[RENCONTRE AVEC] CLARISSE DI PASCAL

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Ce texte raconte l’acharnement de mon employeur à me faire quitter mon emploi et met en lumière l’absurdité et la violence des méthodes procédurières dont il a usé et abusé pour y arriver, et cela, pendant plusieurs années.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mes sources d’inspirations proviennent de tous les médias qui nous saturent d’informations.

Je n’ai que l’embarras du choix  pour me faire une opinion sur les dérives de notre société, ou profits, contrats et lois innombrables qui prennent l’ascendant sur la logique et le respect nécessaire aux rapports humains.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Tous les livres palpitants qu’il était impossible de refermer avant la dernière page, le dernier point final et qui m’ont ainsi offert de merveilleuses nuits blanches.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Imaginative : jamais en butée sur une idée.

Volontaire : j’aime aller de l’avant.

Probe : sans marcher sur la tête d’autrui.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« La vie ce n’est pas d’attendre que les orages passent c’est d’apprendre à danser sous la pluie. » Sénèque

6. Quel est votre mot préféré ?

Chouchou : le petit surnom que j’ai donné à mon amour à moi.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Il me faut une journée ou je sais que je serai seule à la maison car il est impératif que je ne sois pas dérangée. La veille toutes les contraintes bassement matérielles (courses, ménage, lessives…)  auront été expédiées pour que je puisse entrer dans ma bulle le lendemain.

Le jour dit, je commence par prendre un petit déjeuner gargantuesque. Ensuite je passe dans la salle à manger et j’installe mon ordinateur, mes bouquins, classeurs, stylos… que j’étale sur la grande table face à la porte fenêtre qui donne sur le jardin. Je n’oublie pas bouteille d’eau et cigarette électronique. Il est en général 10 heures, 10 heures 30.

Pas de musique, pas de radio, il n’y a rien de mieux que le silence pour que je puisse me concentrer. Tant et si bien que tout d’un coup je commence à avoir faim. Je regarde l’heure, il est 17 heures.

Normal ! Un petit en-cas, je range tout et pour me « dégourdir » la tête je nous prépare un bon petit plat à savourer pour le dîner.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Tous les livres palpitants qu’il était impossibles de refermer avant la dernière page, le dernier point final et qui m’ont ainsi offert de merveilleuses nuits blanches.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier parce que :

-          Economie de papier,

-          Meilleure relecture,

-          Facilité pour corriger,

-          Mise en page automatique,

-          Facilité pour un aperçu du rendu final,

-          Pas de risque de perte de données.

10. Le mot de la fin ?

J’ai eu beaucoup de chance de pouvoir écrire ce livre. Cela a fonctionné comme une thérapie. Le résultat en est si concluant que Clarisse n’a pas dit son dernier mot et a bien l’intention de vous raconter la suite de ses aventures dans sa république bananière !

AVIS ÉDITEUR : 

Clarisse Di Pascal nous offre ici un témoignage sans équivoque qui nous rappelle une des facettes les plus sombres du monde du travail. Sa force mentale et sa détermination à toute épreuve nous inspirent tout le long de son ouvrage.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *