Actualités

 

1- Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon ouvrage s'intitule le Poker d'espionnage, évoquant l'histoire d'un espion se nommant Jacob Pelletier. Ce dernier est mis en arrêt de travail imposé par sa hiérarchie et par la psychologue du QG des services secrets. Durant une mission difficile, d'un seul coup, des flashs, des images, un blocage négatif se manifeste dans sa tête suite aux décès de sa famille. En effet, il y a onze ans, Jacob Pelletier a perdu sous ses yeux sa famille tuée lors d'un attentat en Espagne. Son regard va croiser celui du terroriste quelques secondes et va enclencher une détresse psychologique chez lui. Toute sa souffrance, les images des cadavres de ses proches, le regard sombre de ce kamikaze va le plonger dans le cauchemar, la solitude... Puis, il va rapidement découvrir de nouvelles informations futures au sujet de la mission à laquelle il a échoué. Cela va enclencher une guerre terrible contre lui-même et sa hiérarchie. Voulant se racheter, l'envie de retrouver une vie stable, prouver à de nombreuses personnes qu'elles ont fait erreur sur lui, Jacob va travailler secrètement, mentir sur le long terme afin de de rendre hommage à sa famille et pour retrouver la paix en lui-même.

2 - Quel message voulez-vous transmettre aux lecteurs ?

Je souhaite faire passer comme message aux lecteurs, à travers le personnage de Jacob Pelletier, qu'on doit toujours avoir confiance en soi. C'est-à-dire, garder ce brin d'espoir pour continuer à croire en ses rêves, obtenir ce que l'on a besoin pour être heureux dans sa vie malgré des obstacles difficiles qui peuvent nous ralentir ou mettre un terme définitivement à notre ambition car certains n'arrive pas à se relever. Or, dans un premier temps, je montre le côté chagrineur dans l'existence de l'agent Pelletier et dans un second temps, à avancer dans le livre, j'évoque le visage d'un homme prouvant que tout n'était pas perdu.

3 - Quelles sont vos sources d'inspirations ?

Mes sources d'inspiration se sont basés sur certains passages de mon passé, de ma propre imagination personnelle ou dans le décor d'un film ou d'un jeu vidéo. Suite à mon ancien job de policier adjoint durant trois ans, je me suis trouvé dans un mal-être vers les derniers mois dans ce métier où j'ai pris conscience que je ne réaliserais pas mes rêves. Je n'étais plus heureux dans ma vie où le manque de sommeil se faisait ressentir en réfléchissant sans arrêt dans sa mémoire, les entretiens avec la hiérarchie et je me suis plongé dans la solitude et le chagrin. Je souhaitais retrouver une vie heureuse et d'avoir ce brin d'espoir de croire en ses rêves. J'ai voulu mettre en perspective cela chez Jacob Pelletier. Ensuite, le reste est venu de mon imagination où ma base de travail se focalise sur un décor créé de par moi-même ou inspiré d'un film. Puis, je me concentre sur le déplacement des personnages, leurs dialogues, leurs expressions du visage... des choses simples que l'on peut faire dans la vie courante.

4 - Quel est le livre qui vous a donné envie d'écrire ?

 l'âge de seize ans, j'ai commencé à lire mon premier livre de roman policier se nommant "A découvert ". Un ouvrage tiré de l'auteur Harlan Coben et c'est à ce moment précis où j'ai pris conscience que j'avais l'envie de mettre à l'écriture. J'ai commencé à l'âge de dix-huit ans où j'écrivais des répliques de mes films préférés, écrire des petites enquêtes policières qui n'avaient aucun sens où au bout de six pages, on découvrait déjà l'auteur des faits !

5 - Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je me décris comme une personne honnête, ambitieuse et simple.

6 - Quelle est votre citation favorite ?

Ma citation favorite est tirée de l'écrivain Mark Twain : "Les deux jours les plus importants de votre vie sont le jour où vous êtes né et le jour où vous découvrez pourquoi."

7 - Quel est votre rituel d'écriture ?

J'inscris sur un cahier au crayon à papier les grands axes de mon histoire sinon mon rituel d'écriture est assez aléatoire. Je peux me mettre à écrire quand l'inspiration me vient où les idées se mettent en place dans ma tête grâce à une simple observation du monde extérieur ou d'une image visuel. Je peux travailler de deux à six heures devant mon ordinateur, de jour comme de nuit.

8 - Quels sont projets d'écriture pour l'avenir ?

Pour l'avenir, des suites sont prévues sur l'histoire de Jacob Pelletier. Puis, je suis en plein écrit sur une autre histoire de fiction.

9 - Comment s'est fait le choix de votre maison d'édition ?

