1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?
C’est un roman humoristique et caricatural de la typique star hollywoodienne. Je l’ai écrit relativement facilement, car je n’avais qu’à m’inspirer des faits réels en les exagérant. J’ai moi-même bien rigolé en inventant certains passages.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?
J’aime écrire à la 1ère personne, je trouve cela plus facile et plus agréable à lire pour le lecteur. Il peut ainsi se projeter facilement dans la peau des personnages. Je n’ai pas vraiment d’auteurs fétiches que j’aime lire, je lis un peu de tout, mais souvent des romans écrit à la 1ère personne…

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?
Quand j’étais adolescente, j’étais très fleur bleue et je lisais beaucoup de roman de Barbara Cartland. À force d’en lire, les idées me sont venues pour écrire mon premier roman à l’eau de rose « La Rose ». Ensuite, j’ai continué… Mais celui dont je me souviens particulièrement c’est « La Duchesse a disparu », je m’étais vraiment projeter dans le personnage de Fiona et j’aimais cette idée de « faire lire les images » aux lecteurs.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?
Rêveuse, déterminée et organisée.

5. Quelle est votre citation favorite ?
Qui ne tente rien n’a rien !

6. Quel est votre mot préféré ?
Féérique.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?
Je n’ai pas vraiment de rituel. Je pense à des passages de mon roman à tout moment et je les écris dès que j’en ai le temps, sur mon ordinateur, mon iPhone, un post-it… Je peux écrire autant le soir devant le télé, les week-end, pendant mes pauses au travail ou même pendant la nuit parfois !

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?
Le Journal de Bridget Jones.

9. Stylo ou clavier ?
Clavier, quoi qu’il m’arrive de mettre quelques idées vite fait sur un petit papier qui traine.

10. Le mot de la fin ?
Commencez à lire l’un de mes romans, vous ne pourrez plus vous en passer…

LIRE UN EXTRAIT

AVIS ÉDITEUR : 

À travers ce roman haut en couleur, Sarah Buompane s’empare avec beaucoup d’humour de Rodeo Drive et de sa démesure de gloire, de réussite et de paillettes. Avec ce quatrième livre, elle met en scène le monde fou de Hollywood et laisse libre cours à son imagination pour notre plus grand plaisir.

 

L'on dit que le flamenco, c'est faire l’amour en dansant, à la fois religion et amour exclusif, c’est un amant qui ne nous lâche jamais.

Ce trio de chant, guitare et danse, est né de la fusion de deux cultures : le folklore populaire des campagnes andalouses, et des rythmes de la musique gitane. En flamenco, il faut être à l’écoute de sa propre rythmique et de sa respiration. Le fait de taper des pieds crée des percussions dans le corps et développe une sorte d’osmose entre le danseur et la musique qui fait toute la particularité de cette danse.

C’est cette même osmose qu’Annick Bergelin nous transmet dans Sévillane. À l’image même du Flamenco Sévillan, cet ouvrage retrace l’histoire d’un homme qui se laisse ensorceler par les pas sensuels de la danseuse Alezane. Subjugué par la chaleur sombre et colorée que scandent ses poignets brisés, il découvre brutalement la torture du manque et la douleur de la passion.

Annick Bergelin qui a elle-même suivi des cours de Flamenco pendant 10 ans et pour qui, la richesse du langage est essentielle, communique dans Sévillane l’énergie de cette danse qui se propage voluptueusement dans chaque mot de ce roman âpre et furieux.

Lire un extrait  Commander l'ouvrage

« Si cet ouvrage est une fort belle histoire de passion c’est également la découverte de cette danse " à la fois religion et amour exclusif comme un amant qui ne nous lâche jamais". Forte de cette première sortie, Annick Bergelin va produire un nouveau roman qui se passera en partie sur le Bassin d’Arcachon, et qui retracera le destin d’une femme. » Affaire à suivre...

>> Lire l'article entier de Christian Esplandiu, journaliste pour le Sud-Ouest <<

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?
C’est un roman épistolaire, constitué de la succession des lettres qu’un jeune homme de 30 ans envoie très régulièrement à la femme qu’il aime, restée à Paris. Il relate son long voyage outre-Atlantique qui lui permettra notamment de découvrir New York, ville dont il va littéralement tomber amoureux. La solitude, l’absence prolongée de l’être aimé, des rencontres passionnantes, les lieux visités ou certains évènements qui vont survenir l’amènent à reconsidérer sa vie, le forçant à grandir, à rentrer enfin dans l’âge adulte. Contraint de sortir des idéalisations et des illusions des amours adolescentes, peut-être devient-il capable d’aimer réellement ?

