1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon livre est un ouvrage qui traite le sujet de l’immigration en trois dimensions. La première dimension, est qu’il est un avertisseur pour les candidats à l’exil. La deuxième, est qu’il est un guide pratique pour les immigrés Africains en Europe. La troisième, est qu’il est un aide mémoire et un outil d’invitation au retour sur les terres Africaines.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mes sources d’inspirations sont basées sur le vécu, l’observation, et les témoignages.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

L’enfant Noirde Camara Laye.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Amour – Patience – Travail.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« La bonne éducation est la clé qui ouvre la porte qui mène à la paix » de Doumbouya Kadiatou.

6. Quel est votre mot préféré ?

Amour.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je ne suis pas un rituel précis, j’écris quand l’inspiration est là.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Je crois avoir écrit le livre que j’aurai aimé écrire. Si demain un autre sujet me touche et que l’envie d’écrire se manifeste, alors je me mettrai au travail.

9. Stylo ou clavier ?

Je dirai stylo.

10. Le mot de la fin ?

Je tiens à remercier mes lecteurs pour tout l’amour partagé à travers ce livre. Egalement un grand merci à ma maison d’édition pour le bon travail abattu pour la promotion de ce livre.

Avis de l'éditeur

Un ouvrage lucide qui invite le lecteur à se rendre compte de la réalité de l’immigration en Europe.

Aujourd'hui a lieu la journée internationale de la protection de la couche d'ozone, alors que le 22 septembre sera la journée mondiale sans voiture. L'occasion de vous présenter une sélection d'ouvrages publiés aux Éditions du Panthéon ayant trait à l'écologie.

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1. Quand l’amour de la terre est le talon d’Achille de l’homme… de Christophe Chaillet

« Nous devons comprendre que derrière chaque esprit tourmenté et perdu se cache un talent, un don et un potentiel incroyable que la société doit faire ressortir et utiliser à son avantage. »

L’auteur est enfant de paysan. À la fin de sa scolarité, il a choisi d’apprendre le métier de serveur, il a d’ailleurs eu l’opportunité d’être au service de belles maisons. Bien que sa profession soit peu considérée par certains, il s’agit pour lui d’une véritable vocation… Dans cette autobiographie précoce, il rend hommage à la terre d’où il vient comme à la Terre où l’Homme évolue chaque jour. Il nous livre ses réflexions comme autant de souhaits, de ceux qu’on lance comme des feux d’artifice dans un monde malade, et pour lequel il est encore difficile d’espérer. Christophe Chaillet a l’espoir, les rêves qui vont avec et nous propose de les vivre avec lui, en ayant le courage d’être heureux.

Avis éditeur : Un témoignage autobiographique touchant dans lequel l’auteur fait le lien entre ses racines paysannes et son avenir, en livrant ses réflexions comme autant de souhaits. Un ouvrage empreint d’espoir et du respect d’autrui.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

2. Propulse de Antoine Estève

« Depuis le début du millénaire notre famille humaine et animale a développé le concept original, préalablement dénommé CREAJOB, et maintenant portant le nom de PROPULSE. Ce concept désire marier la créativité, l’imagination, le « pourquoi pas ? » en utilisant les techniques apportées par l’informatique. »

Antoine Estève reprend le projet de son fils disparu, après un long combat contre la SLA (Sclérose Latérale Amyotrophique), en inspirant une dynamique exprimée par le terme de PROPULSE. Comme pour ses précédents ouvrages utilisant les compétences de ses chats, il s’adjoint ici l’aide de son chien Rusty pour comparer les différentes formes d’apprentissage en Europe. À l’issue de ses recherches, il propose une nouvelle filière de formation dans l’écologie et l’environnement et développe un concept mariant l’informatique et la promotion de projets novateurs nécessitant un soutien afin d’être « propulsés » dans la société.

Avis éditeur : Un ouvrage extrêmement novateur, dans lequel Antoine Estève reprend le projet de son fils disparu, qui développe une nouvelle filière de formation alliant écologie, informatique, économie ou encore sociologie.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

3. Écolo - Démago : Quand écologie rime avec démagogie de Emmanuel Decroix

Quand un homme – ou femme – politique revendique être écologiste, il me paraît diffcile de lui accorder un soupçon de confiance. L’écologie n’a jamais été un système de gouvernement ou de gestion d’un pays. L’écologie n’a aucun rapport avec le capitalisme ou le socialisme, pour ne prendre que ces deux exemples.

