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  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Je présente, cette fois, une réflexion sociétale dont le thème principal porte sur la mort médicalement assistée. Nous nous projetons dans un avenir proche. Notre État a enfin statué et nous allons, à travers le héros, nous positionner à la place de l’exécutant. Mais, ce n’est pas tout…

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Je ne porte aucun jugement personnel au sujet du « suicide assisté » ou toute autre méthode permettant à un être humain de quitter notre monde. Les peurs engendrées par la mort sont peut-être infondées Je vous en explique le pourquoi dans ces quelques chapitres.

 Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Avant d’écrire, il y a une période de recherches et parfois, d’introspection. Mon inspiration vient dès que je me pose et que je réfléchis à ce qui m’entoure. C’est-à-dire nous tous !

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Aucun ouvrage en particulier ne m’a donné envie d’écrire et mes dernières lectures s’arrêtaient à mon adolescence. Depuis que j’ai perdu un pari familial, je me suis remis à lire. J’ai commencé l’ancien Testament et j’ai terminé deux autres ouvrages simples de philosophie grecque. Merci Socrate pour ton courage et ton abnégation, serait-ce déjà un « suicide assisté » ?

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Malin, intuitif, romantique.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

J’adore les citations en général et j’essaie d’en concevoir moi-même avec plus ou moins de réussite ! Alors, je vous citerai, puisqu’il faut en choisir une et pardonnez-moi de devoir en choisir une, Antoine de Saint-Exupéry : « La perfection est atteinte, non pas, lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter. Mais, lorsqu’il n’y a plus rien à retirer.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je n’ai aucun rituel particulier. J’écris quand je le peux déjà ! Heureusement, je n’ai jamais de « syndrome de la page blanche ». Je conseille à ceux qui en ont d’arrêter d’écrire. Pourquoi s’imposer une telle torture ! Écrire doit rester un plaisir !

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je termine actuellement une série de nouvelles. Un troisième roman prend forme doucement. Des poèmes naissent régulièrement et un ami transforme quelques-uns de mes textes en chansons. Mais, je ne m’impose aucun rythme.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Je voulais me sentir compris dans ma démarche d’écrivain. Mon bébé devait être choyé ! Après, un premier tri sur l’internet, les conversations téléphoniques m’ont définitivement convaincues d’adhérer aux projets des Éditions du Panthéon.

  1. Le mot de la fin ?

 J’aimerais tellement pouvoir entrer dans l’esprit de mes lecteurs. Je comparerais les images qu’ils se créent à travers mes mots. Je serais sans nul doute surpris par leurs imaginations ! Leur diversité me rassurerait sur un point : La perfection n’existe pas !

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

C’est l’histoire d’un homme qui voulait être physicien, médecin, musicien, et qui finit par couper 2 918 têtes entre 1792 et 1795.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Aucun !!!

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Tout le monde !

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

L’Ombre jaune. Bob Morane.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Amoureux. Amoureux. Amoureux.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Pas de citation… Pffft… Fini les citations.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Le matin, tous les matins, vacances, jours fériés compris – et le soir parfois après un pétard (qui fait repartir la machine).

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Un téléfilm de la série « Meurtre à… » en l’occurrence à Charleville, autour de la figure de Rimbaud.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Personne d’autre n’a voulu de moi. Et ils sont très sympas au Panthéon.

  1. Le mot de la fin ?

Merci.

Si vous étiez un papier

Si j’étais un papier j’aimerais emballer quelque chose de précieux et fragile, être là pour protéger le poète qui s’exprime et offre de l’espoir a ceux qui le lisent.

Si vous étiez une recette

Si j’étais une recette je servirais à décrire un repas simple et bienfaisant pour ceux qui crèvent de faim.

Si vous étiez une collection

Si j’étais une collection, je serais celle des récits de batailles passées ou vécues, des moments dans l’histoire humaine, sans ou avec leçon, mais rarement apprises.

Si vous étiez une bibliothèque

Si j’étais une bibliothèque, je serais une bibliothèque publique, dans un quartier modeste ou défavorisé, un lieu de repos et de réflexion.