Mon choix s'est fait simplement sur Internet. J'ai souhaité être édité en recherchant les maisons d'édition existantes. Je ne croyais absolument pas que j'allais être édité. J'ai envoyé mon manuscrit au Editions du Panthéon car ils étaient assez ouverts sur différents styles de travaux comme des poèmes, des pièces de théâtre ou des nouvelles... J'avais le sentiment d'avoir plus de chances auprès d'eux.

10 - Le mot de la fin ?
Mon dernier mot est de vivre de mes bouquins et dans l'espoir qu'ils fassent succès.

Découvrir "Le poker d'espionnage" : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/le-poker-despionnage/

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il y a plusieurs manières de présenter son livre, et, pour ce qui me concerne, ce chemin que j’ai emprunté est tellement long et improbable, un chemin de 60 ans, que je choisirai d’en présenter plutôt l’histoire qui l’accompagne que l’ouvrage lui-même. Pour cela, j’emploierai trois manières différentes de décrire mon parcours qui pourront, peut-être chacune, apporter au lecteur une perspective plus aboutie de mon livre :

A - Un banal puzzle de la carte de France

La genèse de l’ouvrage débute avec un déclencheur, mon premier puzzle de la carte de France et les premières images qu’il me suggère qui dès lors ne me quitteront plus. Comme une porte qui s’ouvre dans un lieu improbable et qui m’interpelle. L’enfant que j’étais n’a su y résister, j’ai poussé la porte et ce que j’y trouvais derrière était tout aussi improbable que la porte elle-même. Comme la feuille blanche de l’écrivain, l’univers que je découvrais alors était plein de vide, comme une ambiance vierge de couleurs, « blanche », qui ne laissait apparaître qu’un chemin, je l’ai emprunté sans jamais savoir où il me conduisait ni où il me conduirait, seulement tardivement, il y a moins de dix ans, pour être plus précis. Bizarrement, plus je m’éloignais de cette porte plus je me sentais emprunter deux chemins en même temps, celui du monde réel que je n’ai jamais quitté, et celui-ci qui commençait à m’envoyer des signes plus je m’y enfonçais. Je le décrirais volontiers comme un chemin initiatique mais j’ai le sentiment qu’il était plus que cela. J’y ai comme traversé les extrêmes, du centre de la Terre jusqu’aux cimes les plus hautes, exaltantes, et dans chacune rencontré l’ivresse. L’impression d’avoir vécu deux vies en même temps.

B - Le travail du géographe

Il y a en parallèle comme un automatisme qui se déclenche en moi et que je décrirai volontiers comme un éveil permanent, à l’écoute de tout, observant chaque détail à la fois dans sa dimension banale mais aussi dans l’intensité qu’il recèle. Mes premières notes d’explorateur m’enrôlent alors. Je ne m’en aperçois pas tout de suite, mais l’explorateur de l’inconnu que je suis devenu est en train de vivre la même expérience que les géographes d’antan, à poser ses observations sur le papier, décrire les sensations que font naître un paysage, sinon sa richesse et sa beauté grâce à « l’âge du pays » (pays-âge), et saisir enfin le crayon de couleur pour laisser une trace où installer l’imaginaire comme un mélange d’individuel et de collectif et finalement effleurer l’âme du monde, ce que CG Jung appellera un jour l’inconscient collectif.

C - L’écriture puis la peinture

Il y a enfin dans ce travail pluri-décennal deux périodes qui s’entrelacent comme une spirale d’ADN, celle de l’écriture au premier chef et puis celle de la peinture qui remet en cause la seule dimension géographique du pays pour l’inviter à endosser, entre autres, une nouvelle dimension plus riche, la personnification des espaces, comme si l’une décrivait une fleur quand la seconde son essence, son parfum. Existe-t-il d’autres dimensions qu’un œil même aguerri ne peut pas voir, une conscience, fusse-t-elle élevée, comprendre ? […] L’image est un seuil conduisant à de nouvelles dimensions de sens […] comme l’affirmait Maître Eckhart. L’univers serait-il fait d’une infinité de dimensions où l’invisible semble vouloir cacher l’essentiel ? Qui enfin, derrière l’invisible ?

Le jour où, grâce à la peinture, je découvris la valeur symbolique de la géographie que j’avais personnifiée m’exposait à de nouvelles recherches, plus précises, où l’intuition guidait sans cesse mes pas. Et les signes que je rencontrais sur ce chemin n’étaient autre que des symboles, alors je me rappelle le jour de ma rencontre avec Xavier Léon Dufour (père jésuite et écrivain) qui, après un long échange sur ce sujet, me dit comme une évidence : « Vous êtes un symboliste ». C’était en 2007, il devait avoir 94 ans, et ce devait être peu de temps avant sa mort.

