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  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il explique, au quotidien, comment peut se passer la vie d’un patient à l’hôpital, qui sait -mais ne veut pas le dire- que son issue est fatale. En parallèle, il explique la vie de son compagnon, complètement submergé de questions, de remords, de regrets. Tous deux vont s’accompagner, s’aider.

L’idée de la mort ne sera évoquée ouvertement qu’une seule fois. Mais elle sera présente à mots couverts tout au long de l’hospitalisation. L’un se débattant pour abandonner, l’autre cherchant l’énergie pour aider et accompagner au mieux.

Au fil des visites, deux êtres vont comprendre et conscientiser leur amour indéfectible.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Dans toute souffrance, dans toute épreuve, il ne suffit de pas grand chose pour trouver du positif.  Plus encore : du bonheur partagé.

Jusqu’au bout, ne jamais douter. Jusqu’au bout, chaque être est capable de trouver la force nécessaire tant physique que psychologique pour que, mutuellement, un couple puisse s’épanouir encore et encore.

Et je suis intimement convaincu qu’il en est de même pour toute expérience douloureuse. Que ce soit la perte d’un chat, la maladie d’un enfant, la mort de ses grands-parents, chacun vit dans ses tripes une douleur. Une souffrance. Alors : cherchons, cherchons comment cette tragédie peut être non pas transformée mais sublimée en quelque chose de positif.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Pour ce livre en particulier, il est évident que ma source d’inspiration a été très personnelle et intime. « Vive la vie, plus que jamais » est un condensé de notes, de mails, de remarques récupérés pendant toute cette période. Au départ, plus de 900 pages étaient retranscrites. Je pense avoir puisé dans tout cela l’essentiel.

Pour les livres en cours et j’espère à venir, mes sources d’inspiration sont la vie des autres. Leur quotidien. J’ai aussi en cours une série de nouvelles complètement imaginaires. Ou pas !

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

J’écris depuis mes 17 ans. Au départ des poèmes. Puis des nouvelles. Et des débuts de romans… Si je devais citer un livre qui m’a donné réellement l’envie d’écrire ce serait sans doutes « Bleu comme l’enfer » de Philippe Djian. Mais bien d’autres auteurs m’ont poussé. Je pense à Marcel Proust, à John Irving, à Katherine Pancol, à Jean d’Ormesson que j’ai eu la chance de rencontrer. Mais tant d’autres ! Je pense à des auteurs compositeurs interprètes comme Barbara, Yves Duteil (que j’ai pu côtoyer et avec lequel j’ai eu la chance d’échanger quelques courriers au début de sa carrière), Lynda Lemay, Mannick…

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Aimer, vivre, mourir.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Ce serait plutôt le titre d’un poème de Louis Aragon : « il n’y a pas d’amour heureux »

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Aucun ! J’ai toujours un carnet et un stylo sur moi et je note. Je note… Puis ensuite je rassemble. Je creuse dans mon imaginaire, dans mes souvenirs. Mais je n’ai pas de rituel précis. Il m’arrive d’écrire à 3h du matin comme à 5h de l’après midi. Les mots se construisent en phrases puis en paragraphes parfois. Et, à un moment donné, le besoin de rédaction survient, sans prévenir.

Si j’avais un seul rituel à donner, ça serait que je commence toujours par l’écriture manuscrite, avec quelques stylos plume fétiches.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai plusieurs projets en cours. Tout d’abord la suite de « Vive la vie, plus que jamais », qui serait un peu moins autobiographique mais pourrait donner des clés, des « lignes de conduites » permettant de se reconstruire après un drame. Comment reprendre le fil de sa vie, en en changeant le cours ou pas.

Je pense aussi proposer à l’édition un recueil de poèmes, de nouvelles, donnant, peut-être, des idées d’introspection, de réflexion.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Un contact humain, une ouverture d’esprit quant au contenu de mon livre, un accompagnement tout au long du processus de publication et après. Bref : un professionalisme.

