec la parole poudrière » Gaël Faye.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’écris quelques mots tous les matins. Si rien ne me vient à la tête, je réécris ce dont j’ai rêvé la nuit ou une situation de la veille. Mais ce n’est pas tant un rituel. Je ne suis pas rigide à cela. La pratique peut changer d’un jour à l’autre.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

J’ai aimé écrire mon recueil l’Exil. Mais j’aime beaucoup La Princesse de Clèves de Madame de la Fayette. Ecrire un roman moralisateur ou d’apprentissage un jour me tenterais bien. J’y réfléchis. Il faut encore que je trouve la bonne thématique.

9. Stylo ou clavier ?

Papier sans aucune hésitation. C’est toujours bien de raturer, d’avoir un contact direct avec la matière. Pour autant, je ne blâme pas le clavier. Car souvent, dans l’inconfort d’un train ou d’une rue, une phrase venue du fond de la pensée peut se révéler au jour. Il faut alors la fixer sur quelques choses. Là, le clavier du téléphone est intéressant. On marque assez vite la phrase et revient dessus quand on est un peu plus confortablement posé.

10. Le mot de la fin ?

Ce recueil aux Editions du Panthéon est le premier d’une vie ; donc à une certaine importance. J’invite tous à le lire et à en parler. Vous vous y retrouverez sûrement. Je travaille aussi à d’autres projet actuellement et je serai très fière de partager plus avec les lecteurs dans les mois et les années à venir.

AVIS ÉDITEUR : 

Quand une expérience de vie, avec ses joies et ses peines, conduit à un recueil de poésie particulièrement d’actualité ayant pour thème les migrations et le déracinement qu’elles entraînent. Un voyage littéraire hors des frontières.

À l'occasion de la Journée mondiale d'action en faveur du droit de grève, focus sur "Une année en France", l'ouvrage de Christophe Agogué publié aux Éditions du Panthéon, dans lequel l'auteur nous entraîne dans une promenade à travers un Paris en pleine mutation urbaine et idéologique. Sous les pavés, déjà, la plage…

« Une saveur printanière doublée d’une gravité de bon aloi auréolait des visages à la fois détendus et déterminés. Les premiers slogans hostiles à l’autorité, aux forces de l’ordre et au pouvoir se fabriquaient avec une forme de spontanéité à peine contenue. »

Étouffés par le carcan moral étreignant la France gaulliste des années soixante et opposés à la société de consommation imposée, la jeunesse française s’est brusquement révoltée lors des célèbres affrontements de mai 68. Philosophe féru de politique, Christophe Agogué imagine une fresque sociale vivante, dans laquelle deux familles parisiennes se confrontent aux événements sans précédent de cette période historique.

Dans ce récit dynamique au style contemporain, il noue une intrigue prenante tout en nous interpellant sur les origines de ce mouvement révolutionnaire, à la fois poétique et idyllique, à la limite de l’utopie. À travers les péripéties de ses protagonistes, il ranime les remises en cause des modèles économiques, éducatifs et sociétaux.

L'auteur : Christophe Agogué a 55 ans, vit à Paris et travaille dans une entreprise énergétique. Il est l’auteur de plusieurs essais et romans ainsi que d'une pièce de théâtre et de deux musées imaginaires.

<< Retrouvez tous ses ouvrages ici >>

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Au début du siècle dernier à Saint-Pétersbourg, la rencontre inattendue d’une russo-arménienne avec un américain, à l’issue d’une partie de poker. Anouchka, issue de la noblesse, et John, aventurier autodidacte. Comment vont-ils traverser les épreuves qui les attendent ?...

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Tout ce qui m’entoure (musique, livre, film, évènements ….).

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Les écrits de Guillaume Musso.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Sensible, rêveuse, déjantée.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Carpe diem.

6. Quel est votre mot préféré ?

Plaisir.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Au calme en fin de soirée.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

La biographie de Simone Veil.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier.

10. Le mot de la fin ?

Prenez autant de plaisirs à lire « Anouchka Miller », que j’en ai eu en l’écrivant !

AVIS ÉDITEUR : 

Sentimental et troublant, « Anouchka Miller » conjugue mœurs d’une époque et douce romance.

La Saint Valentin, c'est jeudi prochain ! L'occasion de vous présenter une sélection d'ouvrages publiés aux Éditions du Panthéon et marqués du sceau de l'amour.