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?
La trame de ce livre est le voyage que j’ai réellement entrepris aux Etats-Unis et au Canada quand j’avais moi-même 30 ans. Sur les thèmes essentiels (l’amitié et l’amour, la conciliation du besoin de liberté et des contraintes de la relation amoureuse), le roman se nourrit de mes réflexions d’adulte soixantenaire. Il puise probablement aussi dans mon expérience professionnelle (j’ai longtemps été formateur dans le domaine des relations humaines, puis thérapeute de couple) et, sans doute, de quelques difficultés personnelles…

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?
J’ai toujours eu envie d’écrire. Quand je plonge dans mes archives (j’ai un côté conservateur dès qu’il s’agit de mes écrits personnels ou des livres que je lis), je constate que j’ai toujours écrit, même si New York, mon amour… est le premier ouvrage proposé à un éditeur. Je ne suis pas sûr qu’un livre en particulier ait été le déclencheur de mon besoin d’écrire.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?
Observateur, réfléchi, pragmatique.
Mais d’autres mots moins flatteurs pourraient probablement me décrire de manière tout aussi juste.

5. Quelle est votre citation favorite ?
« La pire des solitudes, c’est d’être un compagnon insupportable pour soi-même » (Jacques Salomé), parce qu’elle nous rappelle la nécessité de soigner la relation que nous avons avec nous-mêmes.
Concernant la vie amoureuse et le couple, j’aime beaucoup cette citation de Khalil Gibran dans Le Prophète : « Dressez-vous ensemble, mais pas trop près l’un de l’autre : car les piliers du temple se dressent séparément, et le chêne et le cyprès ne peuvent croître dans leur ombre mutuelle. »

6. Quel est votre mot préféré ?
Apprendre.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?
Hélas, aucun : j’ai du mal à organiser ma vie personnelle pour dégager suffisamment de temps réguliers à consacrer exclusivement à l’écriture. Je sens pourtant que c’est nécessaire.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?
Pour la limpidité des idées et la beauté du style : n’importe quel livre d’André Comte-Sponville.

9. Stylo ou clavier ?
Dictaphone pour l’enregistrement des idées ou des phrases quand elles viennent. Clavier pour l’écriture.

10. Le mot de la fin ?
J’ai hâte d’être sur le point de relire la version finale de mon prochain roman (ou recueil de nouvelles).

>>> Lire un extrait de son ouvrage <<<

Comment donner envie de lire aux enfants quand l'âge de l'histoire du soir est passé ? 

Un livre, c’est l’évasion quand il pleut dehors, pendant les longs trajets en voiture ou quand la tablette n’a plus de batterie. Mais comment faire aimer la lecture aux enfants dans un monde toujours plus connecté ?

Alors que d'après le Pew Reasearch Center 61% des Français déclarent ne pas vouloir lire autre chose que leurs contenus multimédia, les plus jeunes générations sont les premières touchées.

Réinventer la lecture avec Epopia

Tandis que depuis une quinzaine d’années le niveau des écoliers français a régressé en matière de lecture, Epopia* a pris l'initiative de motiver les jeunes générations en les impliquant davantage. Leur concept ludique et éducatif permet à l’enfant d’être au cœur de l’histoire en étant investi d’un rôle.

Il reçoit donc un premier courrier lui indiquant son personnage et le début des événements, et c’est à lui de décider de la marche à suivre en répondant par écrit. Entre énigmes à résoudre, activités et prises de décisions, il est le maître du jeu. En face, les pédagogues et écrivains d’Epopia accompagnent son aventure en suivant ses goûts afin de lui faire vivre une belle expérience à son rythme.

D’autres clés au quotidien pour donner le goût de la lecture aux enfants

Le reste du temps, le tout n’est pas de leur dire de lire, mais plutôt de les y habituer au fur et à mesure. C’est pourquoi dès le plus jeune âge, le rituel de l’histoire au coucher est importante afin de les familiariser à la lecture (via l’écoute) tout en créant un moment de partage. Dès lors qu’ils apprennent eux-mêmes à lire à 6/7 ans, il faut alors les guider tout en leur laissant libre choix du roman ou de la bande-dessinée qu’ils veulent.

