Entretiens

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Ce livre est une chronique du rapt institutionnel de mon enfant. J’y pointe du doigt le danger que représente les prédateurs, en l’occurrence l’ASE et ses nombreux complices, dont l’appétit pour les placements d’enfants, financés à coups de milliards d’euros, est source de dérives extrêmement dangereuses. En effet, l’ASE et ses complices sont foncièrement cupides et cyniques. Je propose donc dans ce livre de définanciariser le système de protection de l’enfance en France, en usant de solutions alternatives comme la « fonctionnarisation » de l’ensemble du système (car il y a des cas de maltraitance d’enfants). C’est la seule façon de freiner la pulsion vénale de ces entrepreneurs du placement à tour de bras, qui tue des familles entières tout en détruisant les enfants manipulés comme des jouets à des fins cupides. En effet, « pas de placement, pas de milliards d’euros ». Donc il faut placer des enfants, coûte que coûte. Tel est le credo de ce business de l’enfant que les autorités ont tout intérêt à éradiquer.

Il faut agir d’urgence. L’enjeu, c’est la survie de centaines de milliers d’enfants injustement privés de leur famille bien-aimante et, en bout de chaîne, la survie de la République.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mon inspiration vient naturellement du rapt de mon enfant et donc, de mon dégoût de ce système de chasse effrénée à l’enfant par des prédateurs qui détruisent des familles tout en broyant les enfants qu’ils considèrent comme des actifs au sens financier.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Il va de soi que l’envie d’écrire ce livre découle tout naturellement de ma volonté de ne jamais faire partie de ceux qui laisseraient les loups dévorer les agneaux.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Intégrité, droiture, respect des règles de vie en privé comme en public.

5. Quelle est votre citation favorite ?

“Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice”, Montesquieu.

6. Quel est votre mot préféré ?

Partage.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Aucun rituel…, même si j’aime bien écrire dans le calme profond du rez-de-jardin de la BNF, notamment dans le cadre des actualisations de mes ouvrages scolaires pour lesquels j’ai des obligations contractuelles.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Ma biographie. Mais pour le moment j’envisage plutôt de donner une suite à ce présent livre car des choses incroyables se sont passées depuis sa parution en novembre 2017. Il faut que le public en soit informé très largement.

9. Stylo ou clavier ?

Les deux. Mais le clavier a fini par s’imposer du fait de mon petit ordinateur que je trimballe partout, y compris dans le métro.

10. Le mot de la fin ?

Définanciariser le système dont profitent les prédateurs est la seule façon de protéger les enfants tout en nettoyant les écuries d’Augias du placement injustifié et malsain.

Ce livre est à mettre entre les mains de chaque famille, française et étrangère, vivant en France. Il est également destiné à toute personne qui n’a pas encore d’enfant et qui envisage d’en avoir. On est tous concernés et ça n’arrive pas qu’aux autres ! J’en suis la preuve vivante.

AVIS DE L'ÉDITEUR : 

Véritable pavé dans la mare de l’ASE, ce témoignage est une façon de dénoncer l’imposture subie mais également d’interroger la société face à une justice parfois complice des institutions qui sont censées protéger les mineurs.

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

C’est le roman sensible d’une femme en proie à son incapacité d’accepter sa vie.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La mémoire des mots, des sons, des images.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

« La peau de chagrin ». H. Balzac.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Rêveuse, romantique, sensible.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre ». M.Curie.

6. Quel est votre mot préféré ?

Aimer.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Chaque chose à sa place.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

« Autant en emporte le vent ».

9. Stylo ou clavier ?

Les deux.

10. Le mot de la fin ?

Ite missa est.

 

AVIS ÉDITEUR : 

D’un stigmate de l’enfance, Annie-Gisèle Cousty en fait un chemin de vie et nous amène à reconsidérer les épisodes survenus trop tôt dans nos existences. Lucide et profondément humain, ce roman interroge, enseigne et submerge.

 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Ce livre retrace l’histoire d’un jeune couple de notre époque, ou après une période euphorique l’histoire d’amour se heurte au quotidien. La banalisation de la relation au fil des jours perd vite le côté idéaliste et merveilleux qu’instille insidieusement la communication à tous crins de notre époque.