Si vous étiez un titre de livre

Si j’étais un titre de livre ça serait La Banalisation du Mal, qui décrit la banalisation du mal dans les Nations Unis, l’Église catholique, et dans toutes les institutions qui permettent aux gens bien de ne rien faire face à l’horreur et de se cacher en tant qu’individu derrière un concept truqué de « raison d’État ».

Si vous étiez un discours

Si j’étais un discours, on m’aurait prononcé tel que l’a fait le Premier Ministre belge à Kigali en 1999, ou il s’excusait au nom du Royaume belge de ne pas avoir fait assez pour arrêter le Génocide contre les Tutsis au Rwanda en 1994. 

Si vous étiez un livre, vous seriez…

Si j’étais un livre, je l’aurais écrit tel que je l’ai écrit avec le but de transférer le flambeau du père croate Vjeko à quelqu’un d’autre prêt à la porter haut.

« Si vous croyez en l’importance d’une vérité, quelque chose que vous considérez comme profondément nécessaire, et pourtant vous sentez que vous échouez, n’abandonnez pas ! Qui sait ? vous pourriez être celui qui, dans la nuit noire, tient le flambeau qui guidera quelqu'un d'autre à accomplir la mission que vous vous êtes donnée. » 

Si vous étiez une citation 

« Où est Dieu ? Où est-il ?" » a demandé quelqu'un derrière moi…

Pendant plus d'une demi-heure, [l'enfant au bout du nœud coulant] est resté là, luttant entre la vie et la mort, mourant lentement sous nos yeux. Et nous avons dû le regarder en face. Il était encore en vie lorsque je suis passé devant lui. Sa langue était encore rouge, ses yeux n'étaient pas encore vitreux.

Derrière moi, j'entendis le même homme demander :

« Où est Dieu maintenant ? »

Et j'entendis une voix en moi lui répondre :

« Où est-il ? Le voici… Il est pendu ici à cette potence… »

La Nuit, d’Elie Wiesel.

Si vous étiez un marque-page 

Si j’étais un marque-page, je le serai entre la page 64 & 65 de La Nuit d’Elie Wiesel, où il questionne l’existence de dieux et décrit les souffrances de son peuple pour avertir et engager son lecteur a « plus jamais ».

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Ce livre relate mes réflexions presque spontanées sur la vie en général. j’y aborde des thèmes aussi variés que l’amour, la foi, l’espérance ou le chemin de vie.

Il se veut être aussi des pistes de réflexions sur la capacité de l’homme à s’émerveiller de la vie et à trouver la voie du milieu. Ce n’est en aucun cas un livre de développement personnel avec des méthodes. Il s’agit plutôt d’un échange que j’espère constructif pour le lecteur. Même si une trame se déroule tout le long du livre on peut aussi lire les chapitres de façon indépendante aux grés de nos humeurs ou de nos envies.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

C’est avant tout un message d’espoir de foi en la vie même si nous ne pouvons pas écarter les difficultés ou les chagrins.

Il s’agit de construire avec persévérance le bonheur. Non pas un bonheur absolu et infini qui pour moi n’existe pas mais un bonheur choisi parmi les choses simples et belles de la vie. En un mot il s’agit de transmettre l’espérance. Pour cela j’explore plusieurs thèmes que la plupart des lecteurs interrogent : l’amour, le savoir, la connaissance, l’expérience, la sagesse…

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mes sources d’inspirations sont bien sûr et avant tout la lecture j’ai toujours aimé beaucoup lire, des thèmes divers comme la sociologie, l’histoire, la philosophie, mais une des plus grandes inspirations reste l’observation de la vie quotidienne et ce qu’elle apporte de questionnement ou de données philosophiques. La musique est aussi pour moi une grande source d’inspiration : une mélodie, un accord, me donnent à penser à éprouver des émotions et des sentiments que je mets en mots par la suite. Cette réflexion personnelle m’a conduit à la nécessité du partage. ma forte motivation à l’écriture est le partage avec le lecteur afin de livrer quelques pistes de réflexions constructives. .