Il est important de ne pas les forcer, sans quoi lire les rebutera pour de nombreuses années à venir. Et ça compte également pour les achats de livres qu’il ne faut pas faire tomber sur Noël et leurs anniversaires. C’est un loisir qui doit leur venir naturellement et pour lequel il ne faut pas créer de rituel.

Du côté de l’école, depuis peu, certaines ont décidé de prendre le relais. Au collège de Banon, à partir de la rentrée 2016, 15 minutes de lecture quotidienne sont obligatoires pour les élèves comme les enseignants. Le gouvernement a généralisé ce type de mesures depuis octobre 2017 en créant des ateliers de lectures animés par des seniors dans des écoles de l’hexagone. Près de 650.000 y participent, ce qui permet de créer du lien en s’amusant autour des livres.

Source : Marie Claire 

Et vous, quelles ont été ou sont vos méthodes pour faire aimer la lecture à vos enfants ? 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?
C’est l’histoire d’amour entre une personne de 58 ans et une femme de la moitié de son âge. C’est le récit, le ressenti et les sentiments mis en valeur des 2 cotés.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?
Il existe plusieurs sources d’inspiration, les seules que le monde acceptent actuellement sont celles concernant des personnes publiques (acteurs, chanteurs, artistes de tous genres, ou politiques…) qui du fait de leur statut et de leurs finances ne choquent plus la bienséance. Alors que vu du coté populaire, les critiques fusent.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?
Je ne lis pas beaucoup et concernant cet aspect, aucun livre ne m’a inspiré.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?
La critique, l’humour, le respect.

5. Quelle est votre citation favorite ?
La valeur des choses n’est pas dans la durée mais dans l’intensité où elles arrivent. C’est pour cela qu’il existe des moments inoubliables, des choses inexplicables et des personnes incomparables.

6. Quel est votre mot préféré ?
Si tout se passe bien…

7. Quel est votre rituel d’écriture ?
Je n’ai pas encore vraiment de rituel d’écriture, tout est dans l’inspiration du moment.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?
Je n’ai pas lu beaucoup de livres, les seuls dont je me rappelle sont ceux de mon époque étudiante, mais « À l’ouest rien de nouveau » d’Erich Maria Remarque m’avait bien plu.

9. Stylo ou clavier ?
Clavier.

10. Le mot de la fin ?
Il vaut mieux laisser des traces plutôt que des cicatrices.

Créée en 1918, la Ligue contre contre le cancer fêtera ce dimanche 4 février son Centenaire. Une année anniversaire dont l’ambition est de rendre hommage à 100 ans de lutte contre le cancer.

385 000. C’est le nombre de nouveaux cas de cancers en France.

149 500. C’est le nombre de décès liés au cancer en une année.

Le traitement de ce mal est lourd et dure souvent plusieurs années, une période difficile pour les malades et leurs proches. Le retour à la vie "normale" pour les rescapés n'est pas évident non plus. Pleine d'espoir cette sélection pourra peut-être être utile à tous... La mobilisation a aussi lieu en librairie.

1. Leucémie mon ennemie de Jean-Pierre Ciocco

 

En juillet 2013, Jean-Pierre Ciocco est diagnostiqué de la leucémie. Pétrifié mais pourtant confiant en la médecine moderne, il entame un traitement contre ce cancer qui s’est installé dans sa moelle osseuse.

De ce duel mené depuis trois ans, l’auteur en témoigne aujourd’hui tous les aspects : le diagnostic, les traitements abondants, les dommages collatéraux, la greffe de cellules-souches de moelle osseuse et les complications post-greffe. Parfois émaillé d’appréhension, le récit de Jean-Pierre Ciocco est néanmoins celui d’un combattant qui n’a jamais baissé les bras et continue malgré tout de positiver.

Si la thérapie de l’auteur constitue le fil rouge de son ouvrage, il fait défiler dans la deuxième partie de son récit des anecdotes qui ont ponctué sa vie et ses souvenirs les plus marquants. En remontant le temps, il se remémore son enfance dans un village du canton de Fribourg en Suisse et le microcosme de ce petit coin de campagne.

Avis éditeur : Le traitement de la leucémie constitue le fil conducteur de ce récit, éprouvant témoignage adressé à ceux confrontés à de graves maladies.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754734257/#pct0

2. Cela n'arrive qu'aux autres ! d'Odile Chalmin

 À 52 ans, un cancer du sein métastasique est diagnostiqué à Odile Chalmin. Au début, ce fut le déni, un voile posé naïvement sur la gravité de la situation. Quand enfin elle accepte de comprendre, tout s’effondre.