Emmanuel Decroix amène à s’interroger sur le sens premier de l’écologie. Il démontre que l’idée est vendue par des politiciens qui ne se préoccupent ni de la nature, ni de l’Homme : le mode de pensée « écolo » devient alors un outil électoral, pris en otage par l’économie contemporaine qui manque singulièrement de rigueur. S’imposent alors des interrogations essentielles auxquelles l’auteur propose des solutions concrètes, simples et efficaces en faveur de notre planète. Les politiciens ont-ils vraiment intérêt à prendre des mesures écologiques ?

Avis éditeur : Inviter à la réflexion sur les relations entre économie, politique et écologie. S'interroger en faisant fi du politiquement correct. Emmanuel Decroix sonde dans ce nouvel ouvrage la valeur des mesures dites "écologiques".

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

4. Corriger le progrès de Jean Coroller

« Si l’on admet la valeur morale de la logique, il faut aussi admettre qu’elle sert à construire de l’ordre sensible. Pas n’importe quel ordre. Si l’on croit en la bonté, il ne peut s’agir que d’ordre logique miséricordieux. Quelque chose qui aide à vivre.
C’est le thème de cet essai. »

Dans cet essai novateur, Jean Coroller expose sa vision des évolutions sociétales constatées dans divers domaines au fil du temps. Dans un but de réconciliation de l’homme avec ses pairs comme avec la nature et le reste de son environnement, il propose des mesures correctives afin de pallier les dérives actuelles et de réparer, sinon effacer, les erreurs commises par le passé. Que le social et l’environnemental deviennent des solutions et non plus des problèmes.

Avis éditeur : Peux-t-on réparer les erreurs commises dans le passé en matière d’écologie ? Jean Coroller propose des mesures correctives dans cet essai novateur, où le social et l’environnemental ne sont plus des problèmes mais des solutions.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

5. L’Écologie radicale expliquée à ma belle-mère de Aurélien Dupouey-Delezay

« Le constat que trace l’écologie radicale, c’est qu’il y a un décalage, et même un gouffre, entre notre très haut niveau de développement technique et notre faible niveau de développement spirituel et moral. Nous sommes exactement dans la situation de l’apprenti sorcier : nous avons éveillé un pouvoir que nous ne maîtrisons pas, mais qui nous permet de modifier à la fois la nature et l’être humain lui-même. Pour prendre une autre comparaison, la technique industrielle est dans nos mains comme une arme à feu dans celles d’un enfant de huit ans. Ça ne peut finir que par un drame ! »

La crise écologique est l’un des principaux enjeux de notre époque. Convaincu que seule l’écologie radicale offre des moyens de se préparer au choc à venir, l’auteur s’emploie à la définir au travers d’un dialogue familial. En prônant une véritable réconciliation avec la nature et une philosophie basée sur le respect de toutes les formes de vie, y compris non-humaine, il démontre que cette démarche ne vise pas seulement un bouleversement de notre organisation politique et sociale, mais conduit irrémédiablement à un renouvellement complet de nos mentalités.

Doté d’un esprit lucide et d’une plume convaincante, le défenseur de la planète dresse le constat d’un certain échec de l’écologie radicale, et propose quelques pistes pour une plus grande efficacité de ce courant dont il se revendique.

Avis éditeur : À la fois complet et synthétique, cet ouvrage présente le mouvement complexe de l’écologie radicale. Pédagogue et amusant, il saura séduire les écolo-sceptiques !

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754736695/#pct0

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

C’est, avant d’être un recueil de poèmes, un récit, à la chronologie non linéaire, de ma vie et des différentes émotions que j’ai pu vivre à un moment ou un autre de celle-ci.

Autrement, c’est un recueil qui tranche souvent, qui peut choquer, faire pleurer, aimer, mais c’est avant tout une œuvre vraie et sans artifice autre que les figures styles.

Mon recueil est une succession de propos authentiques, personnels, polémiques, violents, doux, attentionnés, j’en passe et c’est pour ça qu’il est à lire avec attention mais aussi, probablement, avec passion.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Avant tout, moi-même ; parfois j’écris hors de mon ressenti mais je puise toujours un peu dans mon vécu afin de pouvoir être la plus juste dans la retranscription des émotions.

D’une manière plus générale, je m’inspire beaucoup du réel et notre manière de le percevoir : j’écris ce qui est, comment nous voyons ce qui est et comment nous voulons que ce qui est soit.