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Je dirai qu’il y en a eu plusieurs. longtemps j’ai pensé que l’écriture était un monde magique et qu’il ne m’était pas permis d’y accéder même si j’ai toujours plus ou moins écrit pour un compte personnel. Je crois bien que ce sont les livres d’Amélie Nothon qui m’ont donné le goût et le désir de publier. Son univers est très particulier et presque magique pour moi. Face à ce monde là j’ai compris que moi aussi je pouvais exprimer le mien que tout résidait dans le partage avec le lecteur.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Discrétion, amour, persévérance

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Pour changer le monde il faut commencer par nous changer nous-même Gandhi

C’est un chemin d’acceptation tellement responsable et plein d’espoir

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

L’écriture se profile en moi plusieurs heures ou même jours avant d’attraper la plume. Cela devient une nécessité et lorsque j’ai fait la paix en moi alors vient l’inspiration. J’écris plutôt le soir après le repas sur de jolis cahiers au stylo-plume uniquement. J’ai besoin de ce contact charnel avec le papier comme si je rentrais en écriture, je souhaite honorer les mots et les idées naissantes dans une application presque religieuse. Ce sont les pensées et les mots qui viennent qui me font honneur et non l’inverse.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je suis en train d’écrire un roman d’amour entre deux être que tout oppose à priori, cette histoire se passe au milieu de la garrigue entre les chênes verts et l’odeur douce du thym.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

J’ai tout simplement envoyé mon manuscrit, quelques semaines après il était retenu après plusieurs échanges de vive voix avec l’équipe j’ai choisi les Éditions du panthéon pour cette aventure.

  1. Le mot de la fin ?

L’écriture et la publication sont une belle aventure même si elles ne présupposent pas la diffusion numéraire du livre.

Aujourd’hui je sais que petites pensées sur tout et rien n’est le début d’une histoire d’auteure que je me souhaite longue et prospère.

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il était une fois dans le Montana est un roman d’amour « qui finit bien » comme j’aime toujours le préciser. L’histoire raconte la rencontre et la liaison entre deux personnages, Émilie et Christian, venant de deux milieux très différents, mais liés tous deux par la douleur de leur passé. Émilie veut réapprendre à vivre, tandis que Christian, lui, veut réapprendre à aimer. Au fil de rires, de complicité, mais aussi de disputes et de chagrins, les deux héros apprennent à faire ensemble, les premiers pas d’une vie nouvelle, dans le cadre idyllique du Montana.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Lorsqu’une amie qui m’est très chère m’a dit un jour, après une peine de cœur, qu’elle ne croyait plus en l’amour, j’ai été déconcertée : comment était-ce possible ? Comment une personne avait-elle pu lui ôter cette envie d’aimer ? Alors j’ai écrit cette histoire pour elle (car elle est l’héroïne de mon roman), mais aussi pour tous les cœurs blessés, pour prouver que quelles que soient les épreuves que la vie nous amène, il est impossible de cesser d’aimer.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Je regardais tous les dimanches un film en famille, jusqu’à ce qu’un jour je sois particulièrement marquée par Autant en emporte le vent (je l’avais regardé le 31 décembre 2014 avec ma grand-mère, je m’en souviens très bien). Elle a continué à me montrer beaucoup de films, très souvent des romances telles que Le patient anglais, Sur la route de Madison, Out off Africa, L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux… ce qui a forgé mon goût pour les histoires d’amour, mais également pour ces films qui « finissent mal » et qui nous laissent les yeux rougis. Je me suis beaucoup inspirée de ces films pour écrire Il était une fois dans le Montana.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Je n’ai pas de titre en tête, mais je me souviens d’être presque tombée à la renverse après avoir lu certains ouvrages d’Albert Camus et d’avoir été fascinée par Le comte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas. Inconsciemment, je pense que j’avais envie de faire comme eux et d’être comme eux.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Curieuse, car je suis toujours à la recherche de nouvelles connaissances et de nouvelles expériences

Audacieuse, car je ne recule devant (presque) rien, en me disant toujours, « je n’en mourrai pas, alors qu’est-ce qui pourrait bien m’arriver ? »

Généreuse, car je sais que les petites attentions font les plus beaux sourires.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« Moi, je t'offrirai des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas,

Je creuserai la terre, jusqu'après ma mort pour couvrir ton corps d'or et de lumière,

Je ferai un domaine où l'amour sera roi, où l'amour sera loi, où tu seras reine. »

- Ne me quitte pas, Jacques Brel.