1. Desperate Girl de Delphine Zanotti

« Il y a seulement quelques jours, j’étais exactement ici à faire le bilan de ma vie, j’avais deux hommes, beaux, sexy et intelligents qui voulaient de moi et maintenant, plus rien. De nouveau, je suis seule, je suis triste, je suis aigrie et en prime, je suis complètement perdue, retour à la case départ…»

Accoudée à son comptoir, Emmanuelle se demande encore pourquoi sa vie est au point mort. Sa carrière est inexistante, son cœur à l’abandon… Que s’est-il passé ? Où cette spirale a-t-elle commencé ? Néanmoins, elle n’a pas l’intention de se laisser abattre, il est temps de reprendre son existence en main : un entretien d’embauche plus tard, notre héroïne se retrouve projetée dans sa vie rêvée. Un job passionnant, des collègues agréables et surtout, un patron aussi sexy qu’énigmatique à la réputation de tombeur, qui met les nerfs d’Emmanuelle à rude épreuve…

Avis éditeur : C'est d'une plume moderne et romantique que Delphine Zanotti nous invite à suivre les aventures d'Emmanuelle dans sa quête du grand amour, entre questions existentielles et grands éclats de rire. Réjouissant !

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

2. Parce que jeu t'aime de Sophie Mers

Depuis cette nuit, nous sommes liés l’un à l’autre par bien plus qu’une bague, une promesse, un dé ou un jeu. Depuis cette nuit, j’ai la certitude que je ne serai plus jamais seule pour affronter la vie et ses souffrances, ses joies, ses peines, ses bonnes ou ses mauvaises surprises. Je l’ai trouvée, ma moitié.

Entre un mariage empreint d’une routine soporifique et un travail loin d’être palpitant, le quotidien de Lena est terriblement morne. Après avoir surpris son mari dans les bras de sa secrétaire, la jeune femme quitte le domicile conjugal, bien décidée à reprendre sa vie en main. Avec la complicité de Vicenzo, bel inconnu entré dans sa vie par surprise, elle surpassera ses propres limites et fera, entre autres, la rencontre de John… Le récit d’une course effrénée vers un avenir plus brillant : gare aux égratignures.

Avis éditeur : Un premier roman prometteur où l'amour reprend ses droits après une trahison douloureuse. De la nécessité de se reconstruire et d'aller de l'avant avec passion !

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

3. Paris n’est jamais gris ! d'Alexandra Gripon

« Paris n’est jamais gris. Cette petite phrase anodine, si vous prenez deux minutes de réflexion, peut vous faire penser à beaucoup de choses. Beaucoup de fausses idées sont données sur cette ville. Il faut y vivre pour comprendre. C’est un endroit où vous pouvez vivre des choses absolument extraordinaires, seulement si vous acceptez d’ouvrir les yeux. »

À dix-sept ans, Shane est une jeune fille pleine d’ambitions. Prédestinée à une grande carrière et entourée de ses deux meilleures amies, elle avance vers une vie qu’elle s’imagine déjà toute tracée. Mais rien ne se passe comme prévu… Un regard, une rencontre, un attrait et une nouvelle destinée se dessinent pour ces trois Parisiennes dont les sentiments vont virevolter au gré du temps.

C’est dans un style délié que l’auteur révèle qu’une simple incartade peut faire basculer une vie. Paris n’est jamais gris ! Cette petite phrase si pleine de sens, va ainsi rythmer ce récit à coups de passion, de folie et de tendresse. Des sensations fortes, ébranlant toutes les certitudes établies jusque-là.Née à Paris, Alexandra Gripon s’est inspirée de sa propre expérience pour aborder la quête d’épanouissement. C’est par une narration originale qu’elle détaille les émotions de trois adolescentes à la recherche de leur étoile. Elle signe ici son premier roman aux Éditions du Panthéon.

Avis éditeur : À l'image de la Ville-Lumière, ce roman, doux, impétueux, met en exergue ces périodes d’incertitudes qui peuvent faire basculer une vie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

4. Assollicitation de Dimbombi

« Les agents devaient m’accompagner au tribunal. Le procureur avait demandé à me voir. Au tribunal, généralement, c’est la juste justice comme dans le texte. On n’a pas tous les moyens de se payer un avocat. De plus, celui qui vous représente vous donne l’impression de ne pas connaître son travail. Or il le connaît ! C’est tout simplement qu’il n’y gagne rien. »

Stagiaire non déclaré, sans salaire et issu d’une famille pauvre, Juvénil Nguekipi se démène comme il le peut dans un Gabon qui n’est pas tendre avec les plus démunis. Pour subvenir à ses besoins, il est contraint de se mettre à vendre illégalement du chanvre. Mais lorsqu’il est arrêté et déféré au parquet, cette activité n’est qu’un prétexte : le préfet, jaloux, l’accuse également de détourner son épouse. Pourtant, la belle Lune dont notre héros est amoureux n’est que la maîtresse du préfet… Comment Juvénil va-t-il échapper à cette machination ?

Avis éditeur : Au cœur de l’Afrique, dans un Gabon où les plus modestes se démènent comme ils peuvent pour survivre, Dimbombi nous entraîne dans les aventures rocambolesques de Juvénil. Une véritable ode à la débrouillardise !

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

5. Ultime Missive de Sarah Devin

Je voulais m’en sortir, alors j’ai entrepris de t’écrire pour guérir et avoir l’illusion de me rapprocher de tes pensées, de ta personne. Évacuer ce gouffre dans lequel se réfugiaient ces souvenirs douloureux. Pouvoir partager avec toi mon quotidien et briser ainsi ce silence destructeur. Être capable de surmonter cette absence.