Enfin, je m’inspire également de ce que je lis, entends, écoute : une discussion, un livre, un commentaire sur internet, une chanson, un poème, tout peut être source d’inspiration si tant est que l’on prête attention à ce qu’il faut.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Romances sans paroles de Verlaine qu’on m’a donné à lire en seconde, j’ai adoré ce livre et je le relis sans problème de temps à autres.

En revanche, je n’avais pas réellement l’envie de me faire publier jusqu’à un certain oral blanc de français en prépa. Mon professeur, à qui j’avais demandé de lire mon premier poème et de m’en faire un retour, m’a donné un texte de Sartre (dont j’ai oublié la source) dans lequel l’auteur défendait la thèse qu’une œuvre littéraire ne peut être complète sans l’intervention d’un lecteur ou d’une lectrice ; je l’ai vu comme un message de la part de mon professeur et j’ai décidé d’écrire encore plus et d’essayer de me faire publier.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Rêveuse, passionnée et curieuse.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« L’important, c’est pas la chute, c’est l’atterrissage ».
Je trouve qu’il y a plusieurs sens de lecture à cette phrase. On peut la prendre comme une inspiration à toujours nous fier à nous-même et de faire ce que l’on sent bien et que ce sera le résultat qui importera ; on peut aussi considérer que l’on est toujours dans une chute perpétuelle au bout de laquelle il y aura un atterrissage mais rien ne dit s’il sera douloureux ou non et c’est à nous de faire en sorte qu’il ne le soit pas ; enfin, on peut considérer que malgré tous nos efforts, si l’on échoue, nos efforts n’auront pas compté et c’est une vision très pessimiste mais malheureusement juste, à mon avis, du monde dans lequel nous sommes : on nous pousse au résultat qu’importent les méthodes, bonnes ou mauvaises et je trouve cela profondément injuste.

6. Quel est votre mot préféré ?

Définir un mot préféré est un exercice difficile, il y en a tellement qui sont si beaux que ce serait difficile d’en choisir un seul ; de manière générale, je trouve que les mots qui comportent une allitération et/ou une assonance sont très beaux, par exemple « précipice » ou « octogone ».

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je n’en ai pas vraiment, j’ai plutôt des situations types.

La plupart du temps, je me décide à écrire sur un certain sujet et j’essaie de trouver l’inspiration pour, que ce soit en regardant dans mon passé, dans l’actualité ou en rêvant la situation.
Parfois, je lis quelque chose qui me plaît et qui me donne envie d’écrire, dans ce cas, je réfléchis aux différents angles de vue et de réflexion pour prendre pas forcément le meilleur (si tant est qu’il y en ait un) mais celui qui me plaît et me parle le plus.

Enfin, et c’est comme ça que j’ai écrit mes poèmes préférés, je vaque à mes activités et une phrase, un vers, une strophe me vient en tête, je réfléchis alors à comment le tourner, comment rythmer et rimer de la manière qui me va le plus, alors je commence à étoffer comme des fondations sur lesquelles on viendrait construire l’ensemble du texte.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Aucun. Pour moi, un livre, ce n’est pas qu’un ensemble de mots sur un papier ou une histoire racontée, c’est aussi et surtout la réflexion et la transcription d’une pensée de l’auteur ou l’autrice au moment de son écriture ; c’est pour ça que je n’ai pas envie de le faire et que toute manière, il me le serait impossible.

En d’autres termes, écrire un livre à la place de quelqu’un entraînerait nécessairement de le modifier et donc de le dénaturer, même s’il est mieux écrit, il sera tout de même écrit différemment et ne pourrait plus être considérer comme étant le même ; on pourrait comparer ça à un dessin : il est parfois aisé de reproduire le style d’un dessinateur ou d’une dessinatrice mais il y aura toujours un coup de crayon qui ne sera pas exactement le même, un peu plus appuyé, légèrement décalé.

9. Stylo ou clavier ?

Porte mines et gomme, j’aime pouvoir effacer autant que je veux sans avoir de ratures et j’aime aussi la sensation du crayon contre le papier. En revanche, je compile ensuite tous mes poèmes sur ordinateur une fois qu’ils sont écrits.

10. Le mot de la fin ?

Écrivez !