Je pense que cette citation est la plus belle chose qui ait été écrite dans la chanson française et représente à mes yeux le plus beau poème du monde.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Lorsqu’une idée me vient en tête, je m’imagine l’histoire d’un bout à l’autre et j’écris les différentes étapes sous forme de plan dans mes notes. Je ne commence jamais d’écrire avant d’avoir toute l’histoire en tête, et je ne l’écris jamais si le film que je m’en fais mentalement n’est pas satisfaisant. Il faut que les lecteurs de mon histoire voient un film en lisant les mots que j’ai écrits.

Une fois que tout cela est en place, je commence l’écriture des chapitres en suivant minutieusement mon plan. J’écris quand j’en ai le temps, chez moi le soir.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai commencé l’écriture du deuxième tome d’Il était une fois dans le Montana qui parlera de la vie d’actrice d’Aurore, la fille d’Émilie. J’ai également quelques projets en tête tels qu’une nouvelle de science-fiction qui prend place dans l’espace.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Je recherchais une maison d’édition qui publiait également des romances. En effectuant mes recherches, je suis tombée sur Les Éditions du Panthéon que je ne connaissais pas du tout, mais dont l’histoire et les ouvrages publiés m’ont tout de suite attirée. Coup de chance, ils ont très vite accepté de publier mon roman, ce qui m’a rendue très heureuse.

  1. Le mot de la fin ?

Merci d’aimer lire.

1.Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

 Les ombres de l’océan auront le dernier mot est un livre qui se classe dans le domaine de la fantasy. Les deux protagonistes de mon récit sont amenés à se rencontrer d’une manière atypique. Lui est le prince Lewis du royaume d’Atlantika situé au fin fond de la mer du Nord, elle, Ambre, va découvrir ses véritables origines en évoluant auprès de lui et sa garde princière.

2.Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?  

Mon récit me permet de véhiculer des messages de sensualité, d’amour intense, de profonds respects envers les êtres, les animaux et les océans, et de pointer le doigt sur quelques aberrations environnementales.

3.Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La planète et l’espoir. La beauté des paysages écossais, la force des océans. L’évasion.

4.Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Tous les livres que j’ai lus m’ont donné envie d’écrire, le rêve d’écrire, si je dois opter pour un parmi tous, je choisirai la série Court of Thorns and roses de Sarah J Maas.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

sérieuse- déterminée-patiente

6.Quelle est votre citation favorite ?

« Continue d’avancer, ne t’arrête pas, car avancer c’est aller vers la perfection. Marche sans craindre les épines ou les pierres tranchantes dont est parsemé le sentier de la vie » Gibran Khalil Gibran.

7.Quel est votre rituel d’écriture ?

Je place des photos de personnes qui me sont chères près de moi. Et je bois beaucoup de thé !

8.Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Les ombres de l’océan auront le dernier mot est le premier tome d’une trilogie. Donc actuellement j’ai terminé le deuxième et écrit la moitié du troisième.

9.Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

C’est mon premier livre donc je ne connaissais pas particulièrement le système. Je l’ai envoyé par e-mail à une quarantaine d’éditeurs. Puis, j’ai établi un tableau de comparaisons des dix maisons d’édition qui souhaitaient imprimer mon livre et j’ai choisi le contrat qui me semblait le plus approprié.

10.Le mot de la fin ?

La récompense de mon livre est de permettre aux lecteurs de s’évader en le lisant, et il m’octroie l’apothéose : le bonheur de donner du plaisir.