Ainsi, « Tant que la terre durera » emprunte ce chemin qui n’existe que dans les cartes de l’imaginaire pour semer çà et là tantôt des questions tantôt des interprétations sur la réalité géographique mais aussi humaine du monde. Là où le hasard semble disparaître naissent des coïncidences, un monde où hommes et nations se confondent dans ce qu’Emile Durkheim appelle « l’individu global ».

2. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

 Mon premier message que j’adresse à mes lecteurs est qu’il ne faut jamais cesser de se poser des questions. Il faut même ne pas hésiter à reconsidérer ses certitudes voire ses acquis, là où nos vérités souvent fragiles n’accompagnent le plus souvent que nos croyances. Et puis, enfin, à propos de ce langage géographique qui ne cessera jamais de me surprendre, qu’il existe peut-être une dimension de vie à côté de laquelle nous sommes passés jusqu’à présent et que j’ai tenté de mettre en lumière dans mon ouvrage. Le langage géographique possède-t-il son code, ses propres règles que nous devons découvrir et plus encore une intelligence qui nous dépasse totalement ?

3. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Ma première source d’inspiration fut cette vision d’enfant à l’assemblage des pièces de mon puzzle. Et puis vinrent les auteurs qui avaient parcouru un chemin, le leur, et qui me montraient tous, chacun à sa manière, que le mien avait du sens et qu’il me fallait persévérer. Il s’agit principalement de personnages tels Ch. Baudelaire, Jules Verne, Éliphas Lévi, Th. De Chardin, J. Lovelock, Elie Munk, S. Freud, CG Jung et bien d’autres, philosophes, poètes, inventeurs, etc.

4. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Adolescent, j’ai écrit un roman qui s’intitulait « l’arbre de vie », roman encore aujourd’hui inachevé. L’histoire d’un amour qui traversait le temps et les âges, un amour que le destin avait interrompu trop tôt au Moyen-Âge pour lui redonner vie quelques siècles plus tard. J’ai alors pris goût à l’écriture et n’ai jamais cessé depuis bien que le registre sur lequel j’ai continué soit d’un tout autre genre.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je me sens un peu comme le hérisson qu’aucun obstacle ne peut détourner de sa route et dans cette comparaison je me définirais comme étant « déterminé ». J’ai un objectif, je m’y tiens et ne renonce jamais, quoi qu’il puisse m’arriver, quelles que soient les épreuves à supporter, la solitude principalement pour ne pas tracer plus le trait jusqu’à l’isolement.

J’emploierai ensuite ce trait qui me caractérise d’être « infatigable » qui, à lui seul, porte un certain nombre de traits de caractère comme la ténacité, la persévérance, une volonté très forte, etc. Je me souviens, très jeune, avoir entendu mon entraineur me dire alors que j’étais gymnaste : « Quand on veut, on peut ». A tel point que je m’en suis fait une devise !

Et je me souviens également mes années de recherches dans tous les domaines qui impliquaient autant de lectures, tardives voire nocturnes, qu’il m’est arrivé parfois de ne plus sentir la fatigue jusqu’à ne plus dormir pendant des jours durant, attiré par les lectures et parfois récompensé de quelques découvertes qui remettaient de l’énergie au moteur. Un cercle peu vertueux, en fait !

Enfin, je pense disposer d’un sens aigu de l’observation qui se nourrit d’une immense curiosité tout en se laissant guider, souvent, par l’intuition quand l’observation se limite au visible et au connu. Cette intuition m’a souvent emporté sur la bonne voie, sinon obligé à revenir en arrière pour prendre la bonne direction quand je l’avais manquée. Et comme je le dis souvent, j’ai emprunté un chemin sans jamais savoir où il déboucherait mais cette intuition me faisait quelques fois en sortir pour y découvrir une pépite dans une noirceur absolue au milieu de nulle part. J’en étais à chaque fois subjugué !

6. Quelle est votre citation favorite ?

La première parole de Jésus sur La Croix est et reste à mes yeux une citation indétrônable : "Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font."

Dans son contexte on en comprend le sens, crucifier le Christ ! Mais à travers le temps et les âges jusqu'à aujourd'hui, l'homme a-t-il vraiment changé ? Sait-il ou bien peut-il plus encore aujourd'hui qu'hier prétendre savoir ce qu'il fait vraiment ? L'histoire me rend sceptique car elle ne fait que se répéter en traversant les âges sans jamais changer vraiment.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je ne parlerais pas de rituel à proprement parler, mais plutôt d’un sentiment très fort, d’une disposition ou alors d’une irrésistible envie d’écrire car ce sujet qui a occupé ma vie entière s’est à ce point immiscé en moi qu’il y vit et y travaille sans relâche. Chaque jour s’échafaudent en moi des pensées, des idées, jusqu’à ce que vienne l’heure de les coucher sur le papier. Je dis sur le papier pour imager le propos mais je suis plutôt « clavier ». Il y a quarante, cinquante ans, oui, j’utilisais des livres que j’avais brochés moi-même pour ne pas en perdre une feuille, mais dès que l’ordinateur est apparu, je m’y suis mis à tel point que mon ordinateur m’accompagne partout. Je n’ai pas d’heure particulière pour écrire, de jour comme de nuit, et il peut m’arriver de me lever en pleine nuit pour écrire quelque chose que le lendemain j’aurais oublié.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