Parfois ça vient de rien et on découvre qu’on a un talent pour l’écriture alors qu’on n’y croyait pas. Pour ma part, j’ai toujours été mauvaise élève en cours de français, notamment en dissertation et je pensais, alors que j’en ai toujours, ou presque, eu envie, que je n’aurais jamais les capacités nécessaires pour pouvoir me faire éditer mais j’ai essayé un jour d’écrire parce que j’en ai eu l’envie et l’inspiration (ça se travaille à force d’écrire).

Avis de l'éditeur

«Pensées pansées» est spontané, porté par un souffle puissant, celui d’un être authentique.

Amandine Poli, auteure de Planète healthy girl publié aux Éditions du Panthéon, s'est prêtée au jeu du portrait chinois. Découvrez l'interview en vidéo de cette auteure à l'énergie communicative ! Elle sera également présente au magasin Bio Concept le 16 septembre prochain à Ixelles (Belgique)

« Nous tentons de parcourir l’espace, nous rêvons au-delà de notre planète, alors que l’espace que nous devons conquérir est notre Espace Intérieur. Notre imagination peut nous plonger à l’intérieur de cette Merveille qu’est notre corps, à commencer par la cellule, c’est elle qui nous maintient en vie, qui prend soin de nous en se régénérant encore et encore. »

« Un esprit sain dans un corps sain » : l’adage est bien connu et pour atteindre ce Graal personnel, l’auteur partage avec nous son mode de vie basé sur une alimentation équilibrée et une attention particulière accordée à soi-même et à son environnement. Dans ce guide bien-être émaillé de spiritualité, le lecteur trouvera des conseils d’alimentation, de sport et de philosophie à appliquer facilement au quotidien afin de s’engager sur un chemin plus proche de la nature.

AVIS EDITEUR : Vous êtes à la recherche de bien-être et de spiritualité ? Suivez les conseils judicieux d’Amandine Poli pour prendre en main votre alimentation et votre forme sportive afin de vous rapprocher de la quête d’un esprit sain dans un corps sain. Un ouvrage d’utilité publique !

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1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

William Galant est un jeune homme de 10 ans, vivant sous la protection de son oncle. Le garçon est victime, à l’insu de son plein gré, d’événements surnaturels et inexplicables. L’un de ces événements l’obligent à quitter le domicile de son oncle pour vivre d’incroyables aventures, qui le conduiront à travailler dans un cabaret, à vivre dans la rue, et même à voyager dans un monde caché des humains : le monde d’Entre-Deux. Ses péripéties le conduiront à affronter son père.

C’est un roman que j’espère accessible à tous les publics, aussi bien des enfants qui souhaitent lire leur premier roman, que des fans du genre fantastique, ou des gens qui souhaitent simplement s’évader.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Cela va paraitre banal. Mes sources d’inspirations sont diverses, comme vous pouvez vous en douter. Je suis un grand joueur de jeux vidéo, notamment d’aventures comme Assassin’s Creed et Unchartead, mais aussi de stratégie, gestion, ou fantastiques comme Skyrim. Cinéphile également, je regarde de nombreux films et séries tel que Games of Throne ou les Percy Jackson. En matière de lecture, je m’intéresse bien plus facilement aux grands classiques qu’aux auteurs actuels, ce penchant pour les vieux livres s’est encore accru avec mes études d’histoire. Enfin, je m’inspire des gens, et de la société qui m’entoure. J’espère avoir un esprit critique, et sarcastique qui me permet de caricaturer le monde qui nous entoure aujourd’hui.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Cela va vous paraitre étrange. Mais, l’ouvrage qui m’a donné envie d’écrire n’est pas un grand classique, tel que les ouvrages de Tolkien, ou de Victor Hugo. C’est un ouvrage de deux tomes, assez spécialisé, nommé Le Cycle du Graal, de Jean Markale. Je me suis rendu compte de l’importance du style littéraire avec ce livre. Le fond de l’histoire, ou des connaissances transmises par écrit peut être aussi passionnant que possible, si la forme littéraire n’est pas agréable, voir insupportable parfois… Personne ne lira ces ouvrages.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Pour commencer, je dirais perfectionniste. Je ne suis jamais satisfait de mon travail car je pense qu’il est toujours possible de faire mieux, de trouver de meilleures tournures de phrase, ou de meilleures solutions. Ce côté perfectionniste me vient de mes études dans le Génie Civil et des stages que j’ai effectué dans ce domaine. Il ne faut rien laisser au hasard pour éviter toutes erreurs, qui pourraient avoir des conséquences catastrophiques.  Je garde ce côté perfectionniste dans les livres que j’écris.