  1. Le mot de la fin ?

Vivre… Vivre, vivre ! Profiter de chaque instant comme si c’était le dernier. Carpe Diem…

Découvrir le témoignage "Vive la vie, plus que jamais" : https://bit.ly/3jC5SP4

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’agit d’une « tranche de ma vie » qui, de façon définitive, m’a transformée à tel point que j’ai remis en question toutes mes croyances.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Plus qu’une source d’inspiration, c’est la singularité des faits eux-mêmes que j’ai souhaité écrire. Il s’agit de ma vérité, celle que j’ai vécue et eu peur d’oublier dans un premier temps. Ensuite, j’ai écrit pour répondre à une promesse d’amour que mes premiers lecteurs ont su reconnaitre ; leurs retours m’ont procuré tellement de réconfort…

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Impossible de tous les citer car chaque livre procure des émotions très différentes… Par exemple, j’ai adoré « les grandes familles » pour le style de Maurice DRUON, auteur que j’admire pour sa fascinante simplicité d’écriture mais j’aime également SIMENON ou MAIGNANT pour la complexité de leurs personnages, de leurs histoires.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Réservée (mais pas timide), assurée (mais en apparence seulement car je doute en permanence), pleine de bonnes intentions (mais comme tout le monde, je me trompe quelques fois).

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« On est toujours le con de quelqu’un » aurait ma préférence quand je suis d’humeur légère.  Cela étant, je me rappelle entendre ma mère prononcer cette autre citation lorsque j’étais enfant et que j’ai compris depuis : « va où tu veux, meurs où tu dois ».

  1. Quel est votre mot préféré ?

« AMOUR » : simple, efficace et évident.

C’est la seule et unique solution. Sans amour, quel qu’il soit, il n’y a pas de vie possible.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’adorerais avoir un rituel, cela voudrait dire que j’ai écrit beaucoup !

  1. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

« DA VINCI CODE » (pour ne citer que celui-là). Je me rappelle que j’avais beaucoup de mal à le « lâcher » le temps nécessaire à l’accomplissement de mes tâches quotidiennes. J’ai souvent lu plusieurs livres en même temps mais celui-là avait quelque chose d’hypnotique. Je l’ai tout bonnement dévoré !

  1. Stylo ou clavier ?

Les deux !

  • Le mot de la fin ?

Puisse-t-il n’être qu’un début…

Découvrir 506 : https://bit.ly/3KI8eIq

Écrire

Je m'approche d'une pièce d'eau dans un jardin de Normandie.
Un homme est là, debout, regardant quelque chose que je ne vois pas.
Accords des plantes aquatiques ? Équilibre végétal ? Sereine luxuriance ?
Vais-je l'interroger sur ses choix de telle ou telle variétés de nénuphars plantée dans son étang ? Ou vais-je l'écouter peindre la luminescence aux ombres mêlée de son Bassin aux nymphéas ? Époustouflante phanie, enfin disponible, jetée là sur sa toile et offerte aux yeux de tous.

Écrire, ce n'est pas décrire ce qu'un seul pourrait voir. Écrire, c'est emprunter un carré du monde et le rendre disponible. C'est prendre, ce qui se joue là, le temps de l'instant.
Il n'y a rien d'ordinaire dans ce que le Sentiment perçoit. Écrire, c'est effleurer, du bout du clavier, un morceau choisi, sans pour autant l'extraire de son éternité.

C'est vivre un acte poétique, non définitif,
livré à la bienveillance de chacun.
Écrire est un acte naturel, fondateur, infiniment utile, comme couper du bois ou composer un bouquet de fleurs des champs.

Je souhaite à ceux qui auront l'occasion de me lire un instant de détente.
Un instant loin des encombrements,
des sollicitations, des remises en questions.
Je souhaite qu'en parcourant quelques distances en compagnie de ces mots-là, vous gardiez cette envie renouvelée et féconde d'être vivants.

Les mots sont des perchoirs avant l'envol. Et je vous souhaite l'envol.