 J’ai deux projets d’écriture pour l’avenir immédiat, le premier, un conte fantastique, qui s’intercale parfaitement entre le volume I et le futur volume II de « Tant que la terre durera ». Sans en dévoiler la teneur, il s’agit d’une fiction à propos des rois mages, tandis que le volume II va continuer sur la lancée du volume I à dévoiler de nouveaux pays tels que l’Allemagne, l’Italie, la Chine tout comme entamer le périlleux exercice de réflexion à propos du langage géographique et des possibles dimensions qu’il dissimule.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Une conversation avec le dirigeant des Editions du Panthéon que j’ai beaucoup apprécié a suffi pour me convaincre en plus du sérieux de l’entreprise et de son histoire, la clarté du site web, la richesse de son contenu. Et puis aussi parce que le Panthéon me rappelait une partie de l’histoire de France, histoire que j’ai dévoré avec passion !

  1. Le mot de la fin ?

J’ai souvent pensé à cette fresque du planisphère que j’ai peinte en me posant cette question : cette représentation aboutie qui augmente et révèle cette légende méditerranéenne que je cite dans mon ouvrage va-t-elle durer à travers les siècles ou bien se transformer voire se réduire avec la probable montée des eaux jusqu’à perdre toute signification. Y aurait-il un message alors sur un sommet de sagesse que nous aurions atteint avant de retomber dans les ténèbres à jamais !

Certains pays vont-ils à nouveau perdre leur souveraineté comme c’est le cas aujourd’hui avec l’Ukraine, et combien d’autre par la suite ?

Enfin, si cette fresque détient en son sein toutes les clés de l’humanité, de son commencement jusqu’à sa fin, tous les langages, tous les savoirs, n’est-elle pas comme un filtre dans notre cerveau que notre pensée traverse chaque seconde et dont un grand nombre a su décrypter une infime partie qu’on qualifiera à chaque fois d’invention (la notion d’individu global de Durkheim par exemple) ? L’homme a-t-il inventé quelque chose ou bien a-t-il tout simplement lu une infinitésimale partie de ce planisphère au sens hautement symbolique ?

Découvrir "Tant que la terre durera" : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/tant-que-la-terre-durera/

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

 « Le cœur, l’essence de ma plume » est un recueil basé sur mes ressentis, mes émotions, mon point de vue sur notre société. C’est une ouverture sur mon esprit, sur ce que l’amour représente pour moi, je parle aussi de mes inquiétudes, que ce soit l’avenir, la famille. Je veux faire voyager les lecteurs et les lectrices à travers mes poèmes et mes mots.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Pour être honnête le seul auteur que j’ai lu c’était Victor Hugo, ce que j’avais aimé chez lui c’était sa façon d’écrire que j’aime personnellement. Mes inspirations sont surtout Michel Berger et Jean-Jacques Goldman.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Ironiquement aucun, l’idée d’écrire un livre a toujours été en moi, j’ai commencé à écrire des poèmes en 2016, puis le temps a fait que j’ai fait le grand saut.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Atypique, artiste et rêveur.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Un arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui repousse.

  1. Quel est votre mot préféré ?

Le mot Amour est mon préféré car il représente pour moi la famille, les amis, l'amour d'un couple et aussi la paix.

  1. Quel est votre rituel avant d’écrire ?

Avant d’attaquer un nouveau poème, j’aime lire les anciens.

  1. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Le premier tome de Jurassic Park.

  1. Stylo ou clavier ?

J’aurais bien répondu la plume, comme ce choix n’y est pas alors je dis le stylo.

  1. Le mot de la fin ?

Amour

Découvrir "Le coeur, l'essence de ma plume" : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/le-coeur-lessence-de-ma-plume/

 

1 - Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

J'ai pris plaisir à poursuivre ma vie de musicien improvisateur en remplaçant rythmes et notes par ponctuations et mots.

Et pour chaque nouvelle, une improvisation narrative à partir d’un souvenir, réel ou pas ; comme en Jazz, sur une mélodie et un canevas harmonique.

Et une autre, sur le même point de départ, mais beaucoup plus libre, comme de l’écriture automatique, ou de l’improvisation libre en musique.

2 - Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Je ne crois pas trop aux messages d’auteurs, sauf pour des ouvrages à caractère socio-politique. Les livres sont des bouteilles jetées à la mer.

3 - Qu’elles sont vos sources d’inspirations ?