La découverte d’une autre façon de partage au-delà des tabous des civilisations, imposés surtout aux femmes, permet à ce jeune couple de découvrir que leur amour est bien au dessus du sexuel, que cette partie de la vie peut être épanouissante et renouvelée en la partageant, dans un sentiment d’amitié profonde. La levée de ces tabous libère également des forces créatrices  dans la vie et permet d’oser.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Ma vie, mes expériences, mes rencontres.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

En réaction à la série des cinquante nuances ou la soumission de la femme est présentée comme « romantique ».

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Féministe, libre, amoureux.

5. Quelle est votre citation favorite ?

La femme est l’avenir de l’homme.

6. Quel est votre mot préféré ?

Femme.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Pas vraiment de rituel, besoin de raconter l’histoire à quelqu’un. J’ai eu la chance de rencontrer Julie mon ostéopathe, qui m’a fait l’amitié de lire les paragraphes que je lui envoyais et qui m’a encouragé à continuer.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Tous les livres dans lesquels les femmes refusent le rôle dans lequel la civilisation les contraint.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier.

10. Le mot de la fin ?

Que les femmes osent leur liberté !

 

AVIS ÉDITEUR : 

Grand amoureux des femmes, prônant l’amour libre et l’éducation sexuelle, Henry Georges Piron entend aller au-delà des tabous avec l’initiation de Manon et Thomas. Par ce roman érotique, il démontre que l’échangisme n’est pas incompatible avec la vie de couple… bien au contraire !

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

D’une certaine façon, ce livre est pour moi le livre de la maturité. Après des décennies de course effrénée, je pose mes bagages, et je me tourne vers les autres. Dans un monde ou tout change si vite, ce livre dit aux managers de ne pas rester seuls, de se faire accompagner, pour trouver le sens qui manque à leur activité.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Sans doute d’abord ma famille, mes enfants qui en grandissant ne veulent plus que l’on décide pour eux, mais apprécient toujours qu’on les aide à éclairer les choix qu’ils font.

Également bien sûr mon parcours professionnel, 25 ans passés dans l’entreprise à enchaîner les défis sur tous les continents.

Et pour mon livre en particulier, les chercheurs et penseurs en sciences sociales et cognitives, principalement américains (Rogers, Dilts, Kourilsky, Schutz, Graves…).

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Les Égarés, de Frédérick Tristan, chez Balland. Prix Goncourt 1983. J’étais lycéen. Une révélation. La littérature peut vous faire devenir celui que vous souhaitez être.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Muri. Bienveillant. Exigeant.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Cela dépend des jours. Aujourd’hui ce serait : « Il faut être prêt à quitter la vie qu’on avait planifié d’avoir, pour vivre celle qui nous attend », Joseph Campbell.

6. Quel est votre mot préféré ?

Empathie.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Une grande table de travail.

Dessus, en désordre, les derniers livres, articles, mémos que je viens de lire.

Mon PC.

C’est parti pour 3 heures de calme.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

The Goal, d’Eliyahu Goldratt et Jeff Cox.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier.

10. Le mot de la fin ?

La lecture comme une nourriture, une thérapie, un art de vivre. Idem pour l’écriture.

 

AVIS ÉDITEUR : 

Avec un regard bienveillant et expérimenté, Christophe Clavé propose un mode d’accompagnement stratégique dédié à tous les dirigeants. Ainsi, il fait émerger la question du sens de l’action dans un monde où le sens des affaires ne suffit plus…

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Ce livre traite du développement des systèmes de transport intelligents dont le but est de supprimer les accidents graves sur les routes (plus de morts ni de blessés graves), d’optimiser le trafic routier (réduire les embouteillages) et d’améliorer l’environnement (supprimer les rejets nocifs pour la santé et l’environnement). Il traite des innovations technologiques, mais également du rôle indispensable de la normalisation et des processus de conception et développement au niveau mondial.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mon activité professionnelle dans le domaine des systèmes de transport intelligents que ce soit au niveau de l’industrie automobile (Renault), puis maintenant à travers ma start-up VICI (Véhicule – Infrastructure Coopératives Innovations).

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

"Le siècle de la voiture intelligente" de Claude Laurgeau.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Déterminé, Equilibré, Visionnaire.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Rien ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme.

6. Quel est votre mot préféré ?

Enfant.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Tôt le matin, par périodes permettant de capitaliser sur les lectures récentes.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Harry Potter.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier.