Rose souffre de sa rupture et ne sait comment en guérir. Elle confie ses pensées à un carnet, utilise l’écriture comme un exutoire. Prête à tout tenter pour atteindre enfin le bonheur, elle envisage une solution extrême : rejoindre Spero, monde aseptisé censé garantir à tous un avenir meilleur. Serait-ce la solution à tous ses problèmes ou n’est-ce qu’une illusion de plus ?

Avis éditeur : Sarah Devin nous livre ici un récit poignant sur la rupture et sur la nécessaire reconstruction qui en découle.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

6. Forever, l'amour toujours, Tome II  de Cécile Blot-Vase

« Plongée dans un profond coma depuis six heures, et ayant frôlé la mort de près, j’ouvris les yeux au Sydney Adventist Hospital. Jetant un rapide regard autour de moi, je compris où je me trouvais, et constatai avec un immense bonheur, et un fort soulagement, que mon beau portoricain était à mes côtés. Il était endormi sur une chaise, sa tête déposée sur ma main droite, légèrement appuyée sur le bord de mon lit. Reprenant lentement mes idées, je fus attendrie par sa posture. Avec délicatesse, je retirai mes doigts un à un, ne voulant pas le faire sursauter. Il était terriblement beau lorsqu’il dormait, si bien que je ne pus m’empêcher de rester à l’admirer quelques secondes avant de le réveiller. »

Paloma se réveille à l’hôpital de Sydney. Rassurée de voir Rick auprès d’elle, elle absorbe sans retenue l’énergie frénétique de celui qui compte le plus à ses yeux. Aux prises avec la complexité d’une famille qui tente de l’éloigner de celui qu’elle aime, Paloma doit apprivoiser ses pulsions et apprendre à se confronter aux différents avis qui l’entourent.

Dans cette fresque en perpétuel mouvement, on retrouve l’héroïne du premier roman de Cécile Blot-Vase, paru en 2016. Avec son écriture sauvage et son sens inné de la description, l’auteure poursuit ici son exploration de l’amour au travers d’un couple que tout oppose.

Avis éditeur : Avec cette histoire d’amour au suspense haletant, Cécile Blot-Vase réussit brillamment la suite de «Forever, l’amour toujours». Tout au long du roman, le lecteur, placé en position d’observateur, voit Paloma bouillonner, mais aussi souffrir, et surtout espérer.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

<< Et retrouvez le Tome I ici >>

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon livre est une longue interrogation de l’intégration comme une injonction qui au fil du temps qui désintègre l’être de sa culture mère.

Celle vécue en Europe donne l’impression de se dissimuler derrière de faux habits.

L’objet de mon livre est d’encourager les africains à retourner chez nous ; se battre pour nos libertés et construire notre propre identité afin de compter parmi les nations libres.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Je tire mon inspiration des actualités politiques et économiques africaines, de mes expériences personnelles et des livres.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

"Quand on refuse on dit non", Ahmadou Kourouma.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Courage, persévérance, partage.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Le plus grand gain est de donner aux autres. La plus grande perte est de recevoir sans gratitude.

6. Quel est votre mot préféré ?

Transmission. Parce que pour moi, la transmission est l'essence, étant donné que chacun de nous a une partition définie à jouer et devra s'en aller. La transmission permet de perpétuer nos traces sur cette terre.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Ecrire dans mon jardin, à la lumière naturelle, en contemplant la nature.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

"En attendant le vote des bêtes sauvages", Ahmadou Kourouma.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier.

10. Le mot de la fin ?

Si nous, êtres humains, étions moins méprisants, l’humanité se porterait beaucoup mieux.

 

AVIS DE L'ÉDITEUR : 

Nakouty Lya Kely révèle ici un témoignage aussi éloquent que sincère. Loin de toute idée conspirationniste, elle part de faits observés afin de constater une réalité qui l’afflige profondément.

Le cancer constitue encore aujourd'hui la première cause de mortalité dans le monde, bien avant les guerres et autres catastrophes naturelles. En cette journée mondiale contre le cancer, nous vous proposons une sélection d'ouvrages publiés aux Éditions du Panthéon liés au sujet.

1. Crabe mayo de Juliane Allendorf

– Écoutez Madame, d’après ce que je vois, nous sommes en présence d’une tumeur. Je ne peux pas vous dire avec certitude si elle est maligne ou bénigne, mais sur notre échelle qui va de 1 à 5, je la classerais 5. Si vous avez un peu de temps, je vous reprendrai d’ici une heure pour un prélèvement. Seule une biopsie peut nous donner plus de renseignements. En attendant, allez prendre quelque chose à la cafétéria.
Je fais ce qu’il m’a dit. Je vais prendre quelque chose à la cafétéria.

