1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon livre parle du drame qui a bouleversé ma vie à jamais ce mardi 22 Juillet 2014. La perte de mon enfant Kylian 12 ans et demi et de mon neveu Jordan 14 ans et demi dans cet accident de bus. Lors d'une sortie avec des jeunes, organisé par le service jeunesse de ma ville.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Faire vivre à ma façon Kylian et Jordan. Partager mon histoire. Laisser une empreinte de leur passage parmi nous.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Aucun. J'ai voulu écrire sur papier mon histoire. Cela a été pour moi une bonne thérapie sans penser que j'en ferais un livre.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Maman / souffrance / Deuil.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Je ne vois pas pourquoi je ferais un travail de deuil. On ne se console pas de la perte d'un enfant. (Cette citation vient de moi).

6. Quel est votre mot préféré ?

Amour.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je n'ai pas spécialement de rituel d'écriture.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Un livre sur l'amour réciproque et fusionnel que j'ai eu avec mon enfant, mon rayon de soleil durant sa courte vie.

9. Stylo ou clavier ?

Les deux, stylo et clavier.

10. Le mot de la fin ?

Kylian mon rayon de soleil tu me manques tellement ! Tout là-haut tu t'es envolé avec ton cousin Jordan qui me manque aussi terriblement. Quelle souffrance votre absence...

Avis de l'éditeur

Il n'y a pas de date pour cesser de pleurer son enfant. À travers ce témoignage pudique et poignant, Marie-Noël Michalon prend la plume pour revenir sur ce drame qui a marqué la France. Avec un courage désarmant, elle s'interroge sur le deuil, la douleur, la culpabilité. Pour elle, pour eux, pour chacun d’entre nous : comment survivre ?

Après quelques astuces consacrées au choix du titre et à la couverture d'un livre, intéressons-nous à un aspect important de la quatrième de couverture d'un ouvrage, la présence de la photo de l'auteur, et les écueils à éviter.

Photo by Alexander Dummer on Unsplash

Mettre (ou pas) une photo de l'auteur

C'est un grand classique pour les livres, au dos de l'ouvrage, ce qu'on appelle la quatrième de couverture, figurent généralement un texte qui résume l'ouvrage, et une photo de l'auteur. Cette photo a un objectif très simple : permettre au lecteur de mettre un visage sur le nom de l'auteur et de personnifier l'objet littéraire. Naturellement ce choix est tout à fait personnel, de nombreux auteurs choisissent de ne pas en mettre.

Les écueils à éviter

Certains types de photos sont à proscrire à tout prix :

  • le scan d'une vieille photo prise il y a des années
  • les photos de vacances ou avec des amis
  • la photo hors-sujet
  • les postures trop forcées
  • un arrière-plan saugrenu

Quelques conseils à suivre

Tâchez de rester naturel autant que possible, votre univers littéraire est intimement lié à l'image que vous devez donner à ceux qui vous lisent. Votre pose, mais également l’expression de votre visage doivent rester crédibles. Prenez votre photo en lumière naturelle, plutôt à la lumière du matin. Privilégiez les portraits en noir et blanc, avec un profil partiel plutôt que la tête droite. Enfin, pour une touche d'originalité, n'hésitez pas à mettre vos mains en scène.

Contactez un professionnel

De la même façon que pour la couverture du livre, faire appel à un professionnel est fortement recommandé s'agissant de la photo de l'auteur. Il est important d'avoir une vision extérieure, surtout quand on se met soi-même en scène, sans compter que le résultat sera plus sobre et de meilleure qualité.

Sources : Du film et du papier, Tiffany Oliver, BibliObs

Jean-Pierre Ricard, ancien directeur de prison et auteur de Traversières de hasard, était l'invité du journal de la mi-journée de France Info hier dans le cadre de la prise d'otages à la prison de Condé-sur-Sarthe.  L'occasion de faire un focus sur son ouvrage publié aux Éditions du Panthéon.

« Cet ouvrage, aboutissement d’une perpétuité consacrée à l’Administration pénitentiaire (AP), résulte d’une longue négociation avec moi-même. Instruit du chemin parcouru, j’ouvre ici une discussion avec mes souvenirs. Guidé par une conviction, celle d’œuvrer utilement en passeur de mémoire. »

À la croisée de tous les échecs sociaux se trouve la prison dont l’auteur nous dévoile des facettes méconnues. Sans aucune prédestination à ce milieu insolite, il est d’abord surveillant en mai 1968, puis dirige plusieurs établissements. Durant plus de quarante ans, il côtoie l’humanité carcérale et les déviances de tous ordres, et témoigne de la fragilité des frontières entre la marginalité et le supposé normal. Son jugement est sans appel : le système pénitentiaire en constante évolution, souvent remis en cause, est le réceptacle exacerbé des dérives sociétales. Une réponse controversée au besoin de justice et de réparation.