Découvrir "Les Dits de Silence à des fragments du chaos mêlés" : https://bit.ly/3J78XkB

Visiter le site de Michel Tauziède : www.micheltauziede.com

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

C’est la première nouvelle d’une trilogie qui incarne l’intime, et traduit ce besoin de vouloir nécessairement le matérialiser. Cela pour mieux le supporter, jusqu’à en atteindre son point de rupture. J’utilise le genre du polar pour sa dynamique, en transposant l’intrigue d’une enquête policière sur une enquête intrinsèque pour découvrir, ou pas, qui est l’assassin de cet intime.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Aujourd’hui, j’ai envie de connaître le message que le lecteur comprendra en lisant mon livre et quelle en sera son interprétation. Rendez-vous donc en librairie, et parlons-en ! Je rajouterais seulement que je me suis amusé avec les mots en les heurtant, et à rassembler une part infime de la richesse de la langue française, dans sa subtilité et sa grossièreté.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Tout. Absolument tout ce qui m’est proposé de vivre chaque jour. Un décolleté, un silence, une bousculade, une haleine, de l’eau-de-vie, du moment que les sens sont en alerte.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Aucun livre en particulier. Je dirais plutôt un opéra que ma mère m’a fait écouter quand j’avais cinq ans : la flûte enchantée de Mozart. C’est alors qu’est né un désir primitif : celui d’exprimer des émotions et de les sublimer. N’ayant aucun talent musical particulier, j’ai pris plus tard une feuille et un crayon.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Lent, paradoxal, hasardeux.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Il y en a tant, mais la dernière en date que j’ai lue est une citation de George Bernard Shaw : le bonheur est comme le blé : On ne devrait pas avoir le droit d’en consommer si on n’en produit pas.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

En principe, j'écris au petit matin quand je me réveille. Sans me l’imposer, mais il y a des matins, où même encore endormi, tout me semble devenir évident, fluide, vrai. Le reste de la journée n’est que récolte d’idées, exploration d’humeurs et débauche de réflexions.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai commencé à écrire une deuxième nouvelle, sans surprise. Ce qui me plairait aussi, c’est de rencontrer d’autres artistes et de créer ensemble. Écrire un livre est essentiellement un exercice d’introspection, donc pourquoi pas ne plus écrire exclusivement « pour » mais également « avec ».

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

D’origine suisse, le chauvinisme aurait dû me diriger vers un éditeur suisse, mais n’ayant pas ce défaut, et d’autant plus qu’aucun parmi eux ne m’a vraiment captivé, j’ai appelé une ancienne amie de Paris qui m’a aussitôt référencé les éditions du Panthéon. Manuscrit envoyé sur le vif et...

  1. Le mot de la fin ?

Amen

Découvrir Requiem pour un cheveu de Christophe P.Cretton : https://bit.ly/3u7XN9G

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Le titre, "Un buffet d’histoires mijotées dans la collectivité", présage de la présentation.

Six récits :

Le premier : votre avion va-t-il au paradis ? On a souvent besoin d’un endroit où se réfugier dans la vie.

Le deuxième : Snowbird, la dernière migration. Comment la pandémie a pu changer les projets de vie de bien des gens.

Le troisième : Les grenouilles qui croassent dans la marre n’empêchent pas l’éléphant de boire. Les problèmes que vivent les familles avec un enfant autiste face à la surdité des autorités.

Le quatrième : B.B.B (Blanc, Bleu, Belge) Une histoire d’émigration et d’amour à trois.

Le cinquième : Donner la parole à un chêne qui fait ses commentaires sur la façon qu’ont les hommes de détruire leur habitat et celui des générations futures.