L’instinct de vie, tenace, lui reste au creux du cœur. Touchée mais non vaincue, elle puise au plus profond de son âme des ressources qu’elle croyait taries pour affronter ses nouveaux rivaux. La chimiothérapie, ses effets secondaires, la fatigue, la douleur et l’angoisse. Debout face aux difficultés, elle franchit les obstacles à l’aide de son entourage et de sa détermination, nourrie d’une confiance indéfectible en la vie. Profonde et inébranlable, cette conviction se prolonge au-delà de son combat contre la maladie et irradie tout autour d’elle. Sereine, elle emprunte un nouveau chemin.

À travers ce témoignage, Odile Chalmin relate plus de cinq années jalonnées de crainte, de joie, de douleur, et principalement de lutte. En vivant autrement et en s’appuyant notamment sur l’Art Thérapie, elle donne certaines clés qui peuvent aider ceux qui, comme elle, ne baissent pas les bras.

Avis éditeur : Odile Chalmin nous livre ici un témoignage aussi bouleversant que touchant. C'est avec force et détermination qu'elle nous révèle le combat qu'elle a livré pendant cinq années de maladie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736831/#pct0

3. Gabrielle de Frédéric Taiar

Gabrielle a soixante-seize ans, une vie empreinte d’amour derrière elle et une tumeur au cerveau qui lui sera bientôt fatale. Plongée dans le coma pour la soulager de ses peines, elle reçoit la visite d’un étrange passeur qui la désigne comme son successeur en charge d’accompagner les âmes en partance.

Avec justesse et lucidité, Frédéric Taiar rappelle que la vie est courte et qu’il faut en saisir toute la profondeur. Personne ne sait pour combien de temps cette intensité dure, mais cela n’a pas d’importance car l’esprit s’effacera au profit de l’héritage de l’âme…

C’est à ce degré de réflexion que nous mène ce premier roman. Partagé entre le parcours d’une vie et l’introspection, cet ouvrage nous dépasse et nous submerge du début à la fin.

Avis éditeur : Frédéric Taiar livre un premier ouvrage aussi lucide qu’éloquent. C’est avec conviction qu’il nous amène dans une dimension philosophique essentielle délivrant le secret d’une vie admirablement accomplie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

4. Les silences murmurés d’ Agnès d'Ormesson

 Le cancer du sein touche en France une femme sur huit. Comme tant d’autres avant elle, Agnès n’a pas été épargnée : mais comment surmonte-t-on pareille épreuve ?

Comprenant subitement qu’elle fait partie des mortels, le besoin de témoigner la tenaille. Peindre ou écrire. Ce sera la plume, témoin fidèle de ses peurs, arme essentielle pour vaincre l’immense solitude et l’extrême fragilité dans lesquelles nous plonge la maladie. Miroir de sa résilience, son récit se pare de réconfort, se meut en force et se fait exutoire, pour mieux traduire le quotidien. Bouleversant de sincérité cristalline, authentique reflet d’une femme face à l’angoisse de mourir, cet ouvrage est l’essence intime et pudique de son combat pour la vie. Pour sa fille et son fils, pour son entourage, pour elle-même.

Hymne à la vie si précieuse, aide morale à toutes celles qui doivent vivre cette épreuve, ce récit est le premier ouvrage d’Agnès d’Ormesson aux Éditions du Panthéon.

Avis éditeur : Cet ouvrage est le témoignage d'une femme dont le parcours rejoint celui de tant d'autres et pourtant, sa lecture nous amène sans détour sur le chemin de la solidarité et de la force mentale. Un premier livre précieux, qui retrace l'essence même d'un combat pour la vie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736794/#pct0

5. La chasse aux crabes est ouverte de Richard Coudurier

«La chasse au crabe est ouverte» est plus qu’un livre retraçant la traversée d’une maladie, c’est un l’histoire partagée et partageable d’un Homme « j’ai écrit ce livre non pas simplement pour faire part de ma propre histoire, mais surtout pour essayer d’offrir un peu d’espoir aux “malades temporaires” et “futurs malades temporaires”. Il serait stupide de laisser croire que nous touchons à l’extinction de cette maladie. Mais il serait inconvenant (vis-à-vis du corps médical) de ne pas avoir comme objectif la destruction de cette saloperie. »

Richard Coudurier ne s’est donc jamais battu contre une longue maladie (selon la formule consacrée) ; c’est la maladie qui se bat contre lui.