Deuxième mot : créatif. Quand je suis confronté à un problème, j’essaie toujours de trouver au moins deux solutions différentes pour le résoudre. Et avec mon handicap je suis très souvent confronté à des problèmes. Cet effort m’a toujours obligé à être créatif dans mes réflexions. Avec le temps, cette créativité a débordé dans mon imagination, ce qui a donné le Monde d’Entre-Deux dans l’univers de mon premier roman, William Galant, l’enfant du démon. Cette créativité qui se développe de par mes diverses occupations, peut pleinement s’exprimer dans mes ouvrages.

Le dernier mot que j’utiliserais pour me décrire est sincère. J’ai des valeurs, de solidarité, d’empathie, de liberté et d’égalité que je tiens absolument à respecter. Pour cela, je reste le plus honnête possible, parfois candide, il est vrai, mais c’est souvent volontaire, pour ne pas déroger à la sincérité que je tiens à respecter. Il faut avouer que la sincérité peut aussi causer des désagrément, toutes vérités n’étant pas bonnes à dire, visiblement.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« Il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace ! », des mots de Danton en 1792. La fortune sourit aux audacieux, comme dit un dicton. Il me semble en effet, que pour mener des projets à bien, il faut toujours savoir faire preuve d’audace pour surmonter d’éventuelles difficultés.

6. Quel est votre mot préféré ?

« Liberté ». Sans l’ombre d’un doute. C’est une valeur qui me tient particulièrement à cœur, tant la mienne, que celle d’autrui. Je m’évertue d’ailleurs à respecter autant que possible les libertés de chacun, en espérant pouvoir être le plus libre possible de mon côté. La liberté est aussi une des valeurs fondatrices de la France, et il est logique de vouloir en profiter, tout en étant conscient de devoir la défendre, si nécessaire.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je n’ai pas de rituel bien précis. En revanche, j’écoute toujours de la musique, ou des reportages, souvent sur l’histoire, pendant que j'écris. J’ai eu toujours tendance à devoir faire deux choses simultanément pour être pleinement concentré, et ne pas m’ennuyer trop vite.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Certainement Sa Majesté des Mouches, de William Golding. C’est un livre qui m’a fait aimer la lecture, et l’écriture. De plus, ce livre envoie un message fort, et le fond du propos est extrêmement intéressant sociologiquement.

9. Stylo ou clavier ?

Mon handicap visuel ne me permet pas d’écrire sur papier pendant une longue période de temps. Mes yeux fatiguent vite, et après une heure d’écriture manuelle, je ne peux plus me relire, et ma calligraphie devient illisible. Je dois donc écrire sur ordinateur, outil permettant bien plus de flexibilité, et d’options d’accessibilité.

10. Le mot de la fin ?

J’espère que mon livre saura vous faire voyager. Et que vous aurez envie de continuer à suivre les aventures de William Galant. Excellente lecture à tous !

Avis de l'éditeur

Plongez dans l'univers foisonnant de Guillaume Pavy où se mèlent magie, sorcellerie et onirisme pour notre plus grand bonheur !

La saison des grands prix d'automne 2019 sera lancée par le jury du Goncourt, qui annoncera sa première sélection le 3 septembre. L'Académie française sera, elle, comme le veut la tradition, la première à dévoiler le nom du lauréat de son Grand prix du roman, fin octobre.

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Prix Goncourt

Décerné depuis 1903 au début du mois de novembre, le Prix Goncourt – plus prestigieux des prix littéraires français – récompense un roman paru dans l'année. Généralement garantie de succès et de visibilité médiatique il a, de Marcel Proust à Michel Houellebecq en passant par Simone de Beauvoir ou Marguerite Duras, été attribué dans le passé à quelques-uns des plus grands écrivains francophones du XXe et XXIe siècle.

Prix Renaudot

Le prix Renaudot a été créé en 1926 par une dizaine de journalistes pour réparer les injustices du prix Goncourt. Le nom du prix est un hommage à Théophraste Renaudot, un des fondateurs de la presse moderne avec sa Gazette, soutenue au XVIIème siècle par Richelieu qui y voyait un instrument de pouvoir important. Le prix est devenue une référence, et son impact sur les ventes est notoire puisque chaque vainqueur du prix Renaudot est distribué en moyenne à 220 000 exemplaires.