Le sixième : Naître et apprendre. Réflexion sur les génies et les processus d’apprentissage.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Comme chaque histoire a un message, je vous donne celui du sixième. L’imagination a plus d’importance que la connaissance. (Albert Einstein)

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Les évènements actuels, le regard des personnes.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Rien que la vie d’Alice Munro.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Passionné - solitude - engagé

  1. Quelle est votre citation favorite ?

J’en ai plusieurs. Entre autres, celle qui fait le titre du troisième récit tiré d’un proverbe africain : Les grenouilles qui croassent dans la mare n’empêchent pas l’éléphant de boire.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Trois moments par jour, tôt avant midi, au milieu de l’après-midi et la nuit après le premier sommeil.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Un projet de recueil qui est en cours. Le menu sera inspiré des féminicides, de la réconciliation avec les autochtones et que fait la boussole de la vie lorsqu’il faut organiser l’avenir en absence complète de souvenirs.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

L’accueil, la disponibilité et le pouvoir de diffusion.

  1. Le mot de la fin ?

Autant raconter maintenant parce qu’après c’est trop tard.

Découvrir "Un buffet d'histoires mijotées dans la collectivité" et "Des histoires de gens heureux et de malheureux itou" : https://www.editions-pantheon.fr/?s=maurice+villeneuve

 

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’agit initialement d’un roman dont le projet a commencé il y a plus d’une dizaine d’années.

Il a connu des évolutions au fil des années et au gré de mes évolutions personnelles pour aujourd’hui devenir un recueil de poésies reposant sur différentes thématiques et abordant des problèmes récurrents de notre société actuelle.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Il conviendrait davantage de parler d’analyse que de message.

L’analyse transversale de la société actuelle et des états d’âmes dont je fais la mise en abyme, sont la mise en « miroir » de nos propres turpitudes.

J’essaye simplement au travers d’un travail périlleux, d’être le reflet écrit de la mosaïque de ressentiments auquel nous sommes soumis.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

On peut dire que j’ai deux sources d’inspiration.

Une sur le plan littéraire, une sur le plan personnel.

Sur le plan littéraire, Alfred de Musset, qui m’a beaucoup influencé tout au long de mon travail d’écriture et que j’ai d’ailleurs pris pour habitude de reprendre à plusieurs moments au sein de La comptine des lucioles.

Sur le plan personnel, une personne chère à mon cœur, Brigitte Cohen.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Les ouvrages qui m’ont donné envie d’écrire sont multiples.

J’ai toujours été influencée par les grands dramaturges Français.

L’influence d’Alfred de Musset est particulièrement présente dans mon travail : les Caprices de Marianne, On ne badine pas avec l’amour, mais c’est surtout Confessions d’un enfant du siècle qui a eu une résonnance et un impact considérable sur mon écriture et mon travail et d’autre part, Paroles de Jacques Prévert.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Spontanéité, pugnacité et authenticité.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« Les folies sont les seules choses qu’on ne regrettent jamais » D’Oscar Wild.

Cette citation me correspond assez bien.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Mon rituel d’écriture serait tout simplement de ne pas en avoir.

Me concernant, la créativité et l’imagination sont du domaine de l’instinct, cela ne se prépare pas, ne se commande pas, cela s’impose à moi de manière spontanée, instantanée survenant sur l’instant. Il n’y a pas d’organisation chez moi, je parlerais plus d’une « organisation désorganisée ».

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai plusieurs projets d’écriture en cours, j’adore travailler sur plusieurs projets simultanément, être continuellement en orbite.

Il y en a un qui est plus particulièrement en train de se concrétiser, un nouvel ouvrage, sur lequel je reviendrais prochainement dans la continuité de mon étude expérimentale analytique et sentimentale.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Le chemin de vie de La comptine s’est fait en plusieurs étapes, saccadées, entrecoupées, entre les différentes phases du confinement qui est venu influer sur le parcours de l’ouvrage. Ce dernier a évolué aux fils des mois. Il y a eu dans un premier temps le travail de réécriture en amont qui a été fait, en passant du roman initial, au recueil de poésie. Puis la phase de l’envoi dans un second temps, je me suis finalement résolue à l’envoyer à plusieurs maisons d’édition, 15 au total et j’ai eu la chance et l’immense surprise de recevoir plus de 13 réponses positives avec contrat à la clé.