Avis éditeur : Cet ouvrage est le témoignage d’un homme lucide dont le parcours rejoint celui de tant d'autres.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754737678/#pct0

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?
De l’action sous diverses latitudes qui entraîne inévitablement le choc des personnages et des cultures…

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?
Mes voyages…

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?
Aucun…

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?
Pugnace… Eclectique… Endurant…

5. Quelle est votre citation favorite ?
La vie est un bien perdu
Si on ne l’a pas vécue
Comme on l’aurait voulu…
De Mihail Eminescu

6. Quel est votre mot préféré ?
Voyage..

7. Quel est votre rituel d’écriture ?
Action, rebondissement, action, rebondissement, action, rebon…….

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?
Le mal français d’Alain Peyrefitte

9. Stylo ou clavier ?
Stylo d’abord, clavier ensuite…

10. Le mot de la fin ?
Vive la vie…

>>> Découvrez ici l'ensemble de ses oeuvres publiées aux Éditions du Panthéon <<<

Entre les deux guerres mondiales, l’essayiste américain Walter Lippmann écrivait que « la crise de la démocratie occidentale est au sens strict une crise du journalisme ». Cela est vrai près d’un siècle plus tard : crise de confiance, crise de la représentation du réel, remise en question de la qualité des contenus, décomposition de la sphère publique, opinions défaillantes, etc. Et sans journalisme de qualité, quel avenir est envisageable pour les démocraties ?

Dans un tel contexte, nous vous recommandons le livre Toxic, Médias & opinions de François Petitjean : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/toxic/

Un essai critique aux allures de billet d'humeur, explorant le monde des médias et les acteurs qui nourrissent leur contenu afin de révéler l’impact qu’ils ont sur notre système de valeurs et de fonctionnement. Une belle façon de découvrir la précieuse lucidité de notre auteur !

À ce titre, Xavier Dordor en a rédigé un excellent article pour CB NEWS, à lire dès maintenant :

Vous avez dit « Toxic ? »

François Petitjean a récidivé. Deux livres dans la même année : pour quelqu’un qui ne nous avait pas habitué à une production littéraire en vente libre, il surprend.

Après Adworld, analyse critique (de l’intérieur) du milieu publicitaire, François Petitjean s’en prend aux médias qualifiés de « Toxic », d’où le titre. L’écriture surprend. C’est comme une chronique radio.

Chronique parce qu’il parle plus qu’il n’écrit, dans le temps de la dernière élection présidentielle, de la façon dont les médias traitent les candidats (surtout) et les idées (parfois), radio parce que à l’instar des animateurs/humoristes/journalistes qui font des brèves dans les émissions radio qui invitent des people, ils parlent avant tout d’eux même et de leurs propres opinions tout en s’en défendant.

Au-delà de l’analyse, on a le vécu d’un publicitaire qui aime les médias et regrette de les voir se contenter du minimum. Le vécu d’un publicitaire qui aime les gens et regrette de les voir s’abêtir sans discernement.

C’est vif, fondé, brouillon parfois, mais c’est ce qui en fait le charme : pas d’académisme littéraire mais du vécu dans lequel chacun se reconnait volontiers. Quand il montre le déferlement permanent des fils d’info, le matraquage des mêmes informations sans valeur ajoutée, on ne peut que le suivre. Quand il réfléchit sur l’illusion de la voie du retour que nous confèrent les réseaux sociaux, …on ne peut qu’aspirer à la détox. Mais là pas de recette miracle, tout juste un conseil mais qui le vaut bien : « On a besoin de trier ce qui nous est imposé, on l’a bien fait pour les poubelles ».

>>> Retrouvez l'article ici <<<

 

 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?
Ce livre est un témoignage d’un vécu que j’ai voulu léger et plein d’espoir. Comme un hymne à la vie.
Ce récit peut être partagé avec ceux et celles qui vivent la même chose mais aussi, par ceux qui dans des moments de désarroi ou de douleur veulent baisser les bras. Ceci s’adresse aussi à ceux qui nous entourent, leur faire comprendre ce que nous sommes peut-être incapables de dire de vive voix.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?
En ce qui concerne ce livre, mon vécu. Évidemment, mes enfants et mon entourage, médecins compris.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?
Un livre de Georges Sand « la petite fadette ».

