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Cet été, les Éditions du Panthéon proposent de plonger dans un océan d'histoires captivantes. Voici notre sélection de nouvelles pour une virée entre univers authentiques, voyages à travers le temps et l'imagination. Que vous soyez à la recherche de frissons, de poésie ou de réflexions profondes, ces récits ne manqueront pas de vous séduire. Préparez-vous à découvrir cette série de pépites pour combler les longues journées estivales !

Le ciel et l’enfer de Stéphane Koninckx

Dans ces textes courts, denses, aux allures de contes, l’auteur dévoile ses émotions et nous emmène dans ses souvenirs, relatant les métiers qu’il a exercés, les moments figés dans le temps, un sourire, une soirée, une rencontre… Une réflexion sur l’existence à travers l’intimité d’un homme, livrée sans fards et avec sincérité.

 

Crépuscules de Olivier Raymond Martial

Les personnages de ces trois nouvelles errent à la fine frontière qui sépare le réel du fantastique. Comment conserver son humanité lorsque le monde s’éboule autour de soi ? Face à la chute, l’Homme peut-il garder espoir ?

Mélis-Mélos… de François Chapuis

Œuvre composite, « Mélis-Mélos… » saute à cloche-pied de la prose à la poésie en toute liberté. Qu’il aborde le thème sensible de la violence d’un certain système éducatif ou s’empare d’une vision optimiste du monde, l’auteur donne un relief singulier aux souvenirs qu’il évoque et aux révoltes qu’il partage.

Confrontations de Georges Lalandre

Les onze nouvelles de ce recueil dépeignent la confrontation entre notre souhait de tout découvrir de notre univers et notre ambivalence à élargir le périmètre de nos certitudes.
Explorations du paradoxe temporel ou du rapport entre humains et extraterrestres, voyages dans le temps et autres collisions culturelles, apprendre de nouvelles façons de penser et de vivre va se révéler difficile pour certains.

Que la nuit soit avec vous… de André Delbecq

Insomniaque, c’est avec beaucoup de poésie qu’André Delbecq nous relate 365 de ses nuits. Guidé par la fatigue extrême, il décrit le passage du temps, le déroulé des saisons, la beauté des ténèbres et son admiration pour l’astre nocturne.

Découvrir l'intégralité de notre collection "Contes et nouvelles" : https://www.editions-pantheon.fr/collections/contes-et-nouvelles/

 

 

1- Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon ouvrage s'intitule le Poker d'espionnage, évoquant l'histoire d'un espion se nommant Jacob Pelletier. Ce dernier est mis en arrêt de travail imposé par sa hiérarchie et par la psychologue du QG des services secrets. Durant une mission difficile, d'un seul coup, des flashs, des images, un blocage négatif se manifeste dans sa tête suite aux décès de sa famille. En effet, il y a onze ans, Jacob Pelletier a perdu sous ses yeux sa famille tuée lors d'un attentat en Espagne. Son regard va croiser celui du terroriste quelques secondes et va enclencher une détresse psychologique chez lui. Toute sa souffrance, les images des cadavres de ses proches, le regard sombre de ce kamikaze va le plonger dans le cauchemar, la solitude... Puis, il va rapidement découvrir de nouvelles informations futures au sujet de la mission à laquelle il a échoué. Cela va enclencher une guerre terrible contre lui-même et sa hiérarchie. Voulant se racheter, l'envie de retrouver une vie stable, prouver à de nombreuses personnes qu'elles ont fait erreur sur lui, Jacob va travailler secrètement, mentir sur le long terme afin de de rendre hommage à sa famille et pour retrouver la paix en lui-même.

2 - Quel message voulez-vous transmettre aux lecteurs ?

Je souhaite faire passer comme message aux lecteurs, à travers le personnage de Jacob Pelletier, qu'on doit toujours avoir confiance en soi. C'est-à-dire, garder ce brin d'espoir pour continuer à croire en ses rêves, obtenir ce que l'on a besoin pour être heureux dans sa vie malgré des obstacles difficiles qui peuvent nous ralentir ou mettre un terme définitivement à notre ambition car certains n'arrive pas à se relever. Or, dans un premier temps, je montre le côté chagrineur dans l'existence de l'agent Pelletier et dans un second temps, à avancer dans le livre, j'évoque le visage d'un homme prouvant que tout n'était pas perdu.

3 - Quelles sont vos sources d'inspirations ?