Mon choix s’est porté sur les Editions du Panthéon, me reposant sur la renommée, le prestige et l’histoire de la maison.

Ces trois points se regroupant au sein de Panthéon, la volonté d’appartenance à une maison qui encourage les nouveaux auteurs aux sortir de la seconde Guerre Mondiale a été pour moi d’une évidence limpide.

  1. Le mot de la fin ?

Je profite de cette interview pour remercier les Editions du Panthéon pour la confiance qui m’a été accordée, pour le chemin que nous avons parcouru ensemble et d’avoir cru en ce projet, en ce rêve qui a enfin pu voir le jour et dont je suis très fière aujourd’hui.

Découvrir "La Comptine des Lucioles" : https://bit.ly/3JiUq5U

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre "Nature et Humanité - Essai poétique" ?

Ecriture poétique : une autre façon de parler de la Nature et de l’humanité qui me tenait à cœur.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Chaque personne a sa part d’implication quant à l’évolution des mœurs et la vie sur notre planète.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Avec une enfance à la campagne, la nature. Et les comportements humains.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Le meilleur de soi de Guy Corneau.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Le savoir    l’humanisme   l’esthétique

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Il n’y a point de chemin vers le bonheur

Le bonheur, c’est le chemin

LA0-TSEU

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Quelle que soit l’heure, ou le lieu : feuille et crayon.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Récits de voyages effectués dans différents pays (Europe, Afrique, Amérique).

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Contacts téléphoniques convaincants.

  1. Le mot de la fin ?

Espérance.

Derrière de grands films se cachent parfois de grands livres. Lorsque l’on voit le film avant de lire le livre, il est ensuite difficile de s’émanciper de l’univers développé à l’écran pour laisser libre court à son imagination en parcourant l ‘ouvrage. Et quel dommage ! Pour vous éviter de passer à côté du plaisir d’imaginer l’histoire, quelle qu’elle soit, les Éditions du Panthéon partagent le top 5 des livres à lire avant de (re)voir le film.

 

Gatsby le magnifique -  F. Scott Fitzgerald

Printemps 1922. L'époque est propice au relâchement des mœurs, à l'essor du jazz et à l'enrichissement des contrebandiers d'alcool... Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s'installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d'un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s'étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble.

Le Seigneur des Anneaux – J.R.R Tolkien

Une contrée paisible où vivent les Hobbits. Un anneau magique à la puissance infinie. Sauron, son créateur, prêt à dévaster le monde entier pour récupérer son bien. Frodon, jeune Hobbit, détenteur de l'anneau malgré lui. Gandalf le magicien, venu avertir Frodon du danger. Et voilà déjà les Cavaliers Noirs qui approchent...
C'est ainsi que tout commence en Terre du Milieu entre la Comté et le Mordor. C'est ainsi que la plus grande légende est née.

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

Un jeune homme corrompu parvient à conserver sa jeunesse et sa beauté grâce à un terrible secret, un tableau qui révèle sa véritable nature.

Harry Potter – J.K Rowling

Harry Potter, un jeune orphelin, est élevé par son oncle et sa tante qui le détestent. Alors qu'il était haut comme trois pommes, ces derniers lui ont raconté que ses parents étaient morts dans un accident de voiture. Le jour de son onzième anniversaire, Harry reçoit la visite inattendue d'un homme gigantesque se nommant Rubeus Hagrid, et celui-ci lui révèle qu'il est en fait le fils de deux puissants magiciens et qu'il possède lui aussi d'extraordinaires pouvoirs.