Prix Médicis

Créé en avril 1958 par Gala Barbisan et Jean-Pierre Giraudoux, le prix Médicis est décerné tous les ans dans trois catégories différentes : roman français, roman étranger et essai. Désireux de créer un prix «pas comme les autres », les fondateurs ont choisi de récompenser un jeune auteur prometteur au style novateur. Le Médicis étranger est attribué depuis 1970 et le Médicis essai depuis 1985.

Prix Femina

Décerné depuis 1904, le prix Femina a été lancée par des collaboratrices du magazine La Vie heureuse. Particularité de ce prix littéraire, le jury est exclusivement féminin, en réaction au choix du prix Goncourt en 1904, jugé misogyne  par les créatrices du prix Fémina. Cette année-là, il fut décerné à Léon Frapié, au dépens de la favorite Myriam Harry. Le prix Femina récompense chaque année une oeuvre de langue française écrite en prose ou en vers.

Prix de l'Académie française

Le Grand Prix du roman de l’Académie française est l’un des prix littéraires les plus prestigieux de l’Académie. Créé en 1915, il récompense chaque année un ouvrage original de langue française publié dans l'année en cours. Traditionnellement remis en octobre, ce Grand Prix du roman de l’Académie française inaugure la saison des prix littéraires.

Prix Interallié

Fondé en 1930 par des journalistes du Cercle interallié, le prix Interallié est aujourd'hui formé d'un jury composite de lecteurs et de journalistes. Ce prix littéraire récompense de préférence le roman d'un journaliste. Il est surnommé "Intergrasset" car la maison de la rue des Saints-Pères reçoit très souvent le prix Interallié.

Si vous étiez un livre, vous seriez….
Le Guide Michelin, pour faire partager mes adresses, mes joies, mes émotions. Si j’étais le Personnage d’un livre, je serais le jeune écrivain qui mène une enquête sans relâche sur son Maître, juste pour se convaincre lui-même qu’il a raison de le défendre alors que tout l’accuse, dans « La vérité sur l’affaire Harry Quebert ».

Si vous étiez une citation
« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée » dans le Discours de la Méthode de René Descartes, ce qui est tellement vrai et tellement faux en même temps.

Si vous étiez un marque-page
Un livre de photos en noir et blanc, sur papier glacé, entre un portrait de Rita Hayworth et un nu de Ava Garner.

Si vous étiez un discours
« Le discours de la Méthode », ma passion pour Descartes, mais aussi n’importe quel discours de Charles De Gaulle, d’André Malraux, de Léo Hamon ou l’un des si beaux hommages dits par Emmanuel Macron.

Si vous étiez une collection
Une collection de voitures anciennes entre 1935 et 1965, mais s’il s’agit d’une collection de livres, ce serait la série des Lagarde et Michard ou celle des classiques Larousse.

 Si vous étiez un papier
Un papier glacé de photo ou du papier calque, mais si on donne au mot « papier » le sens d’un article de journaliste, ce serait n’importe quelle chronique de Jean Ferniot ou de Philippe Alexandre sur RTL dans les années 70.

Si vous étiez une bibliothèque
Celle de l’ordre des Avocats, au Palais de Justice de Paris. Le lieu est sublime et les livres de Droit si bien écrits, des chefs d’œuvre, dès que l’on atteint un certain niveau d’excellence dans cet Art.

Si vous étiez une recette
N’importe laquelle de Christian Le Squer, qui a enchanté de ses 3 étoiles le Pavillon Ledoyen avant de les transporter au George V, pourvu qu’elle soit à base d’oursins et/ou de pamplemousse.

Si vous étiez un titre de livre
« L’homme révolté », d’Albert Camus, une révolte humaniste, constructive, sans violence, mais sans concessions pour autant, avec la volonté de ne rechercher que ce qui est beau dans l’existence.

AVIS ÉDITEUR : 

Ce roman trace les histoires de ceux qui ont décidé de s’élever dans la verticalité de l’existence et ceux qui ont choisi d’avancer sur l’horizontalité de l’apparence.

Aujourd'hui et jusqu'au 1er septembre se déroule l'Ultra Trail du Mont Blanc, le rendez-vous incontournable pour les trailers du monde entier ! Focus sur quelques ouvrages publiés aux Éditions du Panthéon ayant trait à ce sujet et au sport de manière générale.