<< Commandez l'ouvrage >>

Retrouvez l'intervention de Jean-Pierre Ricard dans le journal de la mi-journée de France Info du 12 juin 2019.

Jean-Pierre Ricard sera également présent le samedi 15 juin 2019 de 11h à 13h à l'Association Française de Criminologie de Montpellier pour un débat sur le thème "Un demi-siècle de Politique Pénitentiaire". Venez nombreux le rencontrer !

Au lendemain de la journée mondiale du bien-être (Global Wellness Day en anglais), découvrez une sélection d'ouvrages liés à ce thème et publiés aux Éditions du Panthéon.

Photo by Simon Rae on Unsplash

1. Planète healthy girl d'Amandine Poli

« Nous tentons de parcourir l’espace, nous rêvons au-delà de notre planète, alors que l’espace que nous devons conquérir est notre Espace Intérieur. Notre imagination peut nous plonger à l’intérieur de cette Merveille qu’est notre corps, à commencer par la cellule, c’est elle qui nous maintient en vie, qui prend soin de nous en se régénérant encore et encore. »

« Un esprit sain dans un corps sain » : l’adage est bien connu et pour atteindre ce Graal personnel, l’auteur partage avec nous son mode de vie basé sur une alimentation équilibrée et une attention particulière accordée à soi-même et à son environnement. Dans ce guide bien-être émaillé de spiritualité, le lecteur trouvera des conseils d’alimentation, de sport et de philosophie à appliquer facilement au quotidien afin de s’engager sur un chemin plus proche de la nature.

Avis éditeur : Vous êtes à la recherche de bien-être et de spiritualité ? Suivez les conseils judicieux d’Amandine Poli pour prendre en main votre alimentation et votre forme sportive afin de vous rapprocher de la quête d’un esprit sain dans un corps sain. Un ouvrage d’utilité publique !

Lire un extrait :

http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754745536/#pct0

2. La Révolution de l’Éveil de Reda Hoballah

« Avant de commencer ce livre, je veux que tu te rappelles à quel point tu es Unique, et jamais ce mot n’a autant trouvé sa place que dans cet énoncé. Tu es le garant de ce que tu représentes, et le responsable de la beauté humaine qui te porte, te supporte et qui t’a été attribuée. »

Dans la société contemporaine, l’Homme a tendance à suivre un courant trop rapide, trop confus, trop étouffant, tout le temps… et à s’oublier lui-même. Pris dans une existence fondée sur l’approbation d’autrui, nous avançons dans le noir en négligeant de nous connaître nous-mêmes et de nous aimer avant tout. L’auteur nous invite à faire une pause dans ce tourbillon pour nous éveiller, trouver notre réelle place dans l’univers et, enfin, tutoyer la plénitude.

Avis éditeur : Véritable guide spirituel sur le chemin de la plénitude, cet ouvrage de Reda Hoballah nous invite à faire une pause dans le tourbillon de la société contemporaine afin de trouver notre place dans l’univers. Un « Éveil » salvateur.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

3. Exister de Louxia

« J’aime la magie des instants si petits, mais si précieux. Parce que pour moi, le passage de la féerie et de la magie du monde d’enfant au monde d’adulte est une étape importante dans la vie de tous. J’ai donc voulu écrire un livre qui essaye de donner des clés… du bonheur… Je l’espère ! »

Il n’y a pas d’heure pour faire le bilan d’une vie et se remettre en question, surtout lorsque l’on souhaite avancer vers un plus bel horizon. Dans cet ouvrage aux allures de thérapie, Louxia cherche avant tout à transmettre aux futures générations les fruits de son expérience et l’héritage de son existence. À la fois cathartique et pédagogique, cet essai emmène le lecteur sur la voie du développement de soi et de l’ouverture sur les richesses du monde qui l’entoure.

Avis éditeur : Guide pratique à l’usage de tous, « Exister » est un essai à la fois cathartique et pédagogique qui entraîne le lecteur sur la voie du développement personnel. Une véritable thérapie !