Touchée par le nombre de témoignages sombres et désespérés sur le cancer, Juliane Allendorf a souhaité rendre hommage aux personnes qui l’ont soutenue durant cette épreuve. Montrer que la vie était quand même belle, que certaines situations rencontrées ont été cocasses voire vraiment amusantes, mais avant tout dire merci à tous ceux qui étaient là.

Cet ouvrage n’est donc pas un témoignage exhaustif d’une année de traitement, ni un carnet de bord, mais plutôt un recueil d’anecdotes et de souvenirs auxquels elle s’est accrochée.

Avec tendresse et lucidité, Juliane Allendorf nous entraîne ainsi sur son parcours et rappelle qu’il faut saisir toute la profondeur de notre existence. Un premier livre précieux, paru aux Éditions du Panthéon.

Avis éditeur : Debout face aux difficultés, Juliane Allendorf a franchi les obstacles de sa maladie grâce à son entourage et sa détermination. Elle signe ici un récit essentiel pour tous ceux qui de près ou de loin sont touchés par la maladie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

2. Les silences murmurés d’Agnès d'Ormesson

 Le cancer du sein touche en France une femme sur huit. Comme tant d’autres avant elle, Agnès n’a pas été épargnée : mais comment surmonte-t-on pareille épreuve ?

Comprenant subitement qu’elle fait partie des mortels, le besoin de témoigner la tenaille. Peindre ou écrire. Ce sera la plume, témoin fidèle de ses peurs, arme essentielle pour vaincre l’immense solitude et l’extrême fragilité dans lesquelles nous plonge la maladie. Miroir de sa résilience, son récit se pare de réconfort, se meut en force et se fait exutoire, pour mieux traduire le quotidien. Bouleversant de sincérité cristalline, authentique reflet d’une femme face à l’angoisse de mourir, cet ouvrage est l’essence intime et pudique de son combat pour la vie. Pour sa fille et son fils, pour son entourage, pour elle-même.

Hymne à la vie si précieuse, aide morale à toutes celles qui doivent vivre cette épreuve, ce récit est le premier ouvrage d’Agnès d’Ormesson aux Éditions du Panthéon.

Avis éditeur : Cet ouvrage est le témoignage d'une femme dont le parcours rejoint celui de tant d'autres et pourtant, sa lecture nous amène sans détour sur le chemin de la solidarité et de la force mentale. Un premier livre précieux, qui retrace l'essence même d'un combat pour la vie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736794/#pct0

3. Gabrielle de Frédéric Taiar

Gabrielle a soixante-seize ans, une vie empreinte d’amour derrière elle et une tumeur au cerveau qui lui sera bientôt fatale. Plongée dans le coma pour la soulager de ses peines, elle reçoit la visite d’un étrange passeur qui la désigne comme son successeur en charge d’accompagner les âmes en partance.

Avec justesse et lucidité, Frédéric Taiar rappelle que la vie est courte et qu’il faut en saisir toute la profondeur. Personne ne sait pour combien de temps cette intensité dure, mais cela n’a pas d’importance car l’esprit s’effacera au profit de l’héritage de l’âme…

C’est à ce degré de réflexion que nous mène ce premier roman. Partagé entre le parcours d’une vie et l’introspection, cet ouvrage nous dépasse et nous submerge du début à la fin.

Avis éditeur : Frédéric Taiar livre un premier ouvrage aussi lucide qu’éloquent. C’est avec conviction qu’il nous amène dans une dimension philosophique essentielle délivrant le secret d’une vie admirablement accomplie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

 4. Cela n'arrive qu'aux autres ! d'Odile Chalmin

 À 52 ans, un cancer du sein métastasique est diagnostiqué à Odile Chalmin. Au début, ce fut le déni, un voile posé naïvement sur la gravité de la situation. Quand enfin elle accepte de comprendre, tout s’effondre.

L’instinct de vie, tenace, lui reste au creux du cœur. Touchée mais non vaincue, elle puise au plus profond de son âme des ressources qu’elle croyait taries pour affronter ses nouveaux rivaux. La chimiothérapie, ses effets secondaires, la fatigue, la douleur et l’angoisse. Debout face aux difficultés, elle franchit les obstacles à l’aide de son entourage et de sa détermination, nourrie d’une confiance indéfectible en la vie. Profonde et inébranlable, cette conviction se prolonge au-delà de son combat contre la maladie et irradie tout autour d’elle. Sereine, elle emprunte un nouveau chemin.

À travers ce témoignage, Odile Chalmin relate plus de cinq années jalonnées de crainte, de joie, de douleur, et principalement de lutte. En vivant autrement et en s’appuyant notamment sur l’Art Thérapie, elle donne certaines clés qui peuvent aider ceux qui, comme elle, ne baissent pas les bras.

Avis éditeur : Odile Chalmin nous livre ici un témoignage aussi bouleversant que touchant. C'est avec force et détermination qu'elle nous révèle le combat qu'elle a livré pendant cinq années de maladie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736831/#pct0

5. Leucémie mon ennemie de Jean-Pierre Ciocco

En juillet 2013, Jean-Pierre Ciocco est diagnostiqué de la leucémie. Pétrifié mais pourtant confiant en la médecine moderne, il entame un traitement contre ce cancer qui s’est installé dans sa moelle osseuse.

De ce duel mené depuis trois ans, l’auteur en témoigne aujourd’hui tous les aspects : le diagnostic, les traitements abondants, les dommages collatéraux, la greffe de cellules-souches de moelle osseuse et les complications post-greffe. Parfois émaillé d’appréhension, le récit de Jean-Pierre Ciocco est néanmoins celui d’un combattant qui n’a jamais baissé les bras et continue malgré tout de positiver.

Si la thérapie de l’auteur constitue le fil rouge de son ouvrage, il fait défiler dans la deuxième partie de son récit des anecdotes qui ont ponctué sa vie et ses souvenirs les plus marquants. En remontant le temps, il se remémore son enfance dans un village du canton de Fribourg en Suisse et le microcosme de ce petit coin de campagne.

Avis éditeur : Le traitement de la leucémie constitue le fil conducteur de ce récit, éprouvant témoignage adressé à ceux confrontés à de graves maladies.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

Allo ça va bien ? Aux Éditions du Panthéon nous avons une relation chaleureuse avec nos cousins canadiens et en particulier québécois. L'occasion de vous présenter quelques ouvrages de nos auteurs qui vivent dans ce beau pays.

6 minutes 13 secondes de bonheur de Bruno Dos Santos

« Dans cette roue qui tourne, nous naissons têtard avec comme seule arme nos cris stridents, rendant serviles ceux qui doivent nous garder en vie. Une fois adultes, nous passons de maître à esclave. Esclave de notre instinct de survie, esclave de nos hormones, de nos perceptions, de nos besoins vitaux, esclaves de nous-mêmes. »

Dans ce roman sombre, mêlé de confidences autobiographiques, est abordé le sujet épineux de la famille et de sa responsabilité dans le cheminement de chacun. Abeille Vallée, la narratrice, nous plonge dans son histoire pour raconter avec verve et sincérité les mauvais tours que lui a joués l’existence… Verra-t-elle un jour le soleil derrière ce mur d’ombre qui l’entoure depuis l’enfance ?

Avis éditeur : Peut-on devenir de bons parents lorsque négligence, abus et abandon font partie du quotidien d’une famille ? Un roman touchant saupoudré d’anecdotes autobiographiques.

50 Premiers Pas de Léo Leblanc

« Se reposer sur ses jolis lauriers
En général un acte post-victoire
Dépouillé de l’âme du guerrier
J’y suis assis, sans combat auquel croire

En ce royaume de l’ambition
Impression d’être un étranger
Un message et une direction
Sans trop de sens pour pouvoir m’y ranger »

Lors d’une séance de thérapie, une travailleuse sociale propose à l’auteur d’exorciser ses démons à travers l’art de l’écriture. Ce précieux conseil bouleverse son destin, car ainsi naît Léo Leblanc : un alter ego idéaliste, à vif, doux et rageur, qui jette un regard tantôt passionné, tantôt désabusé sur la réalité du monde et le tumulte des émotions.

Avis éditeur : D’une plume sensible et exacerbée, Léo Leblanc nous invite à découvrir une poésie passionnée et bouleversante sur notre monde complexe.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

Les chants des Cieux de Sarah Belaz

« Un père dit un jour à son fils :
– Cesse de mentir, car il est une chose blâmable que de troubler l’équilibre réel, qu’il soit le tien ou celui d’autrui. Le mensonge est une tromperie, et le Seigneur n’aime pas les trompeurs. »

De sa plume passionnée, Sarah Belaz offre une ode à la vie, aux émotions et à l’amour infini. Dans une quête de sagesse portée par les mots et les sentiments, elle ouvre son cœur sans concession, nous exhortant à savourer nos joies comme nos peines. L’écriture devient célébration du divin, tout en exaltant la beauté de l’âme humaine, sous la moindre de ses facettes.

Avis éditeur : Sarah Belaz nous invite à découvrir sa plume passionnée dans ce recueil de poésie empreint de spiritualité et de philosophie. Pour méditer.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

Sortie de l’enfer pour arriver au paradis de Reina-Lise Vallée

« Je ne voulais pas mourir ainsi, sans avoir vu Sylvain, sans qu’il sût ce qui m’arriverait. C’était trop affreux, surtout pour mon fils à qui j’avais promis d’être éternelle. »

Chacun rencontre des souffrances, parfois héritées, parfois subies. La narratrice nous rapporte son dur chemin de vie, de la descente aux enfers jusqu’à sa victoire sur ses addictions grâce à sa force intérieure. Une ode à la résilience et à la détermination qui nous élèvent hors du chaos.