Je suis attentif à chaque détail de la vie que je traverse, au gens que je croise, aux oiseaux qui volent et aux feuilles d’arbres qui volettent.

J’aime rire. Et je ris beaucoup, même tout seul.

Je suis un contemplatif hyperactif, un loukoum speed !!!

4 - Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

J’ai toujours beaucoup lu. Des livres m’ont réellement marqué, transformé.

L’envie d’écrire m’est venue d’un coup. J’ai cessé un jour de composer quotidiennement de la musique, et me suis amusé de m’autoriser les mots.

5 - Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Vital, optimiste, attentif.

6 - Quelle est votre citation préférée ?

« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas. C’est tout l’inverse. C’est parce que nous n’osons pas que les choses nous paraissent difficiles ».

7 - Quel est votre rituel d’écriture ? 

Aucun rituel. Je me souviens de beaucoup de mes rêves nocturnes. Je brode souvent au tout petit matin ou en pleine nuit sur ce qu’il me reste de ces songes.

Des sensations, des situations, des émotions.

J’écris vite, comme on improvise.

Et je ne relis jamais. J’aurais peur de souiller la sève en ne voulant qu’améliorer a posteriori.

8 - Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je continue à broder sur ce qui vient à ma conscience furtivement. J’ai déjà quasiment fini d’écrire un deuxième recueil.

Je le donne à relire, par petits paquets de pages, et je laisse la personne trier et dire ce qu’il convient de garder dans tout ce que je lui soumets.

Les choses viennent d’un jet, puis ne m’appartiennent plus….

9 - Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Par hasard. J’étais allé dans un ou deux salons du livre, mais ne me sentais pas « légitime » pour aller parler de ce que j’avais écrit aux stands des éditeurs.

Un journal télévisé attrapé par hasard, donnant la parole à une femme qui, pendant le premier confinement Covid, avait retrouvé dans des malles, rangées dans le grenier de la maison de sa grand-mère, des journaux intimes écrits pendant son enfance.

Elle les avait relu, triés, et avait envoyé ce qu’elle trouvait digne d’être lu à une plateforme éditoriale.

Et j’ai fait de même, optant pour les Éditions du Panthéon, car j’avais trouvé leur site et leur catalogue très classe et diversifié.

Un seul envoi ! Et bingo !

10 - Le mot de la fin ?

J’ai toujours été inclassable, là où l’on ne m’attendait pas. J’ai picoré de partout au cours de ma vie. Écrire est une énième pirouette.

La légèreté et la spontanéité…

1 - Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’agit du récit de ma transformation profonde depuis le printemps 2020. Vous pourrez découvrir le long de cette lecture, mes blessures, mes souffrances mais aussi et surtout leurs libérations. Il relate de l’éveil de conscience qui m’a mené vers la spiritualité et la découverte de ma médiumnité.

2 - Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Ce témoignage est un message d’AMOUR et d’ESPOIR. Je m’adresse directement aux lecteurs et les questionne même parfois. Ils peuvent carrément s’identifier à moi et comprendre qu’ils peuvent, eux aussi, guérir. Je leur partage comment je me suis allégée de mes masques et comment j’ai découvert mon authenticité et l’immense pouvoir intérieur que nous avons TOUS.

3 - Qu’elles sont vos sources d’inspirations ?

Tout d’abord, ce livre m’a été dicté par mon âme et certains défunts qui ont aimé m’inspirer tout le long. C’est vraiment d’eux que me viennent mes sources d’inspirations. Mais le livre qui m’a beaucoup aidé à la compréhension de mes blocages c’est « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » de Lise Bourbeau. Cette fabuleuse dame aide des millions de personnes à se découvrir et se libérer.

4 - Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

J’ai eu beaucoup de lectures qui m’ont aidées durant mon travail de développement personnel mais ce sont vraiment mon âme et mes guides qui m’ont impulsé cet élan d’écrire.

5 - Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

VIS LA VIE

6 - Quelle est votre citation préférée ?

Je vais vous en donner deux car elles me touchent et décrivent très bien mon livre « Guérir c’est toucher avec de l’amour ce qui a été précédemment touché avec de la peur » de Stéphen Levine et « Le génie c’est l’enfance retrouvée » de Baudelaire.

7 - Quel est votre rituel d’écriture ?

Mon rituel d’écriture était continuel. C’était toute la journée sans interruption et très souvent même la nuit. Le livre m’a été dicté en un mois et demi.

8 - Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Mon prochain livre sera sur « les enfants intérieurs » et les blessures transgénérationnelles.

9 - Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Le choix a été difficile pour moi car je ne connaissais pas du tout le monde de l’édition. Mais j’ai fait, comme j’agis toujours aujourd’hui, j’ai laissé choisir mon cœur.

10 - Le mot de la fin ?