Mes sources d'inspiration se sont basés sur certains passages de mon passé, de ma propre imagination personnelle ou dans le décor d'un film ou d'un jeu vidéo. Suite à mon ancien job de policier adjoint durant trois ans, je me suis trouvé dans un mal-être vers les derniers mois dans ce métier où j'ai pris conscience que je ne réaliserais pas mes rêves. Je n'étais plus heureux dans ma vie où le manque de sommeil se faisait ressentir en réfléchissant sans arrêt dans sa mémoire, les entretiens avec la hiérarchie et je me suis plongé dans la solitude et le chagrin. Je souhaitais retrouver une vie heureuse et d'avoir ce brin d'espoir de croire en ses rêves. J'ai voulu mettre en perspective cela chez Jacob Pelletier. Ensuite, le reste est venu de mon imagination où ma base de travail se focalise sur un décor créé de par moi-même ou inspiré d'un film. Puis, je me concentre sur le déplacement des personnages, leurs dialogues, leurs expressions du visage... des choses simples que l'on peut faire dans la vie courante.

4 - Quel est le livre qui vous a donné envie d'écrire ?

 l'âge de seize ans, j'ai commencé à lire mon premier livre de roman policier se nommant "A découvert ". Un ouvrage tiré de l'auteur Harlan Coben et c'est à ce moment précis où j'ai pris conscience que j'avais l'envie de mettre à l'écriture. J'ai commencé à l'âge de dix-huit ans où j'écrivais des répliques de mes films préférés, écrire des petites enquêtes policières qui n'avaient aucun sens où au bout de six pages, on découvrait déjà l'auteur des faits !

5 - Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je me décris comme une personne honnête, ambitieuse et simple.

6 - Quelle est votre citation favorite ?

Ma citation favorite est tirée de l'écrivain Mark Twain : "Les deux jours les plus importants de votre vie sont le jour où vous êtes né et le jour où vous découvrez pourquoi."

7 - Quel est votre rituel d'écriture ?

J'inscris sur un cahier au crayon à papier les grands axes de mon histoire sinon mon rituel d'écriture est assez aléatoire. Je peux me mettre à écrire quand l'inspiration me vient où les idées se mettent en place dans ma tête grâce à une simple observation du monde extérieur ou d'une image visuel. Je peux travailler de deux à six heures devant mon ordinateur, de jour comme de nuit.

8 - Quels sont projets d'écriture pour l'avenir ?

Pour l'avenir, des suites sont prévues sur l'histoire de Jacob Pelletier. Puis, je suis en plein écrit sur une autre histoire de fiction.

9 - Comment s'est fait le choix de votre maison d'édition ?

Mon choix s'est fait simplement sur Internet. J'ai souhaité être édité en recherchant les maisons d'édition existantes. Je ne croyais absolument pas que j'allais être édité. J'ai envoyé mon manuscrit au Editions du Panthéon car ils étaient assez ouverts sur différents styles de travaux comme des poèmes, des pièces de théâtre ou des nouvelles... J'avais le sentiment d'avoir plus de chances auprès d'eux.

10 - Le mot de la fin ?
Mon dernier mot est de vivre de mes bouquins et dans l'espoir qu'ils fassent succès.

Découvrir "Le poker d'espionnage" : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/le-poker-despionnage/

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il y a plusieurs manières de présenter son livre, et, pour ce qui me concerne, ce chemin que j’ai emprunté est tellement long et improbable, un chemin de 60 ans, que je choisirai d’en présenter plutôt l’histoire qui l’accompagne que l’ouvrage lui-même. Pour cela, j’emploierai trois manières différentes de décrire mon parcours qui pourront, peut-être chacune, apporter au lecteur une perspective plus aboutie de mon livre :

A - Un banal puzzle de la carte de France

La genèse de l’ouvrage débute avec un déclencheur, mon premier puzzle de la carte de France et les premières images qu’il me suggère qui dès lors ne me quitteront plus. Comme une porte qui s’ouvre dans un lieu improbable et qui m’interpelle. L’enfant que j’étais n’a su y résister, j’ai poussé la porte et ce que j’y trouvais derrière était tout aussi improbable que la porte elle-même. Comme la feuille blanche de l’écrivain, l’univers que je découvrais alors était plein de vide, comme une ambiance vierge de couleurs, « blanche », qui ne laissait apparaître qu’un chemin, je l’ai emprunté sans jamais savoir où il me conduisait ni où il me conduirait, seulement tardivement, il y a moins de dix ans, pour être plus précis. Bizarrement, plus je m’éloignais de cette porte plus je me sentais emprunter deux chemins en même temps, celui du monde réel que je n’ai jamais quitté, et celui-ci qui commençait à m’envoyer des signes plus je m’y enfonçais. Je le décrirais volontiers comme un chemin initiatique mais j’ai le sentiment qu’il était plus que cela. J’y ai comme traversé les extrêmes, du centre de la Terre jusqu’aux cimes les plus hautes, exaltantes, et dans chacune rencontré l’ivresse. L’impression d’avoir vécu deux vies en même temps.