Avis éditeur : Véritable ode à la résilience, ce témoignage de Reina-Lise Vallée raconte le parcours de vie de l'auteur, de sa descente aux enfers à sa rédemption. Un message inspirant et porteur d'espoir.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

Le secret du diamant aux reflets d'argent de Pascal Wurffel

« Danny marche d’un bon pas pour ne pas rater son autobus, la tête pleine de calculs et d’équations, afin d’être prêt pour son examen. Il croise les mêmes personnes chaque matin et, comme à son habitude, leur fait un signe de tête ou un sourire en guise de salut. Danny est un garçon bien élevé, malgré le parcours chaotique du début de sa jeune vie. »

Danny Fortier a connu des moments difficiles. Orphelin, il a été placé de famille en famille avant de finalement rencontrer Marthe, sa tutrice. Dans l’établissement scolaire qu’il fréquente, il côtoie une jeune fille chère à son cœur, Jade. Mais sa vie va être bouleversée par sa rencontre avec les maîtres de l’univers… L’aventure peut alors commencer.

Avis éditeur : Premier roman de Pascal Wurffel, « Le secret du diamant aux reflets d’argent » nous entraîne dans les aventures fantastiques de Danny Fortier avec les maîtres de l’univers. Une imagination foisonnante servie par une plume maîtrisée.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

Deux Frères au Klondike… La véritable histoire de Mario Bergeron

Ensemble, nous avons traversé le pays et la piste Chilkoot. Ensemble, nous avons bâti notre radeau et affronté le fleuve Yukon. Ensemble, nous avons touché le ciel, frôlé la mort, j’en suis persuadé. Ensemble, nous avons trouvé de l’or, beaucoup d’or.

Arrière-arrière-petit-fils d’un chercheur d’or de la ruée de 1898, à 55 ans et sans expérience, l’auteur se laisse entraîner par son frère dans un périple en Alaska et au Yukon, sur les traces de leur ancêtre. Sur la légendaire piste Chilkoot et à bord du radeau qu’ils ont construit, les deux frères vivent plus qu’une expédition dans le Grand-Nord. De rencontres en rencontres, ce voyage dans le temps les transformera à jamais.

Avis éditeur : Partez pour un véritable voyage initiatique en Alaska et au Yukon, à travers ce récit passionnant sur la légendaire piste Chilkoot où l'on suit le périple de deux frères sur les traces de leur ancêtre.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

Et pour finir n'oublions pas Thierry De Greef, à qui nous avions déjà consacré un article il y a quelque temps, ainsi que Germain Nyada et Marie Lasbleiz.

 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

C’est une transposition humoristique et quelque peu satirique d’un fait divers du 18ème siècle (mais quel fait divers !) dans la société contemporaine. Cet ouvrage a pour finalité une signification morale qui n’épargne personne, ni les petits, ni les grands. Il faut dire quand 250 ans la société d’alors, essentiellement prolétarienne, misérable et fortement imprégnée religieusement a bien changé de paradigme.

Dans cette sorte de parodie, je ne néglige pas pour autant le déroulement chronologique des horreurs qui se produisirent à cette époque et le rôle que jouèrent les principaux protagonistes tels le Roi , l’Evêque de Mende, le Capitaine des Dragons, le Grand Louvetier de Normandie, le Porte-Arquebuse Royal et Jean Chastel qui tua la bête.

Je ne suis pas un historien de cette dernière mais j’agrée a la thèse, et je m’en inspire, des chercheurs sérieux et reconnus. Si la Bête n’a pas livré tous ses secrets une chose est sûre : à ce jour 79 victimes ont été répertoriées et authentifiées. Mais le but de cet ouvrage n’est pas de refaire l’Histoire. Ce qui m’intéresse, c’est l’évolution des mœurs et de la société.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

D’abord je suis originaire du Gévaudan, l’actuelle Lozère.  Je suis, si je peux m’exprimer ainsi, tombé très tôt dans la gueule du loup ! A 16 ans je lisais le livre de l’Abbé Pourcher qui fût le premier à relater les méfaits de la Bête en 1889 et qui s’intitule : « la Bête du Gévaudan, véritable fléau de Dieu ».

J’ai lu ensuite celui de Henri Pourrat : « Histoire fidèle de la Bête du Gévaudan », et enfin une bonne partie de tous les autres. Je dis « une bonne partie » car il y en a aujourd’hui environ 300 ! Et j’avoue ne pas les avoir lus tous.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Sans doute le livre de l’historien de la Bête Bernard Soulier : « La Bête du Gévaudan et ses victimes ».

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Volontaire, assidu, déterminé.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres, ainsi beaucoup d’ennuis te seront épargnés », Confucius.

6. Quel est votre mot préféré ?

Passion.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

En général le matin, dans le silence mais aussi parfois dans la journée quand une idée me traverse l’esprit. Dans tous les cas, je dois m’arranger pour être seul. Car, comme l’a dit Platon il y a 2400 ans : « il n’y a rien de plus préjudiciable pour l’homme qui travaille que la présence de ceux qui n’ont rien à faire » ! Une citation qui traverse les siècles.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Mon cœur balance entre plusieurs : Le Grand Meaulnes de Alain Fournier, Le Petit Prince de St Exupéry, L’Etranger de Camus.