 

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Bien sûr. “Un chemin en Afrique, une porte sur le monde” est un libre qui parle d’Afrique du XXIe siècle, de ses conflits, de son potentiel puisque ce continent est la région du futur.

Je parle également de mon expérience vécue en Afrique Centrale, notamment en République du Congo où j´ai développé plusieurs plateformes internationales dans lesquelles la diplomatie culturelle, le développement durable, la paix, la gouvernance, l´environnement et la démocratie étaient les thèmes importants.

C´est un livre qui vise à montrer l´autre facette de l´histoire africaine, une histoire différente de celle qui a été vendue dans le monde. L´Afrique est noble, ainsi que sa diaspora, avec laquelle peut se construire toute une diplomatie culturelle qui permettrait à ce continent et à sa diaspora, ainsi qu´aux pays qui possèdent cet héritage africain, de devenir une puissance douce, puisque la culture est le quatrième pilier du développement durable, un thème fondamental dans l´ordre international actuel et qui est également gérée par l´UNESCO.

L’histoire de l’Afrique est similaire à l’histoire de certains pays du monde, notamment de la Colombie et de l’Amérique latine, c’est une histoire qui ne peut se répéter, nous devons donc en tirer des leçons pour avancer et obtenir la paix et le développement.

  1. Quel message souhaitez-vous transmettre au lecteur ?

Racontez l’autre histoire que l’on ne connaît pas sur l’Afrique, car, comme le souligne l’écrivain nigérian Chimamanda Adichie, il y a un danger à ne connaître qu’une seule histoire. Le monde connaît la misère, les dictatures et les guerres en Afrique, mais pas son importance géopolitique, sa véritable histoire, son potentiel, sa richesse, la force de sa culture et sa magie.

  1. Quelles sont vos sources d’inspiration ?

J´ai vécu en Afrique et c´était ma principale source d´inspiration. Apprenez à connaître ses habitants, ses réalités, sa culture, ses acteurs et son environnement.

  1. Quel livre vous a donné envie d’écrire ?

Aucun livre particulier ne m’a incité à écrire mon livre. Ce qui m´a motivé, c´est de constater l´injustice avec laquelle le monde a traité et considéré l´Afrique. La dette que de nombreux acteurs internationaux ont envers ce continent merveilleux mais, hélas incompréhensible pour cerrtains.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je pense avoir 4 forces : la force de l´amour, la créativité, la persévérance et la solidarité.

  1. Quelle est votre citation préférée ?

Dans mon livre, ma citation préférée est la suivante : « lors de la conférence de Berlin, les métropoles se sont partagé le continent africain comme un gâteau ».

Mais j’ai aussi trois citations célèbres de Nelson Mandela que j’aime beaucoup et ce sont :

  1. “Il ne devrait jamais arriver que cette belle terre subisse l’oppression d’une personne par une autre”.
  2. “Nous devons utiliser le temps à bon escient et réaliser que c´est toujours le bon moment pour bien faire les choses.”
  3. “ L’éducation est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde”.
  4. Quel est votre rituel d’écriture ?

Pour moi, écrire produit une extase totale, et pour cela il faut choisir un sujet qui est intéressant, rechercher et forger ses propres critères pour pouvoir les transmettre avec toute l´éthique, le professionnalisme et la véracité du cas. Les livres sont vos meilleurs amis, ils vous enseignent et ne vous trahissent jamais, ils vous libèrent aussi. Je consacre le plus de temps possible dans ma vie quotidienne à l´écriture.

Je considère que l´écriture est une manière d´appeler à la réflexion, à l´analyse et à la réflexion sur la construction de nouvelles réalités plus justes, solidaires, respectueuses et inclusives.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J´écris actuellement un livre portant sur la validité ou non de l´ordre international libéral actuel, ce que l’on peut retenir de cet ordre et ce que nous devrions réformer. Je passe du micro au macro. C´est-à-dire, à partir du cas particulier de mon père victime de violence partisane en Colombie en 1948, pour expliquer comment les problèmes internes sont parfois le résultat de l´influence d´acteurs internationaux qui déstabilisent au profit de leurs propres intérêts internes et géopolitiques.