Mrs Dalloway – Virginia Woolf

Le roman, publié en 1925, raconte la journée d'une femme élégante de Londres, en mêlant impressions présentes et souvenirs, personnages surgis du passé, comme un ancien amour, ou membres de sa famille et de son entourage. Ce grand monologue intérieur exprime la difficulté de relier soi et les autres, le présent et le passé, le langage et le silence, le mouvement et l'immobilité. La qualité la plus importante du livre est d'être un roman poétique, porté par la musique d'une phrase chantante et comme ailée. Les impressions y deviennent des aventures. C'est pourquoi c'est peut-être le chef-d'œuvre de l'auteur - la plus grande romancière anglaise du XXe siècle.

 

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Avec plaisir ! Je serai brève :

D’un prime abord, c’est un roman de science-fiction avec de l’aventure, du suspense, de l’action… mais cela est un leurre. L’intérêt de cette histoire dépasse l’histoire elle-même. Je vois ce livre comme un portail. Portail entre la fiction et la réalité ; entre le concret et l’invisible ; entre le lecteur et ses propres facultés, qu’il ignore peut-être…

2. Quel message voulez-vous transmettre aux lecteurs ?

Qu’il est bien plus qu’il ne le croit ! Nous ne sommes pas que de simples corps pourvus d’intelligence destinés à naître, fonder une famille, travailler puis mourir… Nous avons notre conscience, notre intuition, notre libre arbitre et bien plus encore… Mais il est trop tôt pour en dire plus à ce sujet, pour le moment... Chacun de nos actes, de nos choix, modifie et modèle le monde qui nous entoure : dans une même situation, si je suis triste et passive ou au contraire enjouée et investie, la finalité ne sera pas la même.

Quand on ne se pose pas de questions sur soi-même, la condition humaine, le sens de la vie… On vit en réaction constante avec notre environnement. Or, lorsqu’on entame un travail sur soi, on réalise que c’est notre environnement qui réagit selon ce qu’on lui envoie.

Lire ce roman, tourner la dernière page, c’est l’opportunité de se connecter à son essence intérieure. C’est (re)découvrir que tout part de SOI. Ce livre permet, à celui qui le souhaite, une prise de conscience.

Je pourrais en parler pendant des heures, mais pour faire court, nous avons des facultés que la majeure partie de la population ignore. Mon désir, c’est qu’un maximum de personnes touche cela du doigt, s’interroge puis découvre et expérimente par lui-même…

Sinon, c’est aussi simplement le plaisir de se plonger dans une aventure, et passer un bon moment !

3. Quelles sont vos sources d’inspiration ?

La vie, les gens, le monde. Chaque jour, chaque expérience, chaque rencontre.

Je vois la vie sur Terre comme quelque chose d’incroyable : tout y existe, dans le meilleur comme dans le pire. C’est un infini des possibles !

Ainsi, le devenir de l’Humain et de sa planète, lui aussi est tracé dans une infinité de possibilités. Cela me fascine et m’inspire : quels choix fera chaque humain ? Quelles en seront les résultantes ? Quel devenir choisiront-ils ?

4. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Mon envie d’écrire n’est absolument pas née d’une lecture, au risque de décevoir ! Mon envie d’écrire est née d’une prise de conscience terrible sur l’avenir de l’humanité sans changement radical de sa part. J’avais seulement 8 ans. Je l’ai ressenti telle une claque : guerre, torture, cruauté animale, viols… C’était comme sortir de l’innocence en un instant. C’était si violent en moi que je me suis mise à pleurer et implorer Dieu de prendre ma vie contre un monde de paix, pour que les humains comprennent ! J’ai attendu… Rien n’est venu…

A 17 ans, je travaillais à la ferme, je faisais la traite des vaches, et j’ai réalisé que je ne serai jamais foudroyée comme je l’imaginais, et que le monde ne changerait pas l’instant d’après. J’ai alors compris que je ne devais pas attendre que cela vienne, mais que JE devais agir.

Que faire à 17 ans pour changer le monde ? Comment faire comprendre à ces humains qu’on est capable de tellement mieux ? J’ai alors décidé d’écrire un roman. Mon héro serait une petite fille, Mendy, qui leur délivrerait son message.