9. Stylo ou clavier ?

Le stylo. Atteint d’une grave déficience visuelle depuis 4 ans, ne pouvant plus dessiner, peindre, utiliser une tablette graphique, j’ai dû abandonner l’ordinateur et mes activités artistiques. L’écriture est devenue pour moi un exutoire. Je peux écrire mais je dois me relire avec une loupe électronique. Mon exutoire est venu de lui-même car j’ai toujours aimé l’écriture et la langue française, très riche, peut-être même trop riche  pour ceux qui veulent  l’apprendre .

J’ai écrit des poèmes, une conférence très détaillée sur la Tapisserie contemporaine et de nombreux textes se rapportant à mes cours d’histoire de l’art ou à mes expositions ( Site sur  Internet). J’aime une écriture fluide, limpide. A 85 ans, certains mots m’échappent parfois ainsi que leur orthographe. Je m’efforce d’être clair, précis. C’est quelquefois  difficile. Je pense souvent à Racine qui « faisait difficilement des vers faciles ».

10. Le mot de la fin ?

Espérer que les progrès de la science, des sciences fassent un jour le bonheur des hommes et non leur malheur. La planète est fragile. Elle doit rester viable. L’homme doit pouvoir prospérer dans un environnement sain. Il est seul responsable de son avenir et de celui de la planète.

Les humains doivent s’efforcer de respecter leurs différences, la nature, les animaux … Mais la prise de conscience de ces facteurs vitaux relève de la Sagesse. Et ce n’est pas la chose du monde la mieux répartie !

 

AVIS DE L'ÉDITEUR : 

Dans ce récit chimérique, René Crozat interprète, transpose et compose brillamment. C’est avec talent qu’il réussit l’exercice du pastiche !

En ce Blue Monday censé être le jour le plus déprimant de l'année, rien de tel qu'une sélection d'ouvrages empreints de simplicité et d'optimisme pour repartir sur de bonnes résolutions.

1. "Nouveau départ" de Célia Zaïd

« Pourquoi l’humain est-il malheureux ?
Pourquoi personne n’a trouvé une solution à ce mal-être général ?
Qui peut nous aider ?
Le bonheur existe-t-il ?
J’ai cherché.
J’ai cherché pour moi et j’ai trouvé pour nous.
Je me suis formée et j’ai étudié de nombreuses techniques de thérapies orientées solution et vous propose de les découvrir dans ce livre.»

Être en accord avec soi-même et apprendre à s’aimer, vaste programme !
Dans cet essai, Célia Zaïd, Maître Reiki et coach personnel, nous propose de nous découvrir de façon ludique, et grâce à des concepts novateurs.
Avec ses enseignements simples, et s’appuyant sur des techniques de thérapie douce, cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui souhaitent prendre un nouveau départ dans leur existence.

Avis éditeur : Prêts à prendre un nouveau départ sur la route de la connaissance et de l’amour de soi ? Grâce à des concepts simples et ludiques, Célia Zaïd nous aide à résoudre les conflits qui nous animent.

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2. "La première fois, on fait un vœu en ouvrant la porte" de Alicianne Vidal

« Il émane d’Elféa une sorte de magie.
Je suis touchée par la simplicité de ses manières.
Je me sens minuscule à côté d’elle, et même un peu à l’étroit dans mon être.
Elle ne se rend pas compte de ce don précieux qu’elle a reçu.
Elle veut partager avec moi la beauté qu’elle voit partout alentour. »

C’est dans un décor champêtre qu’Axelle, une adulte désenchantée, rencontre Elféa, une fillette de sept ans pétillante qui inspire et transmet sa joie de vivre.
À son âge, Elféa surprend par sa maturité. Elle jongle avec les pensées et donne l’impression d’être totalement habitée par la vie en participant de tout son cœur à son embellie. La question est de savoir si sa flamme de vie ravivera celle d’Axelle.

Dans son premier ouvrage rédigé en 2004, remodelé au gré des années jusqu’à sa version aboutie selon ses critères, l’auteur Alicianne Vidal exprime son engouement pour les valeurs authentiques et la beauté du vivant. Le style gracieux de ce récit initiatique, avec ses personnages atypiques trouve sa source dans un univers intérieur invitant à la liberté d’être soi et de créer.

Avis éditeur : Alicianne Vidal propose un premier ouvrage habile et sincère sur l’importance des choses simples. Ce récit, tourné sur la valeur éducative des activités artistiques, s’inscrit comme témoin de la jeunesse qui finalement ne fait que passer. Le temps n’a pas de prise…

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3. "Sept jours de réflexion" d'Amandine Petit

« Semaine n° 1
Le miroir ne reflète pas la réalité, mais parfois il te fait comprendre la vie.»