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Ultra Trail : la course intérieure de Dominique Simoncini

Ultra Trail : la course intérieure raconte d’une manière humoristique et psychologique l’engagement d’un homme dans la course à pied la plus difficile du monde. Un univers incroyable dans lequel s’ébroue, maintenant, des dizaines de milliers de pratiquants à la recherche d’une nouvelle existence plus charnelle.

Des larmes, beaucoup de rires, des ampoules, des entorses, des émotions fortes et une forte odeur de sueur ! Dominique Simoncini est consultant sur RMC et anime un blog, très visité, ce qui l’a poussé à rédiger un livre complet en plus de ses chroniques.

Sportif de haut niveau, Dominique Simoncini a occupé différents postes dans les domaines marketing, commercial, événementiel ou encore de la communication. En parallèle, il crée et organise le « Super motard de Chamonix », une compétition internationale de moto regroupant les meilleurs pilotes.

En outre, il intervient fréquemment en tant qu’expert et maître de conférences sur le management humain en situation de crise, et l’amélioration des conditions de travail par le maintien de l’activité physique et cérébrale. Il est aussi un des référents « préparation mentale » de l’équipe de France de ski.

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Un coureur des Plaines de Julien Leroy

« Dans ce livre vous ne trouverez pas de performances exceptionnelles, ni de classements élogieux. Il y a l’idée d’un rêve, d’une possibilité. Et si… ? Et si, lors de mes premiers footings, j’avais imaginé courir 100, 150 kilomètres ? Si, lors de mes balades en montagne, j’avais osé penser à la courir. Et si, lorsque je commençais à m’intéresser au trail, j’avais imaginé être au départ de l’UTMB ? Et si, alors que je commençais à écrire sur un blog, j’avais imaginé en faire un livre… »

Dans ce livre, pas de conseils avisés, encore moins de recettes miracles mais le témoignage de la découverte d’une pratique enivrante. L’auteur y partage un cheminement entre les tâtonnements d’un débutant et les méthodes plus affirmées d’un professionnel. Ce qu’il appelle alors « une maigre expérience », est finalement celle d’un coureur amateur qui jongle avec son existence et apprend de façon empirique, à devenir un traileur.

C’est d’une plume vive et sincère que Julien Leroy exprime ainsi l’accomplissement de ce qui lui paraissait encore hier inimaginable. Des courses sur des dénivelés importants aux franchissements de limites jusqu’alors insoupçonnées, l’auteur se confie sans filtre sur son parcours.

Avis éditeur : Véritable récit de ses tribulations de coureur, Julien Leroy y révèle toute l’étendue de sa force mentale et de son humilité. Un ouvrage inspiré et inspirant, qui redonne le goût de l’aventure.

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754738613/#pct0

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Conquêtes de femme de Karine Baillet

Karine Baillet, c’est un étonnant palmarès : 30 pays traversés, 2 podiums aux championnats du monde et des centaines de milliers de dénivelés en course internationale et raids de haut niveau. C’est la 1ère femme à traverser la Manche sur 4 embarcations différentes, la 1ère femme à participer en 2009 au Quaduro et à l’Enduropale du Touquet, course internationale de sports mécaniques.
C’est tour à tour du VTT, canoë, kayak, roller, course à pied, athlétisme, spéléo, alpinisme, natation, planche à voile, wakeboard, catamaran de sport, et kite surf. C’est un pilote d’hélicoptère, un chef d’entreprise, une conférencière, un coach, une enseignante, un auteur et une organisatrice d’événements. Karine Baillet, c’est une sportive du plus haut niveau, une aventurière sans limite, une exploratrice intrépide à l’énergie hors norme. C’est mille femmes en une seule, mille vies en une force motrice, mille projets en un capitaine indéfectible.
Les pieds dans les baskets, le poing tendu vers l’avenir et la tête dans les étoiles !

Avis éditeur : Pour qu'une victoire soit assurée, il faut les armes adéquates. Pour Karine Baillet, qui dispose entre autres d'une paire de jambes, de bras et d'yeux d'acier, ce sera son mental inouï. Prêt pour toutes les aventures, paré pour chaque épreuve et sensible à toutes les causes. Car la conquête est un substantif résolument féminin, comme le prouvent le dictionnaire et Karine Baillet. Et nous aurions tort d'en douter !