10. Le mot de la fin ?

Espérons que l’être humain arrive à maîtriser son futur.

 

AVIS ÉDITEUR : 

L’essai de Gérard Ségarra développe un concept complexe basé sur des connaissances scientifiques et des notions philosophiques. Un ouvrage qui propose une nouvelle voie concernant l’univers et son évolution.

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Un témoignage de vie : une existence remplie d’expériences, de joies mais aussi de peines, mal nécessaire pour grandir, passer les étapes difficiles et aller de l’avant.

Notre vie est ponctuée de promesses qui donnent souvent lieu à des regrets, mais nous devons faire preuve d’indulgence vis-à-vis de ceux qui ne s’exécutent pas, pardonner et oublier.

C’est un exercice qui demande du courage, mais c’est à ce prix-là que nous pourrons reprendre notre vie en mains.

Cet ouvrage nous explique comment dépasser les émotions et les préjugés qui auraient vite fait de nous entraîner vers le trou béant de l’incompréhension d’une vie inutile et vide de sens. Nous devons apprendre à nous connaître, à découvrir nos vraies Valeurs, celles qui vont nous guider dans nos choix et nous aider à atteindre la sérénité.

Nous devons retrouver confiance en nous et, malgré les épreuves que nous traversons, toujours garder espoir en l’avenir.

La vie est belle, nous devons en apprécier tous les instants en regardant vers la lumière !

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Je passe beaucoup de temps à écouter et à observer le monde qui m’entoure.

Ma vie dans son ensemble et les situations vécues ont été des éléments déclencheurs, en particulier certaines prises de conscience des dures réalités de la vie.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

« Le Petit Prince » d’Antoine de Saint-Exupéry

C’est une vraie prouesse que de déclencher autant d’émotions, de dévoiler de vraies Valeurs au travers d’une histoire dont la simplicité, la fraîcheur et une certaine naïveté font que l’on se sent bien et en accord avec nous-mêmes.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Empathie - Générosité - Partage.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Poète et écrivain du XVIIème siècle, Nicolas Boileau disait :

« Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ».

Cette citation me revient très souvent à l’esprit car elle me rappelle que pour avancer il est important d’aller à l’essentiel :

  • Un problème clairement exposé c’est déjà le début de la solution.
  • Un discours préparé et fluide, des mots bien choisis, c’est l’assurance d’obtenir l’attention de l’auditoire et d’être compris de tous (et éventuellement d’obtenir leur adhésion).

Par ailleurs, cette citation est le reflet de notre propre compréhension : si nous n’arrivons pas à exprimer clairement nos idées, c’est que nous ne maitrisons pas suffisamment le sujet, et par voie de conséquence les autres ne peuvent pas nous comprendre.

6. Quel est votre mot préféré ?

MERCI.

Merci à celles et ceux que j’ai eu la chance de croiser dans ma vie, qui m’ont permis de me reconstruire.

Merci à la vie, tout simplement.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Le plus souvent j’écris le soir, après l’effervescence de la journée, à un moment où tout est redevenu calme.

Toutefois, je n’ai pas vraiment de « rituel » : je peux passer des jours voire des semaines sans écrire une ligne, et d’un coup c’est reparti… jusque très tard dans la nuit. Parfois, l’envie d’écrire me prend en pleine journée, selon les situations rencontrées ou l’inspiration du moment.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Aucun en particulier. J’aime différents styles et je suis curieuse d’en découvrir tous les jours de nouveaux.

9. Stylo ou clavier ?

Le stylo reste mon préféré, toutefois il faut bien vivre avec son temps : nous sommes à l’ère du numérique et le clavier est un incontournable aujourd’hui.

10. Le mot de la fin ?

« Regardons vers la lumière » et nous trouverons le chemin de la sérénité. La moindre petite lueur nous apporte joie, espoir et confiance en l’avenir.

 

AVIS ÉDITEUR : 

Un témoignage qui retranscrit les observations issues de la propre expérience de Catherine Mirande et révèle toutes les clefs pour accéder à une forme de bien-être.

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Ce texte raconte l’acharnement de mon employeur à me faire quitter mon emploi et met en lumière l’absurdité et la violence des méthodes procédurières dont il a usé et abusé pour y arriver, et cela, pendant plusieurs années.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mes sources d’inspirations proviennent de tous les médias qui nous saturent d’informations.