Coucher sur le papier ses états d’âme, c’est prendre le temps d’aller à la rencontre de soi. Armée d’une feuille, d’un crayon et de son esprit, Amandine Petit se prête à l’exercice de l’introspection pour en extraire ses propres maximes. Sa façon singulière de grandir, mûrir ou peut-être de s’approprier son existence…

Ainsi, ce recueil effeuille le rythme de la vie et révèle que l’écriture de soi jaillit d’une nécessité de trouver les traces de l’intime dans l’idée de faire passer des messages. Trouver un écho n’est pas la question, mais simplement une façon de dévoiler ses failles, anciennes traces du passé, pour démontrer qu’on s’en est finalement relevé.

Avis éditeur : Ce recueil renferme toutes les clefs pour reconsidérer ses états d’âmes et avancer vers l’avenir d’un pas décidé.

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4. "Tsadé" de Martine Ray

« 7 novembre 2012. 7 heures. Après une énième nuit sans sommeil, Ema prépare le petit déjeuner pour toute la famille. En ce matin, elle se dit que tout va bien, qu’elle a un mari aimant, directeur financier dans une entreprise stable, que sa fille de 18 ans évolue sans soucis majeurs et qu’elle vit dans un appartement confortable dans une jolie banlieue. Vraiment : TOUT VA BIEN. Comme un mantra, dans sa cuisine, Ema se répète, en boucle, que tout va bien… »

Cadre dans un grand groupe bancaire, Ema est une femme qui se veut accomplie. Elle vit avec Pierre, son mari aimant, et Angèle, sa jeune fille de dix-huit ans. Pourtant, Ema n’a de cesse de s’interroger. Une façon pour elle de se rassurer ? De Paris à Amman, son voyage se fera dans le mouvement et la quête de son épanouissement total. Car après tout, c’est peut-être la recherche la plus importante des individus du XXIe siècle…

Tsadé, dix-huitième lettre hébraïque, signifie hameçon. C’est également le symbole de la moralité, de la justice, de l’énergie. C’est ce travail de réflexion sur soi qui amène la tolérance, l’envie d’être réel avec autrui et d’éloigner les jugements. Chacun d’entre nous peut être Ema, Pierre ou Angèle. Mais qui arrive réellement à être soi ?

Avis éditeur : L’histoire d’Ema peut donner à chacun le moyen de se reconnaître en elle et de porter un regard différent sur soi et sa relation à l’autre. Un roman qui donnera à tous l’envie de vivre dans l’amour afin d’accéder à la pleine réalisation de soi.

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5. "Regardons vers la lumière" de Catherine Mirande

« Dans toute relation, à un moment ou à un autre de notre vie, nous avons fait des promesses, il nous en a été fait, pour la plupart non tenues.
Tout notre être a été animé de joie ou de déception selon les circonstances.
Nous vivons au rythme de ces espérances. L’espoir, c’est bien cela qui guide notre vie. « L’espoir fait vivre », dit-on, mais que signifie cette expression ? Que nous devons croire aveuglément en quelqu’un ou à quelque chose ? »

Dans ce livre, Catherine Mirande explore les croyances qui nous privent d’un bonheur et créent des souffrances inutiles. Le chemin est tortueux et semé d’embûches, mais quelle satisfaction de parvenir à dépasser le stade des illusions perdues. C’est dans un ensemble structuré, qu’elle démontre comment se libérer du conditionnement collectif afin de retrouver un enthousiasme et la voie de sa propre liberté intérieure.

Elle révèle ainsi des éléments essentiels pour transformer sa perception de la vie. Du temps des promesses à celui des regrets, du temps du pardon à celui de l’oubli, Catherine Mirande nous entraîne dans la quête de la sérénité.

Avis éditeur : Un témoignage qui retranscrit les observations issues de la propre expérience de Catherine Mirande et révèle toutes les clefs pour accéder à une forme de bien-être.

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1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

L’essence mère qui émane de ces Notes Poétiques, l’amour lequel prend la dimension d’un hymne amoureux, à travers ses vibrations amoureuses, je cherche à m’approprier par les mots le mystère d’un monde immatériel et sensible, afin d’inventer ou réinventé un langage universel.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La beauté de la vie qui parfois se heurte avec la réalité.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

"Petits poèmes en prose" de Charles Baudelaire.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

L’authenticité, le respect, la fantaisie.

5. Quelle est votre citation favorite ?

"La vie est mystère qu’il faut vivre, et non un problème à résoudre." (Gandhi)

6. Quel est votre mot préféré ?

Amour.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

L’envie d’écrire me prend toujours tôt le matin.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

"L’amour aux temps du choléra" de Gabriel Garcia Marquez.

9. Stylo ou clavier ?

Stylo et clavier.

10. Le mot de la fin ?

"Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés." (Confucius)

 

AVIS ÉDITEUR : 

Lynda Haboudi révèle un premier recueil de poésie entrouvrant le sens profond de l'existence. C'est avec des mots choisis pour leur sincérité qu'elle nous transporte dans une suite de poèmes merveilleux dont la couleur traverse notre âme avec légèreté.