J’espère de toute mon âme que le but de mon livre sera atteint en aidant et donnant de l’espoir aux lecteurs.

Découvrir "Il est temps" de Sandra Couffin : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/il-est-temps/

Lorsqu’un auteur confie son manuscrit à une maison d’édition, plusieurs étapes sont nécessaires à la publication officielle du livre. Parmi elles : la correction de l'œuvre. Une excellente connaissance de la langue française ne suffit pas à éliminer les éventuelles coquilles, c’est pourquoi il est primordial de déléguer cette phase à un professionnel. 

  • Confier la relecture de son manuscrit à un correcteur professionnel permet tout simplement d’améliorer la qualité de l’écriture d’un auteur. Les erreurs de grammaire, d’orthographe et de ponctuation peuvent être éliminées. Cela contribue à améliorer la clarté et la cohérence du texte. 
  • Un ouvrage corrigé contribue à la crédibilité de l’auteur car si le livre contient des erreurs, cela alimente une impression peu professionnelle et moins sérieuse. 
  • La correction permet de lever les ambiguïtés qui auraient pu subsister au fil des pages. En effet, l’auteur qui s’est concentré sur la conception d’une œuvre et sa rédaction peut manquer de hauteur sur ses écrits. Le filtre de la correction permet d’optimiser la bonne communication des messages de l’auteur. 
  • Ce dernier, en relayant la relecture à un professionnel, gagne un temps précieux dans la réflexion sur les aspects relatifs à la recherche ou la préparation des étapes de promotion. 
  • Le rôle d’un correcteur n’est pas de dénaturer le texte, mais bien d’identifier en toute objectivité ses faiblesses et de les neutraliser. 

Effectuer la correction d’un manuscrit en vue de sa publication est un véritable métier. Aux Éditions du Panthéon, les correcteurs sont tous certifiés Voltaire car ce critère est un gage de qualité, et il est de plus en plus recherché dans le secteur de l’édition.

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ? 

Mon roman « Terreur dans le Pingaluit » est une fiction et se veut une intrigue policière qui se déroule dans le Grand-Nord du Québec. Il est divertissant, instructif et humoristique. Il regorge de références culturelles et artistiques québécoises et françaises. Il est intriguant du début à la fin.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Je me suis inspiré de mon milieu de travail dans le Nunavik pour écrire mon roman et de mes souvenirs d’enfances et de jeunesse tout en puisant dans la gamme d’émotions que j’ai pu ressentir tout au long de ma vie.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Le livre qui m’a donné le goût d’écrire est « L’Alchimiste » de Paulo Coelho et par la suite tous les autres romans du même auteur, car ils sont divertissants et instructifs.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Il serait très difficile de me d’écrire en trois mots; cependant, romantique, passionné et généreux conviendraient à esquisser une ébauche de la personne que je suis devenue avec le temps.

5. Quelle est votre citation favorite ? 

Ma citation favorite serait « Carpe diem », car il n’y a rien de plus important que de vivre le moment présent et de savourer chaque instant que la vie et le destin nous offrent.

Mon mot préféré est « amour », car sans l’amour nous ne sommes rien.

6. Quel est votre rituel d’écriture ?

Mon rituel d’écriture est simple et basé sur mon horaire de travail. Je me lève très tôt le matin, vers 2h00, pour boire quelques bons cafés noirs et écrire, car c’est à ce moment-là que ma concentration et mon esprit créatif sont en alerte. Il va sans dire que je me couche tôt le soir.

7. Quel livre auriez-vous aimé écrire ?

J’aurais bien aimé avoir écrit le roman « Le nom du vent » de Patrick Rothfuss, car c’est un vrai charme et un pur plaisir pour le lecteur.

8. Plutôt stylo ou clavier ?

Il fût un temps durant lequel je privilégiais l’écriture manuscrite, mais à la longue je devins illisible; alors, je me suis adapté au clavier de mon ordinateur portable qui devint mon meilleur ami.

9. Le mot de la fin ?

Pour conclure je dirai que je suis un être spirituel et que j’aime bien manger, rire, m’amuser, voyager et profiter des bons plaisirs de la vie tout en respectant les conventions sociales. Je suis un passionné.

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

 Cet ouvrage est « le livre de ma vie » car je suis très préoccupé par le déclin de la France, la faillite économique à venir, la perte de son identité, les erreurs grossières de politique étrangère, et les risques de guerre civile à venir si rien ne change.

 Ce livre puissant, original, référencé, encyclopédique représente aussi la synthèse de ma pensée politique et géopolitique , ayant déjà écrit trois ouvrages sur les problèmes européens.

2. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ? 

Analyser la situation, pratiquer la politique de l’autruche, en attendant les catastrophes à venir, est inacceptable.