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

4. Des pensées pour cheminer ensemble de Sylvie Ferrete Lopes

« Partant du principe que nous sommes amenés à créer des liens, échanger et partager avec les autres, nous devons comprendre les différents mécanismes qui entrent en jeu dans nos relations. »

Après « Des pensées pour vivre en conscience », l’énergéticienne et coach Sylvie Ferrete Lopes nous emmène cette fois sur la voie de l’ouverture à autrui et de l’amour de Soi. À travers ce recueil de réflexions destiné à accompagner le lecteur dans son chemin de vie, elle l’encourage à tirer enseignement et richesse de toute relation humaine. Pratiquer le lâcher-prise et, surtout, s’aimer soi-même sont les clés pour accueillir l’amour du monde.

Avis éditeur : Quelles sont les clés pour pratiquer le lâcher-prise et, surtout, s’aimer soi-même ? Sylvie Ferrete Lopes, maître praticienne Reiki, nous propose d'y répondre à travers ce second recueil de réflexions.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

Écrivez-nous deux ou trois lignes biographiques.
Je suis un jeune homme de 32 ans, instruit, intelligent et de bonne famille.
J'ai commencé à écrire il y a peu, pour guérir d'une déception amoureuse.
J'aime à penser que le monde changera, sous l'impulsion de mes écrits.

Si vous étiez un livre, vous seriez….
Rempli de raisonnement et certainement rédigé par un sage.

Si vous étiez une citation
Il serait bien judicieux de citer ici un grand penseur ou autre grande personnage mais il n'en sera rien. Je préfère citer Nicolas Beauclercq auteur de À l'avenir: " Maintenant que je suis grand, je regarde avec des yeux désabusés, je vois clairement les choses et je regrette mes yeux d'enfant. "

Si vous étiez un marque-page
Je serais fortement usagé mais je me trouverais toujours à mon poste dans un livre.

Si vous étiez un discours
Je serais silencieux, je ne parlerais point à tout le monde mais pour chacun qui me lirait.

Si vous étiez une collection
Je demeurerais incomplète pour ne pas dépérir sous le regard du collectionneur, peut-être pour conserver la sensation d'être désirée.

 Si vous étiez un papier
Je serais cartonné car je me serais renforcé avec le temps, ce temps si précieux qui nous détruit jour après jour.

Si vous étiez une bibliothèque
Je me trouverais dans un salon au 19ème siècle et j'apprécierais la compagnie de personnes éloquente évoquant la dernière aventure de Philéas Fogg.

Si vous étiez une recette
Je serais un mélange entre la délicieuse vérité et l'infect mensonge, je laisserais tout le monde inassouvi.

Si vous étiez un titre de livre
Je serais À l'avenir...

AVIS ÉDITEUR : 

Né d’une solitude, ce témoignage raconte une vie. Troublant cri du cœur et miroir de l’existence, il est un appel sincère à plus d’humanité.

Découvrez une sélection des 5 plus belles bibliothèques de Paris. Des lieux magiques, que ce soit pour dévorer un livre ou simplement admirer ces bijoux architecturaux.

Site Richelieu, Bibliothèque nationale de France, 58 Rue de Richelieu, 75002, Paris, www.bnf.fr

Bibliothèque Mazarine, 23 Quai de Conti, 75006, Paris, www.bibliotheque-mazarine.fr

Bibliothèque Sainte-Geneviève,10 Place du Panthéon, 75005, Paris, www.bsg.univ-paris3.fr

Bibliothèque de la Sorbonne, 17 Rue de la Sorbonne, 75005, Paris, www.bibliotheque.sorbonne.fr

Bibliothèque de l'Hôtel de Ville, 5 Rue de Lobau, 75004, Paris, www.paris.fr

Source : https://www.admagazine.fr

À l'occasion de la Journée nationale de la résistance qui a lieu aujourd'hui, focus sur l'ouvrage d'Yves Grandjean Commencer sa vie sous le nazisme ou mémoire d'un gamin de 4 ans, dans lequel l'auteur relate avec simplicité une période de l’histoire que l’on croit toujours bien connaître… À tort.

« Je n’ai pas résisté à l’idée de rassembler mes souvenirs et à coucher sur le papier cette autobiographie. Décrire et développer la vie contraignante, la pression permanente, en espérant que les générations suivantes ne traversent plus jamais une telle période, mais aussi qu’elle soit sauvée de l’oubli. Je n’arrive toujours pas à parler de cette époque sans ressentir une vibration émotionnelle. »

L’auteur est né en Alsace, près de la frontière allemande, au début de la seconde guerre mondiale. À travers ce témoignage poignant, émaillé d’anecdotes révélatrices, il nous livre son vécu d’enfant de la campagne française occupée par les nazis. Un héritage de taille et un devoir de mémoire qui nous transportent durant les heures sombres de l’histoire de France.