Je n’ai que l’embarras du choix  pour me faire une opinion sur les dérives de notre société, ou profits, contrats et lois innombrables qui prennent l’ascendant sur la logique et le respect nécessaire aux rapports humains.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Tous les livres palpitants qu’il était impossible de refermer avant la dernière page, le dernier point final et qui m’ont ainsi offert de merveilleuses nuits blanches.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Imaginative : jamais en butée sur une idée.

Volontaire : j’aime aller de l’avant.

Probe : sans marcher sur la tête d’autrui.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« La vie ce n’est pas d’attendre que les orages passent c’est d’apprendre à danser sous la pluie. » Sénèque

6. Quel est votre mot préféré ?

Chouchou : le petit surnom que j’ai donné à mon amour à moi.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Il me faut une journée ou je sais que je serai seule à la maison car il est impératif que je ne sois pas dérangée. La veille toutes les contraintes bassement matérielles (courses, ménage, lessives…)  auront été expédiées pour que je puisse entrer dans ma bulle le lendemain.

Le jour dit, je commence par prendre un petit déjeuner gargantuesque. Ensuite je passe dans la salle à manger et j’installe mon ordinateur, mes bouquins, classeurs, stylos… que j’étale sur la grande table face à la porte fenêtre qui donne sur le jardin. Je n’oublie pas bouteille d’eau et cigarette électronique. Il est en général 10 heures, 10 heures 30.

Pas de musique, pas de radio, il n’y a rien de mieux que le silence pour que je puisse me concentrer. Tant et si bien que tout d’un coup je commence à avoir faim. Je regarde l’heure, il est 17 heures.

Normal ! Un petit en-cas, je range tout et pour me « dégourdir » la tête je nous prépare un bon petit plat à savourer pour le dîner.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Tous les livres palpitants qu’il était impossibles de refermer avant la dernière page, le dernier point final et qui m’ont ainsi offert de merveilleuses nuits blanches.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier parce que :

-          Economie de papier,

-          Meilleure relecture,

-          Facilité pour corriger,

-          Mise en page automatique,

-          Facilité pour un aperçu du rendu final,

-          Pas de risque de perte de données.

10. Le mot de la fin ?

J’ai eu beaucoup de chance de pouvoir écrire ce livre. Cela a fonctionné comme une thérapie. Le résultat en est si concluant que Clarisse n’a pas dit son dernier mot et a bien l’intention de vous raconter la suite de ses aventures dans sa république bananière !

AVIS ÉDITEUR : 

Clarisse Di Pascal nous offre ici un témoignage sans équivoque qui nous rappelle une des facettes les plus sombres du monde du travail. Sa force mentale et sa détermination à toute épreuve nous inspirent tout le long de son ouvrage.

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

L’épreuve est une notion  universelle, car aucun être humain n’est à l’abri d’une tuile, d’un mal, d’une maladie, d’un malheur ; la vie est un marathon jalonné d’obstacles ; nul, parmi les humains, ne peut s’y soustraire ni y remédier ; l’épreuve concerne chacun d’entre nous, sans exception. Or cet essai traite de l’épreuve, plus spécialement telle que les musulmans la vivent, la perçoivent, l’appréhendent et la gèrent selon ce qui est dit dans le  saint Coran et les Hadiths du prophète Muhammad. A travers cette réflexion de l’auteur, le lecteur découvre l’islam, une religion mal connue, mal comprise, très mal jugée injustement. Cet ouvrage aborde certes l’épreuve et ses multiples significations, mais initie également les néophytes à l’islam.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Le Coran, la Bible et tous les ouvrages touchant aux religions.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Les Oiseaux se cachent pour mourir de Colleen Mc Cullough puis Le Promontoire de Henri Thomas.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Pieuse, meurtrie et néanmoins romantique

5. Quelle est votre citation favorite ?

La devise de Socrate : « Connais-toi toi-même ».

6. Quel est votre mot préféré ?

Enthousiasme.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’écris toujours sur papier, je relis et corrige mon texte, puis je passe à la saisie sur l’ordinateur.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

L’Odyssée d’Homère.

9. Stylo ou clavier ?

Stylo.

10. Le mot de la fin ?

Malgré et contre tout, rien ne vaut la Vie !

 

LIRE UN EXTRAIT

 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon recueil « Á la volée…Une éternité » est un recueil de trente-huit poèmes évoquant des termes variés mais essentiellement le temps, l’espérance, l’enfance. L’idée maîtresse de ce recueil est basée sur le temps qui passe, l’éphémère de la vie mais aussi certains moments de la vie qui peuvent être en réalité perçus comme une éternité : des moments gravés en nous pour l’éternité.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mes sources d’inspirations résident dans mon quotidien, dans mes expériences personnelles et celles des autres.  Le voyage est également une importante source d’inspiration pour moi. Je suis très  sensible aux droits humains tels que le droit à l’éducation, à l’intégrité physique. Mes poèmes titrés «  Les insoumises » dénonce l’excision et « Tonyé Via Dzi » le droit à l’éducation de tous les enfants.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Plusieurs livres m’ont donné envie d’écrire. Néanmoins, j’ai été très influencée par Baudelaire, Verlaine et Rimbaud.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je dirais rigueur, humour (auto dérision) et fantaisie !

5. Quelle est votre citation favorite ?

Ma citation favorite est celle – ci de Réné Char : « Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque : à te regarder, ils s’habitueront ».

6. Quel est votre mot préféré ?

Volonté.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’écris très tard dans la soirée ou très tôt le matin. En général avec un petit fonds sonore notamment du jazz et un petit verre de vin à côté.

J’aime aussi écrire quand je suis en déplacement : dans l’avion, dans le train et en voiture lorsque ce n’est pas moi qui conduis.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Je sais que c’est très ambitieux mais j’aurais aimé écrire : « Comme un chant d’espérance » de Jean d’Ormesson.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier (celui du téléphone, de l’ordinateur, de la tablette) ; l’essentiel c’est d’avoir un clavier. J’écris très rapidement au stylo. Il peut juste m’arriver de prendre quelques notes d’inspiration.

10. Le mot de la fin ?

Merci aux Éditions du Panthéon de me donner l’opportunité de toucher les lecteurs dans le cadre de cette rubrique Rencontre Avec. Je remercie aussi les lecteurs qui me soutiennent et ceux voudront bien me découvrir.

 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s'agit d'une fiction humoristique. Le héros, après avoir fait le pari fou de pénétrer dans l'Elysée et d'y passer la nuit, parvient à se cacher dans les caves du palais, échappant ainsi aux fouilles minutieuses des services de sécurité. C'est dans un réduit qui lui sert de planque qu'il tombe sur un coffre qu'il a le malheur d'ouvrir et qui va le transporter loin en arrière dans le temps. Il a alors bien du mal à comprendre, et à accepter, qu'il n'est ni plus ni moins tombé sur les lieux de l'état-major de Napoléon 1er , en pleine bataille d'Austerlitz. Il réussit à s'échapper et remettant la main sur le coffre, à ce seul détail près que, en posant les pieds sur une île quelque part dans le pacifique, lieu de sa seconde étape, il réalise que l'empereur s'était accroché à lui au moment où il l'ouvrait et que désormais il allait devoir composer avec lui. Voyage dans le temps aux atours rocambolesques, ce roman est une suite de péripéties invraisemblables au cours desquelles deux personnages que tout oppose vont devoir vivre une cohabitation parfois compliquée mais souvent hilarante.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Sans doute les voyages et l'Histoire. Ce roman est un mélange des deux.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

"LE VIEUX QUI NE VOULAIT PAS FÊTER SON ANNIVERSAIRE" de Jonas Jonasson.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Humain, apaisé , joyeux .

5. Quelle est votre citation favorite ?

"On n'est jamais puni pour avoir fait mourir de rire." Proverbe chinois.

6. Quel est votre mot préféré ?

Bonheur.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Aucun. C'est selon le moment, l'envie, le besoin de créer.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

"Le guide des égarés" de Jean D'ormesson.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier.

10. Le mot de la fin ?

S'aimer soi-même pour mieux aimer et aider les autres. Prendre conscience de la beauté de ce qui nous entourent et fuir les esprits chagrins et malsains. Aimer la vie et chasser les peurs qui nous empêchent d'avancer. Croire en soi.

 

AVIS ÉDITEUR : 

De César à Hitler, ce roman retrace les situations ubuesques d’un héros dépassé par les événements. Un vrai divertissement.