Il importe de dire au lecteur ce qu’il faut faire, d’une façon précise, pour sauver, redresser la France et redonner espoir à la jeunesse de notre pays pour un avenir meilleur, dans un monde multipolaire de plus en plus dangereux.   

3. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

L’Histoire de France, la philosophie, la littérature, mon passé de redresseur d’entreprises et d’homme d’action réaliste, le célèbre Professeur américain Huntington, Julien Freund, la pensée et les réalisations du général De Gaulle.

4. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

 « La décadence » de Julien Freund.

5. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

 Réaliste, érudit, courageux.

6. Quelle est votre citation favorite ?

« Il faut savoir pour prévoir et prévoir pour pouvoir ».

Auguste Comte 

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Un livre profond pour le grand public tous les 5 ans.

8. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai depuis longtemps 3 projets de livres dans mes cartons, mais je préfère écrire sur des thèmes qui peuvent contribuer à changer le cours de l’histoire de mon pays et de la civilisation européenne.

9. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Ce choix s’est fait d’une façon réfléchie pour 3 raisons :

-Les Editions du Panthéon sont une maison d’édition très sérieuse, organisée et professionnelle.

-Le contrat signé avec l’auteur est équilibré si l’on vend un minimum de livres.

-Les Editions du Panthéon permettent à l’auteur d’être imprimé et diffusé par Hachette.

10. Le mot de la fin ?

La situation de la France est très sérieuse, potentiellement explosive.

Il importe que les Français se réveillent et agissent avec des hommes nouveaux, un Homme d’Etat fort, un Etat fort...avec les forts et non plus seulement avec les faibles.

Découvrir "Comment sauver la France" : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/comment-sauver-la-france/ 

Cet ouvrage est aussi mentionné ici .

La New Romance est un genre littéraire qui met l’amour au premier plan, au travers d’histoires sentimentales et scènes charnelles explicites. Anciennement toisés, les livres de romance font leur retour en force depuis une dizaine d’années. Quèsaco ? 

Codes de la New Romance

Ce courant littéraire a pour caractéristique de mettre en scène l’amour naissant de jeunes et belles personnes au bagage sentimental bien présent. Les épisodes torrides ponctuent l’intrigue qui mène la plupart du temps à un heureux dénouement. 

Néanmoins, la New Romance n’est pas que légèreté si l’on considère que le harcèlement moral, sexuel et parfois même le viol et les violences physiques sont régulièrement évoqués en arrière-plan. 

Dans la New Romance, c’est le divertissement qui est visé et non la finesse d’écriture des grands classiques. Au fil des pages, ce qui plaît aux lecteurs -et surtout aux lectrices- est de s’évader du quotidien via ces histoires d’amour pimentées.

New Romance, l’indéniable engouement

Remis au goût du jour par la saga Fifty Shades en 2012, le genre fait de nombreuses adeptes dans le monde, et notamment en France. On note d’ailleurs l’apparition de maisons d’édition spécialisées dans ce segment, ainsi que la multiplication des titres dans les rayons des librairies et bibliothèques ! D’autre part, le festival de la New Romance se tient chaque année en France pour regrouper les amateurs et les auteurs phares des sagas adoubées. 

Parmi les plus gros succès New Romance : 

  • Fifty shades of Grey, EL James
  • After, Anna Todd
  • Calendar Girl, Kirsten Osbourne

Ces séries littéraires, comme bien d’autres qui ont vu le jour aux États-Unis, au Canada et en France, fédèrent un lectorat indéniable et fidèle à chaque nouveau volet. 

La communauté New Romance

De nombreuses sagas New Romance ont vu le jour sur Wattpad, la plateforme d’écriture interactive qui permet de partager ses écrits avec la communauté en ligne. Aussi, l’écriture devient un exercice collectif où les retours des lecteurs présents sur Wattpad influencent la suite du récit et sa publication. 

Cet engagement pour les livres de New Romance provient aussi des codes du genre, qui s’appuient sur des bases susceptibles de parler au plus grand nombre : les relations sentimentales, l’avancée d’une histoire d’amour plus ou moins compliquée et l’intimité sont des sujets dans lesquels chacun peut se projeter. 

La New Romance abrite par ailleurs des sous-genres qui apportent au récit sa particularité, et qui permettent à tous d'y trouver son compte.

Les sous-genres de la romance 

  • Chick-Lit : la « littérature pour poulettes », est écrit par les femmes pour les femmes. Cette cible peut alors s’identifier au personnage principal. Parmi les références de la Chick-Lit, on peut citer Le Journal de Bridget Jones. 
  • Dark-romance : ces récits de romance sont sombres, et les sujets interdits voire tabous s’invitent dans l’intrigue. Le climat général s’en retrouve alors tendu, voire glauque. 
  • Bit-lit : la littérature de vampires (« bit » vient du verbe « to bite » en anglais, qui signifie « mordre »). On y retrouve les codes de la romance, sur fond de fantastique et créatures surnaturelles. La saga Twilight illustre parfaitement ce qu’est le bit-lit. 