  1. Comment s’est passé le choix de votre éditeur ?

J´étudiais différentes alternatives et je considérais que mes maisons d´édition en Colombie et à Paris répondaient aux attentes que je recherchais. Par ailleurs chacune d’entre elles dispose de publications dans les domaines politiques, sociaux et culturels qui correspondent sur le fond, à mes orientations.

  1. Le mot de la fin ?

Si nous voulons parvenir à la paix dans le monde, nous devons être plus inclusifs, promouvoir la coopération Sud-Sud, corriger les erreurs historiques laissées par le colonialisme dans le monde, favoriser la démocratie, renforcer les droits de l’homme et permettre un meilleur équilibre entre les différents acteurs du monde dans le contexte international.

Il est urgent de moderniser l’ONU, en permettant aux voix des pays que les puissances hégémoniques ont réduit au silence de se faire entendre.

Un ordre international plus juste, équitable et inclusif est nécessaire.

L´Afrique continue d´être un acteur fondamental du monde géopolitique que la communauté internationale doit traiter avec dignité. L´Amérique latine et les Caraïbes, et en particulier la Colombie, doivent sérieusement envisager de renforcer leurs relations diplomatiques avec l´Afrique en l´incluant comme un acteur fondamental dans leurs politiques de relations extérieures, car ce continent est la région du futur.

Il est important de permettre aux pays Africains de résoudre eux-mêmes leurs conflits internes sans ingérence étrangère, car l’histoire a montré que leur ingérence au lieu d’aider a été désastreuse, à quelques honorables exceptions près.

Le monde, et en particulier l’Afrique et l’Amérique latine, ne doivent pas permettre davantage de colonialisme de la part d’un quelconque acteur international dans leurs pays et régions, car cela signifierait continuer à répéter l’histoire qui les a conduits à la guerre, à l’ingouvernabilité, aux dictatures et hélas a la pauvreté socio-économique que le monde décrie sans agir à la mesure des nécessités et de ses responsabilités.

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Un mariage heureux, de beaux enfants, une situation confortable.

Dans le monde de Jeanne, tout est harmonie jusqu’au jour où tout s’écroule.

Mais comme la roue de la vie tourne sans interruption, l’espoir renaît, sombre à nouveau puis jaillit encore.

Jeanne, toujours, reste sur le qui-vive, prête à arracher toute miette de bonheur qui passera à sa portée.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Arracher toute miette de bonheur qui passe à votre portée.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mes rêves, ma vie.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Tous, un peu, passionnément.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Sensible, ferme, tenace.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Sic transit gloria mundi.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Une feuille, une plume, la prairie ; une feuille, une plume, le bois.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Ce que l’inspiration et la vie m’apporteront.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

C’est elle qui m’a choisi.

  1. Le mot de la fin ?

Qu’il n’y en ait pas.

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon livre est d’abord un témoignage Vécu. Je dis au lecteur : voici ce qu’a été un enfant, un adolescent, un jeune professeur, moi bien sûr, et tous les miens, nés et enracinés en Algérie depuis le milieu du XIX° siècle. Ce pays était le nôtre comme il l’était aux Arabes et aux Kabyles ; nous formions avec des centaines de milliers d’autres un peuple authentique, le peuple pied-noir. Cette vérité, pourtant fondamentale, a été niée, ce peuple calomnié.