Avis éditeur : Un ouvrage poignant sur une période de l’Histoire qu’on croit toujours bien connaître, dans lequel Yves Grandjean apporte une dimension personnelle à travers son vécu d’enfant de la campagne française occupée par les nazis.

<< Commandez l'ouvrage >>

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon livre parle du choc culturel en matière d’amour et de sexe. L’histoire raconte comment une femme née dans un pays de l’Extrême-Orient dans lequel elle a reçu une éducation considérablement différente, s’adapte à la société française dans laquelle la diversité la conduit à de perpétuelles confusions.

Les points de vue alternent entre « je », pour décrire ses souvenirs, ses états d’âme, à chacune des rencontres avec des hommes, et « elle », pour raconter l’histoire vécue par cette femme à un ami. Chaque chapitre, portant un prénom ou un lieu comme titre, peut être lu de façon indépendante, mais la chronologie joue un élément crucial pour comprendre l’évolution de cette femme asiatique, qui va presque jusqu’à acquérir la mentalité « occidentale » ou « française ».

Certains lecteurs se demanderont sûrement si ce livre entre dans la catégorie « autobiographie ». Je ne peux pas l’affirmer de manière tranchée, car chaque chapitre contient une part de vécue et d’imagination avec un degré très variant selon les chapitres. Certains sont quasi-vécus, d’autres du quasi-imaginatifs, et d’autres encore sont un équilibre… Tout ce que je peux dire, c’est que les personnages sont tirés du réel.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mon rêve, mon imagination, et les hommes. Il y a également mon entourage, et une amie très particulière avec qui je peux parler de ma vie intime et vice versa...

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Je ne peux pas désigner un seul livre. C’est plutôt l’ensemble des livres que j’ai lu durant ma jeunesse. J’avais longtemps oublié cette envie d’écrire, que j’ai pourtant pensé être mon destin à l’époque. Je lis beaucoup de nouveau, désormais en Français. Duras, Lévy, Nothombe, Weber… tous ces auteurs me donnent envie. Mais, ce qui est sûr, c’est qu’au seuil de mes cinquante ans, j’ai voulu faire un trait sur ma vie. Voilà ce qui m’a poussé !

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Franche, rêveuse, déterminée.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« Si vous ne lisez pas chaque jour, les épines se hérissent dans la bouche ». C’est le dicton qui vient du recueil coréen de la veille sagesse nommé « Trésor qui éclaire le cœur ». Cela signifie qu’on peut facilement sortir des mots blessants à l’autrui si on ne lit pas, alors il faut lire chaque jour pour s’auto-discipliner.

6. Quel est votre mot préféré ?

Tolérance, l’esprit de la France que j’estime beaucoup. Ma compatriote qui a beaucoup de curiosité pour le pays où je vis me demande souvent comment se définit la France. Je sors ce mot illico presto, sans hésitation. Les Coréens pensent alors tout de suite à un mot coréen approximatif dit « Jeong », une sorte de générosité, mot qui renvoie à un approchement humain. Mais je me constate que, d’après mes vingt six ans de vie en France, la tolérance est non seulement humaine, mais aussi institutionnelle. Citons un exemple de cas institutionnel : la priorité à droite en France, en comparaison avec la Corée qui donne la priorité aux voitures qui vont tout droit. Cette priorité française, je la considère comme une sorte de tolérance institutionnelle, il faut céder aux faibles, à ces voitures qui sortent à ma droite. C’est excellent, et j’adore ce mot.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’utilise souvent un petit carnet pour écrire les choses importantes. Ce carnet m’avait beaucoup aidé lors de l’écriture de mon livre, surtout lorsque j’avais besoin de chercher la chronologie.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

« Un barrage contre pacifique ». J’aime Marguerite Duras. Si Marc Lévy m’avait fait pleurer (« Si c’était vrai »), Amélie Nothomb (« Stupeur et tremblements », « Ni d’Eve ni d’Adam ») m’avait fait rire. Marguerite Duras, quant à elle, m’avait fait rire et pleurer en même temps dans ce livre. Je retrouve la beauté de la langue française dans les livres Duras. J’aimerais être capable d’en faire autant, dans ma langue maternelle.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier comme beaucoup de gens de nos jours, je suppose. Les carnets sur lesquels j’ai gribouillé de temps en temps m’aident aussi. Mais écrire avec stylo sans trop gâcher les papiers serait pour moi une grande joie, même si je pense que je suis loin d’en être capable.