Après ce tour d’horizon de la New Romance, voici la sélection des Éditions du Panthéon pour découvrir un roman du genre : 

L’Ange… qu’il aille au Diable de Diane Délos - 19,50€

Chronique d’une rencontre inattendue : celle d’Eve et Johan. Johan est en couple, qui plus est avec un homme… Mais pour Eve, ça n’a pas d’importance. Une attirance mutuelle et inexplicable s’installe, un amour improbable se développe. En cherchant à comprendre les émotions de Johan ainsi que les siennes, Eve écrit, sans relâche. L’écriture mène à la découverte : que va-t-elle comprendre de cette situation si singulière ?

Les mots nourriciers d’Hélène Caratini - 22,50€

Hélène est une femme active, mère adoptive et célibataire, elle rêve parfois de rencontrer le grand amour, celui que seuls les ouvrages romantiques relatent. Jeanne est chercheuse dans un institut, travaille beaucoup et aimerait renouer avec le grand frisson amoureux. Toutes deux vont se trouver suite à une annonce déposée sur un site de rencontre. Une longue correspondance va alors débuter, intense, captivante, dévorante, sensuelle. Lorsque deux femmes s’éprennent l’une de l’autre par le seul biais de l’écriture.

Ces trucs qui pétillent au-dessus de nos têtes de Christine Bécel - 18,90€

La vie sens dessus dessous… Alice, quarante-cinq ans, connaît bien ses aléas.

Cela fait deux ans qu’elle a créé le « Jardin Secret », son salon de thé qui combine galerie d’art et jungle café. Deux ans qu’elle vit avec ses fils, après avoir été plaquée par son mari, pour une plus jeune qu’elle. Deux ans qu’elle a organisé sa vie autour de sa famille et de ses amies.

Et un jour il franchit la porte… et fait réapparaître ces trucs qui pétillent au-dessus de nos têtes, qui bousculent les équilibres et nous encouragent à croire que tout est possible. Mais la vie est étonnante et réserve quelques surprises, sans parler du destin qui n’en fait qu’à sa tête…

François et moi de Louise Phaneuf - 13,90€

Claudine, après avoir vécu un traumatisme, ne se consacre plus qu’à sa carrière et ses amis depuis un moment. Pour son anniversaire, elle s’offre un appartement dans une ancienne bâtisse au charme fou et découvre que son non moins charmant voisin est, entre autres, un écrivain dont elle admire le travail ! Ils apprendront ainsi à se connaître et le destin les amènera à partager des moments très intenses… Qu’adviendra-t-il de leur relation ?

Belle découverte !

Écrivez-nous 2, 3 lignes biographiques.

Fils d’ouvrier. Issu d’une fratrie de 4 enfants ayant vécu en banlieue Parisienne. Seul garçon, j’ai reçu une bonne éducation. L’école était franciscaine. Les jours de repos, j’allais avec mon père sur les chantiers pour éviter de rester dans la cité. J’ai travaillé dans un supermarché avant de partir à l’armée. Puis  ce fut dans la gendarmerie Nationale. En gendarmerie Mobile puis en départementale où j’ai passé l’examen d’OPJ (officier de Police Judiciaire). J’ai bougé en France et en outremer. J’ai ensuite ouvert un Cabinet privé d’Investigations, avant de m’orienter vers la sophrologie évolutive et je suis parti vivre au Québec. Je suis rentré en France début juillet 2022. 

Si vous étiez un livre, vous seriez….

Un beau livre ancien, relié, sur l’histoire. De l’aventure, de l’action et de la Justice et qu’il faut lire avec soin de ne pas l’abîmer. 

Si vous étiez une citation 

« Le bonheur te garde gentil
Les épreuves te gardent fort
Les chagrins te gardent humain
 et les échecs te gardent humble »

Si vous étiez un marque-page

Ce serait une fleur, une rose blanche par exemple.

Si vous étiez un discours

Je prononcerai celui de Martin Luther King. Ce serait un discours de paix et d’amour.

Si vous étiez une collection

Ce serait les blasons et insignes des militaires et des polices du monde. Les images des héros qui ont œuvré pour la paix et la liberté.

Si vous étiez un papier

Je serai du parchemin. Un papier fragile que l’on ne touche qu’avec des gants. 

Si vous étiez une bibliothèque

Un immense bâtiment regroupant toutes sortes de livres sur l’Histoire de l’humanité, sur les découvertes.

Si vous étiez une recette

Un plat Antillais.

Si vous étiez un titre de livre

Ce serait  « Justice ».

Découvrir Anika : https://bit.ly/3iL2BAc