Ce livre est aussi un avertissement pour la France d’aujourd’hui. Il est temps pour les Français d’aujourd’hui d’ouvrir les yeux : les forces de destruction de 1962 sont à l’œuvre sur notre territoire.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

La réponse précédente répond en partie à votre question. Prolongeons l’analyse : l’abandon de l’Algérie au prix d’un « génocide géographique » - tout en révélant la soumission de la France à la fatalité historique (« c’était inéluctable », a dit en 1962 et dit encore en 2024 notre vieux pays fatigué et berné), cet abandon nous rapproche peu à peu de notre soumission face à une civilisation conquérante, l’Islam, sous la forme la plus intolérante : l’islamisme.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La principale source d’inspiration c’est l’homme qui a vécu longtemps et qui pense comprendre la tragédie qui s’est passée en 1962 et celle qui se joue aujourd’hui. Aussi toute la première partie du livre est largement autobiographique.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Aucun livre en particulier de l’ensemble de mes lectures, mais émergent de ces dernières des livres de réflexion écrits par des hommes d’action, A. Camus, Saint-Exupéry, l’auteur de « Citadelle » (œuvre peu connue), Soljénitsine, saint Jean-Paul II…

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

J’y aspire mais je ne le suis pas : bienveillance (envers tous les êtres vivants sur terre, les êtres humains d’abord), l’amour du monde (qui se confond avec l’amour du Beau), l’énergie qu’il me faut maintenant chercher en moi-même.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« Je ne connais pas ce qu’est le cœur d’une canaille mais je connais ce qu’est le cœur d’un honnête homme, et c’est abominable ». (Joseph de Maistre)

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’écris dans la complète solitude et le plus complet silence, dans un lieu clos ; Je suis incapable d’écrire devant un beau paysage.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

L’avenir appartient à Dieu.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

C’est un mien cousin – découvert bien tard — qui m’a incité à l’imiter : il est l’auteur d’un livre élégant et émouvant sur notre ville natale, Philippeville (devenu Skikda), livre édité par les Éditions du Panthéon. Peut-être aussi que le nom de « Panthéon » m’a fait rêver, « si moi aussi… me suis-je dit (rions un peu).

  1. Le mot de la fin ?

À la grâce de Dieu !

Si vous étiez un livre, vous seriez…

« La Galaxie Gutenberg » de Marshall McLuhan. Un auteur qui cherchait les causes à des effets. Ou encore « La peste » d’Albert Camus.

Si vous étiez une citation, vous seriez… 

« Car Je est un autre. Si le cuivre s’éveille clairon, il n’y a rien de sa faute. » D’Arthur Rimbaud, Correspondance : Lettre du Voyant, à Paul Demeny, 15 mai 1871. Rimbaud marque ainsi la naissance du « moi » et de l’individualité. 

Si vous étiez un marque-page, vous seriez… 

J’hésite entre le marque-page de « Ainsi parlait Zarathoustra » de Friedrich Nietzsche et de « l’Épopée de Gilgamesh ».

Si vous étiez un discours, vous seriez…

Celui de Winston Churchill alors qu’il rend hommage aux aviateurs : « Jamais tant de gens n’ont dû autant à si peu. » J’applique cette phrase aux novateurs à qui nous devons ce que nous sommes.

Si vous étiez une collection, vous seriez…

La collection des Premières Nations, précoloniale de l’Amérique septentrionale, plus particulièrement celle des tribus de la Colombie-Britannique conservée au Musée d’histoire du Canada. Ou encore, l’ensemble des œuvres détruites par le colonialisme européen, plus particulièrement les codex indigènes.

Si vous étiez un papier, vous seriez…

Un papier buvard, car j’aime la citation de Paul Valéry : « Rien de plus original, rien de plus “soi” que de se nourrir des autres. Mais il faut les digérer. Le lion est fait de mouton assimilé. » (Tel quel)

Si vous étiez une bibliothèque, vous seriez…

Reconstituer celle d’Alexandrie et rendre publique celle du Vatican.

Si vous étiez une recette, vous seriez…

Celle qui ferait qu’il n’y ait plus de racisme, plus d’exploitants, que l’on respecte tout le « vivant » et que tous les humains soient égaux.

Si vous étiez un titre de livre, vous seriez…

Dictionnaire historique de toutes les langues, produit par Alain Rey avec la collaboration de Louis Létourneau

L’histoire des encyclopédies, en étant celle de Diderot, Encyclopédie du dix-neuvième siècle de 1877, Encyclopédie Universalis, et Wikipédia.

L’ensemble des publications du National Geographic et de la revue Nature