Lire un extrait : http://livre.immateriel.fr/fr/read_book/9782754738613/#pct0

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C'est la journée mondiale du chien, le meilleur ami de l'homme depuis la Préhistoire selon le National Geographic. L'occasion de vous présenter deux ouvrages publiés aux Éditions du Panthéon qui parlent de nos amis à quatre pattes.

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Dormir avec les anges de Josyane Carole Rousso

« Quelques jours plus tard le verdict tombe, comme un couperet : l’ensemble du système lymphatique des mamelles est atteint, les boules vont se reformer, grossir, saigner. Tu ne guériras jamais.
À plus ou moins longue échéance, tu es condamnée. Je m’effondre.
Je n’ai jamais connu de cas similaire auparavant, d’attente aussi atroce. Comment vais-je le vivre ? »

Lors d’un séjour à Londres, une femme a le coup de foudre pour une petite femelle teckel aperçue dans une vitrine. Elle la ramène à Étretat, où commencera une belle histoire aux accents tragiques…

Sa plume met ainsi en lumière l’histoire d’un lien indéfectible : celui d’une femme et son chien. Un récit émouvant, passant du point de vue de l’animal à celui de sa maîtresse, qui révèle la joie mais aussi la souffrance engendrées par cet attachement inaltérable.

Avis éditeur : Un ouvrage touchant qui révèle un lien indéfectible scellé par une entente tacite et profondément sincère.

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Idrus, 3 ans et 9 mois ou La féroce épilepsie de Régis Jacquet

« Pour relever la tête “sans les crocs”, et surtout prouver, s’il en est besoin, à certains esprits que la gent animale, particulièrement canine, peut apporter sérénité, joies et chagrins dans un respect et une reconnaissance mutuels.Simple témoignage, un de plus, me direz-vous… À chacun son exorcisme ! Tel est le mien que je tiens à faire partager telle une thérapie bienfaisante.Acceptez donc en toute ouverture d’esprit, loin de toute moralisation, l’augure d’une relation si personnelle et enrichissante pour ces deux Êtres, dont je ne suis que le conteur éphémère encore vivant et le rapporteur le plus fidèle qu’il soit, en mémoire à celui qui m’a donné tant de plaisirs gratuits et de leçons de canidé. »

Dès sa plus tendre enfance, l’auteur a connu la compagnie de la gent canine. À l’heure de la retraite, concrétiser son rêve d’adolescent en adoptant un Braque allemand s’est donc inexorablement imposé.

Sa plume dévoile ainsi le récit d’une relation qui s’est construite au fil du temps et qui s’est, malheureusement, finie trop vite. Un témoignage fort qui traduit l’intensité d’une relation atypique.

Inspiré par la vague 1968, Régis Jacquet est sensible à toute forme d’expression artistique. Veuf depuis 2009, il révèle aujourd’hui le récit d’un parcours commun, celui d’un homme et son chien dont l’attachement restera indéfectible.

Avis éditeur : Un témoignage touchant qui révèle un parcours commun scellé par une entente tacite et passionnée et qui rappelle la fugacité de l’existence.

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1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Au fil des rencontres, des croyances, des rêves, des espoirs, mène-t-on réellement la vie que l’on souhaite ? Ou sommes-nous les illusionnistes de notre propre vie afin de la rendre meilleure face aux attentes d’une gouvernance, d’une société, d’un monde qui nous échappent, que nous ne comprenons plus, dont nous ne voulons plus ? Allons-nous tous devenir des cons, racistes, intolérants ?

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La politique, les politiques, les alliances, les ententes, les échanges, les marchés.
Les Médias. La langue de bois des journalistes, leurs silences. Ce qui n’est pas dit et que l’on devrait dire ?
La vie au quotidien.
La vie de ceux dont on ne parle jamais. Le racisme qui a germé, poussé dans notre société.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Le mien.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Sentimental, rêveur, magicien.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas », Lao Tseu, que je résume à : « Un long chemin commence par un premier pas ».

6. Quel est votre mot préféré ?

« Jane », prénom de ma compagne.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Très tôt le matin avec un bon café coulé.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

La suite du premier.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier et Stylo plume encre bleue.

10. Le mot de la fin ?

Ça continue.

AVIS ÉDITEUR : 

Au travers de ce témoignage, Antoine Félix révèle les épisodes marquants de sa vie pour en extraire un regard politico social. Un ouvrage révolté et révoltant, tant sur la sincérité du propos que sur ses conclusions.

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