B - Le travail du géographe

Il y a en parallèle comme un automatisme qui se déclenche en moi et que je décrirai volontiers comme un éveil permanent, à l’écoute de tout, observant chaque détail à la fois dans sa dimension banale mais aussi dans l’intensité qu’il recèle. Mes premières notes d’explorateur m’enrôlent alors. Je ne m’en aperçois pas tout de suite, mais l’explorateur de l’inconnu que je suis devenu est en train de vivre la même expérience que les géographes d’antan, à poser ses observations sur le papier, décrire les sensations que font naître un paysage, sinon sa richesse et sa beauté grâce à « l’âge du pays » (pays-âge), et saisir enfin le crayon de couleur pour laisser une trace où installer l’imaginaire comme un mélange d’individuel et de collectif et finalement effleurer l’âme du monde, ce que CG Jung appellera un jour l’inconscient collectif.

C - L’écriture puis la peinture

Il y a enfin dans ce travail pluri-décennal deux périodes qui s’entrelacent comme une spirale d’ADN, celle de l’écriture au premier chef et puis celle de la peinture qui remet en cause la seule dimension géographique du pays pour l’inviter à endosser, entre autres, une nouvelle dimension plus riche, la personnification des espaces, comme si l’une décrivait une fleur quand la seconde son essence, son parfum. Existe-t-il d’autres dimensions qu’un œil même aguerri ne peut pas voir, une conscience, fusse-t-elle élevée, comprendre ? […] L’image est un seuil conduisant à de nouvelles dimensions de sens […] comme l’affirmait Maître Eckhart. L’univers serait-il fait d’une infinité de dimensions où l’invisible semble vouloir cacher l’essentiel ? Qui enfin, derrière l’invisible ?

Le jour où, grâce à la peinture, je découvris la valeur symbolique de la géographie que j’avais personnifiée m’exposait à de nouvelles recherches, plus précises, où l’intuition guidait sans cesse mes pas. Et les signes que je rencontrais sur ce chemin n’étaient autre que des symboles, alors je me rappelle le jour de ma rencontre avec Xavier Léon Dufour (père jésuite et écrivain) qui, après un long échange sur ce sujet, me dit comme une évidence : « Vous êtes un symboliste ». C’était en 2007, il devait avoir 94 ans, et ce devait être peu de temps avant sa mort.

Ainsi, « Tant que la terre durera » emprunte ce chemin qui n’existe que dans les cartes de l’imaginaire pour semer çà et là tantôt des questions tantôt des interprétations sur la réalité géographique mais aussi humaine du monde. Là où le hasard semble disparaître naissent des coïncidences, un monde où hommes et nations se confondent dans ce qu’Emile Durkheim appelle « l’individu global ».

2. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

 Mon premier message que j’adresse à mes lecteurs est qu’il ne faut jamais cesser de se poser des questions. Il faut même ne pas hésiter à reconsidérer ses certitudes voire ses acquis, là où nos vérités souvent fragiles n’accompagnent le plus souvent que nos croyances. Et puis, enfin, à propos de ce langage géographique qui ne cessera jamais de me surprendre, qu’il existe peut-être une dimension de vie à côté de laquelle nous sommes passés jusqu’à présent et que j’ai tenté de mettre en lumière dans mon ouvrage. Le langage géographique possède-t-il son code, ses propres règles que nous devons découvrir et plus encore une intelligence qui nous dépasse totalement ?

3. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Ma première source d’inspiration fut cette vision d’enfant à l’assemblage des pièces de mon puzzle. Et puis vinrent les auteurs qui avaient parcouru un chemin, le leur, et qui me montraient tous, chacun à sa manière, que le mien avait du sens et qu’il me fallait persévérer. Il s’agit principalement de personnages tels Ch. Baudelaire, Jules Verne, Éliphas Lévi, Th. De Chardin, J. Lovelock, Elie Munk, S. Freud, CG Jung et bien d’autres, philosophes, poètes, inventeurs, etc.

4. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Adolescent, j’ai écrit un roman qui s’intitulait « l’arbre de vie », roman encore aujourd’hui inachevé. L’histoire d’un amour qui traversait le temps et les âges, un amour que le destin avait interrompu trop tôt au Moyen-Âge pour lui redonner vie quelques siècles plus tard. J’ai alors pris goût à l’écriture et n’ai jamais cessé depuis bien que le registre sur lequel j’ai continué soit d’un tout autre genre.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je me sens un peu comme le hérisson qu’aucun obstacle ne peut détourner de sa route et dans cette comparaison je me définirais comme étant « déterminé ». J’ai un objectif, je m’y tiens et ne renonce jamais, quoi qu’il puisse m’arriver, quelles que soient les épreuves à supporter, la solitude principalement pour ne pas tracer plus le trait jusqu’à l’isolement.