L’écriture fût fastidieuse, me prit de nombreuses années… Jusqu’au moment où je dû arrêter : le fond de mon histoire, une science-fiction d’anticipation, ne tenait plus. J’avais 25 ans. Je laissai tomber.

10 ans plus tard, avec énormément de tristesse, je perds ma mère d’un cancer. Les graines qu’elle avait alors plantées en moi se mirent à germer. Je savais qu’il y avait quelque chose après la mort, j’en étais convaincue ! J’ai alors cherché les réponses à mes questions. Je me suis réveillée, j’ai expérimenté, j’ai pris conscience de tant de choses !

Et « l’âme-agit » a commencé. Les pièces de puzzle se sont assemblées… Il me fallait avoir expérimenté et compris de nombreuses choses avant de pouvoir écrire un tel roman…

5. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Authentique ; libre ; en quête de réponses.

Authentique car mon chemin de vie m’a permis d’assumer pleinement qui je suis. Je n’ai plus besoin de porter de masque. Mes défauts, mes failles, mes faiblesses font entièrement partie de moi. Je les ai observés, acceptés, assumés. Et surtout, j’ai conscience qu’ils sont comme moi : en constante évolution !

Libre. Simplement parce qu’être authentique le permet ! Mais aussi parce que j’ai compris que c’est moi et moi seule qui tient les rênes de ma vie. Je veux mourir sans regret. Si ma vie s’arrête demain, je mourrai heureuse car j’ai fait mes choix en âme et conscience. Et je compte bien continuer comme ça !

En quête de réponses car j’ai une multitude de questions. Ce sont les grandes questions de la vie, philosophiques, spirituelles. J’ai déjà trouvé beaucoup de réponses, ce qui me comble, mais plus j’avance et plus je veux aller loin. Comprendre, expérimenter, évoluer… c’est si porteur et libérateur !

6. Quelle est votre citation favorite ?

D’un prime abord j’ai pensé à « Je creuse, tu creuses, il creuse, nous creusons, vous creusez, ils creusent… C’est pas un très beau poème, mais c’est très profond. » Auteur inconnu.

Pour être plus sérieuse, je choisis « Vînt un temps où le risque de rester à l’étroit dans un bourgeon fut plus douloureux que le risque d’éclore » Anais Nin.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

La spontanéité. Je ne cherche pas à trouver l’inspiration en me mettant dans un contexte particulier. C’est quand les idées fusent tant dans ma tête que, de peur de tout oublier, je dois foncer écrire.

J’avoue, mon petit rituel serait de mettre un casque avec pour fond sonore une musique de relaxation.

8. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

La suite ! Elle est en cours d’écriture. Je me rends compte que la démarche pour cette suite est la même que pour « Messy Mendy - l’éveil des consciences ». C’est-à-dire que l’évolution qui se produit dans l’histoire que je raconte, suis ma propre évolution et celle des Hommes. Nous vivons une période vraiment particulière et très riche sur le plan de la spiritualité. La science-fiction se colle à la réalité, et c’est pour cela qu’il va me falloir encore un peu de temps… Le temps d’observer les réactions et choix des humains.

9. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Cela n’a pas été simple. J’ai eu plusieurs propositions, j’ai longuement douté et réfléchi… Puis j’ai laissé mon cœur choisir pour moi. Je pense que c’est la clé pour la réussite, quel que soit le domaine : choisir avec le cœur, l’intensité des vibrations internes plutôt que de toujours mentaliser. Et c’est aujourd’hui sans aucun regret et même avec une grande joie que j’apprécie notre collaboration. Du travail, du sérieux, et de l’humain ; c’est ce qui compte le plus !

10. Le mot de la fin ?

Foncez ! Vivez, vibrez, aimez ! Posez le mental, écoutez votre cœur ! L’amour est la clé de tout. Fermez les yeux et ressentez les battements de votre cœur, c’est là que ça commence…

Découvrir Messy Mendy - L'éveil des consciences : https://bit.ly/31jwwXw