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?
Volontaire, intuitive, optimiste.

5. Quelle est votre citation favorite ?
Carpe diem ou la vie est belle.

6. Quel est votre mot préféré ?
Deux mots : espoir et bonheur.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?
Aucun réellement excepté s’isoler dans un coin d’un café.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?
Autant en emporte le vent.

9. Stylo ou clavier ?
Stylo et clavier après.

10. Le mot de la fin ?
Apporter de l’espoir.

Résumé de l'ouvrage :

Le cancer du sein touche en France une femme sur huit. Comme tant d’autres avant elle, Agnès n’a pas été épargnée : mais comment surmonte-t-on pareille épreuve ?

Comprenant subitement qu’elle fait partie des mortels, le besoin de témoigner la tenaille. Peindre ou écrire. Ce sera la plume, témoin fidèle de ses peurs, arme essentielle pour vaincre l’immense solitude et l’extrême fragilité dans lesquelles nous plonge la maladie. Miroir de sa résilience, son récit se pare de réconfort, se meut en force et se fait exutoire, pour mieux traduire le quotidien. Bouleversant de sincérité cristalline, authentique reflet d’une femme face à l’angoisse de mourir, cet ouvrage est l’essence intime et pudique de son combat pour la vie. Pour sa fille et son fils, pour son entourage, pour elle-même.

Hymne à la vie si précieuse, aide morale à toutes celles qui doivent vivre cette épreuve, ce récit est le premier ouvrage d’Agnès d’Ormesson aux Éditions du Panthéon.

Avis de l'éditeur :

Cet ouvrage est le témoignage d'une femme dont le parcours rejoint celui de tant d'autres et pourtant, sa lecture nous amène sans détour sur le chemin de la solidarité et de la force mentale. Un premier livre précieux, qui retrace l'essence même d'un combat pour la vie.

Prunus Serrulata, Cerisier du Japon

1. Quel âge as-tu ?

- J’ai 14 ans.

2. En quelle classe ?

- Je suis actuellement en 3ème.

 3. Quelle lectrice es-tu ?

- J’aime beaucoup lire. Je le fais dès que possible mais je n’ai pas de genre littéraire préféré. Cependant, j’aime beaucoup les autobiographies et les romans de science-fiction.

4. Où trouves-tu le temps de lire ?

- Après les cours ou avant de me coucher en général et pendant le week-end, quand j’ai du temps libre.

5. Pour toi lire c’est…

- Une passion, lire me permet de me détendre, voyager, réfléchir, me poser des questions, découvrir de nouvelles choses et de nouvelles histoires…

6. Ton premier contact avec les livres ?

- J’ai commencé à lire très tôt. Étant petite, je lisais le plus souvent des bandes dessinées et des mangas.

7. Quel est le premier auteur que tu as aimé ?

- Je pense que le premier auteur que j’ai particulièrement apprécié est Christian Grenier suite à la lecture du livre « Le pianiste sans visage ».

 8. Existe-t-il un livre qui a changé ta vie ?

- Oui, le livre « Arthur Rimbaud, le voleur de feu » de Sarah Cohen-scali.

J’ai également beaucoup apprécié les livres « Vendredi ou la vie sauvage » de Michel Tournier inspiré par « Robinson Crusoé » de Daniel Defoe.

 9. Le livre que tu emmènes partout avec toi ?

- Les livres « L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle et « Des fleurs pour Algernon » de Daniel Keyes.

 10. Selon toi, en quoi les livres sont-ils essentiels dans notre vie ?

- Du point de vue de l’auteur, c’est une manière de s’exprimer ou d’exprimer sa créativité, ses idées, ses avis, ses témoignages et d’ensuite pouvoir les partager sous forme écrite.

Du point de vue du lecteur, c’est une manière de découvrir de nouvelles histoires et tout ce que l’auteur veut lui faire partager.

 11. Quels sont tes souhaits après le lycée ?

- J’aimerai faire des études de psychologie ou de droit ou peut-être travailler dans la presse.

12. Pourquoi avoir choisi les Éditions du Panthéon pour ton stage ?

J’étais curieuse de découvrir le monde des médias et j’aime beaucoup les livres et la rédaction. Je me suis dit que c’était une bonne idée de faire mon stage d’observation dans une maison d’édition et de découvrir comment elle fonctionne.