J’emploierai ensuite ce trait qui me caractérise d’être « infatigable » qui, à lui seul, porte un certain nombre de traits de caractère comme la ténacité, la persévérance, une volonté très forte, etc. Je me souviens, très jeune, avoir entendu mon entraineur me dire alors que j’étais gymnaste : « Quand on veut, on peut ». A tel point que je m’en suis fait une devise !

Et je me souviens également mes années de recherches dans tous les domaines qui impliquaient autant de lectures, tardives voire nocturnes, qu’il m’est arrivé parfois de ne plus sentir la fatigue jusqu’à ne plus dormir pendant des jours durant, attiré par les lectures et parfois récompensé de quelques découvertes qui remettaient de l’énergie au moteur. Un cercle peu vertueux, en fait !

Enfin, je pense disposer d’un sens aigu de l’observation qui se nourrit d’une immense curiosité tout en se laissant guider, souvent, par l’intuition quand l’observation se limite au visible et au connu. Cette intuition m’a souvent emporté sur la bonne voie, sinon obligé à revenir en arrière pour prendre la bonne direction quand je l’avais manquée. Et comme je le dis souvent, j’ai emprunté un chemin sans jamais savoir où il déboucherait mais cette intuition me faisait quelques fois en sortir pour y découvrir une pépite dans une noirceur absolue au milieu de nulle part. J’en étais à chaque fois subjugué !

6. Quelle est votre citation favorite ?

La première parole de Jésus sur La Croix est et reste à mes yeux une citation indétrônable : "Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font."

Dans son contexte on en comprend le sens, crucifier le Christ ! Mais à travers le temps et les âges jusqu'à aujourd'hui, l'homme a-t-il vraiment changé ? Sait-il ou bien peut-il plus encore aujourd'hui qu'hier prétendre savoir ce qu'il fait vraiment ? L'histoire me rend sceptique car elle ne fait que se répéter en traversant les âges sans jamais changer vraiment.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je ne parlerais pas de rituel à proprement parler, mais plutôt d’un sentiment très fort, d’une disposition ou alors d’une irrésistible envie d’écrire car ce sujet qui a occupé ma vie entière s’est à ce point immiscé en moi qu’il y vit et y travaille sans relâche. Chaque jour s’échafaudent en moi des pensées, des idées, jusqu’à ce que vienne l’heure de les coucher sur le papier. Je dis sur le papier pour imager le propos mais je suis plutôt « clavier ». Il y a quarante, cinquante ans, oui, j’utilisais des livres que j’avais brochés moi-même pour ne pas en perdre une feuille, mais dès que l’ordinateur est apparu, je m’y suis mis à tel point que mon ordinateur m’accompagne partout. Je n’ai pas d’heure particulière pour écrire, de jour comme de nuit, et il peut m’arriver de me lever en pleine nuit pour écrire quelque chose que le lendemain j’aurais oublié.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

 J’ai deux projets d’écriture pour l’avenir immédiat, le premier, un conte fantastique, qui s’intercale parfaitement entre le volume I et le futur volume II de « Tant que la terre durera ». Sans en dévoiler la teneur, il s’agit d’une fiction à propos des rois mages, tandis que le volume II va continuer sur la lancée du volume I à dévoiler de nouveaux pays tels que l’Allemagne, l’Italie, la Chine tout comme entamer le périlleux exercice de réflexion à propos du langage géographique et des possibles dimensions qu’il dissimule.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Une conversation avec le dirigeant des Editions du Panthéon que j’ai beaucoup apprécié a suffi pour me convaincre en plus du sérieux de l’entreprise et de son histoire, la clarté du site web, la richesse de son contenu. Et puis aussi parce que le Panthéon me rappelait une partie de l’histoire de France, histoire que j’ai dévoré avec passion !

  1. Le mot de la fin ?

J’ai souvent pensé à cette fresque du planisphère que j’ai peinte en me posant cette question : cette représentation aboutie qui augmente et révèle cette légende méditerranéenne que je cite dans mon ouvrage va-t-elle durer à travers les siècles ou bien se transformer voire se réduire avec la probable montée des eaux jusqu’à perdre toute signification. Y aurait-il un message alors sur un sommet de sagesse que nous aurions atteint avant de retomber dans les ténèbres à jamais !

Certains pays vont-ils à nouveau perdre leur souveraineté comme c’est le cas aujourd’hui avec l’Ukraine, et combien d’autre par la suite ?

Enfin, si cette fresque détient en son sein toutes les clés de l’humanité, de son commencement jusqu’à sa fin, tous les langages, tous les savoirs, n’est-elle pas comme un filtre dans notre cerveau que notre pensée traverse chaque seconde et dont un grand nombre a su décrypter une infime partie qu’on qualifiera à chaque fois d’invention (la notion d’individu global de Durkheim par exemple) ? L’homme a-t-il inventé quelque chose ou bien a-t-il tout simplement lu une infinitésimale partie de ce planisphère au sens hautement symbolique ?

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