10. Le mot de la fin ?

À toute personne qui a lu mon livre, je pose un quiz : selon vous quel est le chapitre le plus imaginatif ? Merci d’envoyer votre réponse à l’adresse suivante : diffusion@editions-pantheon.fr

Avis éditeur : Premier tome du jardin de Cho Hye-Geun, ce roman témoigne du parcours amoureux et érotique d’une femme coréenne confrontée aux moeurs occidentales. Troublante fresque de l'apprentissage du désir, c'est également celle d'un coeur brisé...

Aujourd'hui a lieu la Journée Européenne de la Mer. L'occasion de découvrir deux ouvrages liés à ce thème et publiés aux Éditions du Panthéon, "Zakouski" de Michel Sakharoff et "Le rapport d’étonnement N° 32280" de Philippe Petit.

Photo by Ivana Cajina on Unsplash

Zakouski de Michel Sakharoff

« Une goutte de vie,
Un instant d’infini,
Petit coin d’univers,
Fait d’amour et de guerre,
Juste un point dans l’espace,
Entre Vénus et Mars. »

En vers ciselés, Michel Sakharoff entraîne le lecteur à sa suite, passant d’un sujet à l’autre avec légèreté et sensibilité. Sur un rythme entraînant, il donne à entendre une mélodie tantôt grave tantôt facétieuse. À l’image des zakouski, ces petits plats dans lesquels le convive peut piocher, ses poèmes offrent parfois des perspectives inédites, réjouissantes ou sombres, sur notre société.

Avis éditeur : D’une plume légère et sensible, Michel Sakharoff nous entraîne dans une série de poèmes en vers ciselés, donnant tour à tour une vision grave et réjouissante de notre société.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

Le rapport d’étonnement N° 32280 de Philippe Petit

« J’aimerais que l’on tourne ces pages vides : ces pages mouillées par les larmes. L’amour, c’est mesurer ce que l’on peut perdre. »

Imaginez-vous recevoir des lettres anonymes vous invitant à redécouvrir votre ville, son histoire et ses chemins cachés. Imaginez encore que cette curiosité retrouvée éclaire plusieurs pans de votre vie, jusqu’à réveiller votre créativité un instant assoupie… C’est ce qui arrive au narrateur, qui, charmé, rédige ce Rapport d’étonnement, relation de ses observations, doutes et espérances.

Avis éditeur : Philippe Petit, d’une plume sensible et profondément humaine, rédige ce Rapport d’étonnement fruit de ses observations, doutes et espérances, et nous invite à redécouvrir notre environnement urbain, mais aussi notre propre vie. Un roman original et étonnant.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Ce premier roman raconte la vie d'une famille paisible et tranquille de Manhattan, dans la banlieue de New York, dont le destin et le passé de la mère de famille vont la rattraper et faire basculer sa destinée dans l'horreur et le cauchemar. Le premier événement dramatique plongera cette famille dans l'horreur et la folie.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Depuis tout jeune, je regardais les séries policières américaines à la télévision qui m'ont bien inspirées, mais mes vraies sources d'inspiration ont été les auteurs Stephen King, Mary Higgins Clark et Franck Thilliez.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

"Le crime de l'Orient Express" d'Agatha Christie.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Aimable, honnête, franc.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Dans la vie, on ne fait pas ce que l'on veut mais on est responsable de ce que l'on est.

6. Quel est votre mot préféré ?

Amitié.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

J'ai besoin d'écrire toutes les histoires policières qui me viennent dans ma tête. J'ai besoin de m'extérioriser, de me libérer la tête et l'esprit.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

"Croc-blanc" de Jack London.

9. Stylo ou clavier ?

Stylo.

10. Le mot de la fin ?

Le premier roman, je l'avais terminé en un mois après avoir eu des idées plein la tête. J'avais une envie irrésistible d'écrire alors quand vous avez une envie, une passion, n'hésitez pas, foncez.

Il faut le courage pour tout domaine dans la vie.

Mon second roman réservera une surprise pour les lecteurs, vous allez aimer...

 

Avis éditeur : Dans ce thriller haletant, Jean Camille Vahé nous entraîne dans une enquête complexe dans la sombre ville de Détroit aux États-Unis. Passionnant !