Entretiens

1 - Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Voici le résumé : Dans ce vaudeville aux accents de polar, René Dassonville nous mène à la rencontre de deux couples que tout relie à leur insu. Adultère, chantage, quiproquos à répétition, on se délecte des mésaventures de ces personnages jusqu’à ce que le drame frappe : un homicide a lieu. La situation prend alors un tour bien plus sérieux… Le commissaire Arsène Pierrot arrivera-t-il à démasquer le ou la coupable, dont les traces ont été plus qu’impeccablement brouillées ?

2 - Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Aucun. Je souhaite seulement apporter, si c’est possible, un peu de joie, un peu de rêve, un peu d’émotion.

3 - Quelles sont vos sources d’inspiration ?

La nature, les animaux, l’amour, l’humour.

4 - Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Tous ceux que j’ai lus à huit, dix ans. S’il faut en citer un : « Les trois mousquetaires ». Et après les œuvres d’une foule d’écrivains, de poètes.

5 - Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Réaliste, mais rêveur, goût pour l’humour.

6 - Quel est votre citation préférée ?

L’homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux. (Alphons de Lamartine)

7 - Quel est votre rituel d’écriture.

Aucun. J’écris, ou j’essaie d’écrire, quand j’en sens en moi le besoin et qu’une certaine inspiration est au rendez-vous.

8 - Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Écrire une nouvelle comédie policière et d’autres poésies et nouvelles.

9 - Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

L’impression que les Éditions du Panthéon s'occupent bien de la promotion des ouvrages.

10 - Le mot de la fin ?

Le mot de la fin ? Vive les mots ! Compagnons de jeux, compagnons de rêve.

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  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

On suit l’histoire de Ruby Ever, une guerrière du village de Orr. Méprisée de tous bien que l’une des guerrières les plus efficaces, elle se lie d’amitié avec l’une de ses ennemies.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

C’est compliqué à dire. Je dirais que plus de la moitié de mes idées viennent naturellement, tandis que l’autre vient de situations qui m’intéressent dans la vie ou dans d’autres œuvres de fiction. Je me dis « J’aime cette idée, comment est-ce que je peux partir de ce matériel de base et l’intégrer dans mon récit ? »

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Il n’y a pas vraiment un livre qui m’a donné envie d’écrire. J’ai l’habitude de lire depuis que j’ai appris à le faire et à m’inventer des histoires. Dès que j’ai commencé à écrire, j’ai trouvé cela très naturel et n’ai pas arrêté depuis.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je dirais que je suis solitaire, imaginative et ancrée dans l’imaginaire.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« Le problème c’est pas le problème. Le problème c’est ton attitude face au problème. » Jack Sparrow

  1. Quel est votre mot préféré ?

Irréalité

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je ne possède pas de rituel d’écriture particulier, j’écris quand j’en ai envie.

  1. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Harry Potter

  1. Stylo ou clavier ?

Les deux, j’écris en premier lieu sur papier, pour ensuite retranscrire le tout sur ordinateur.

  1. Le mot de la fin ?

J’espère que mon livre vous plaira.

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’agit initialement d’un roman dont le projet a commencé il y a plus d’une dizaine d’années.

Il a connu des évolutions au fil des années et au gré de mes évolutions personnelles pour aujourd’hui devenir un recueil de poésies reposant sur différentes thématiques et abordant des problèmes récurrents de notre société actuelle.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Il conviendrait davantage de parler d’analyse que de message.

L’analyse transversale de la société actuelle et des états d’âmes dont je fais la mise en abyme, sont la mise en « miroir » de nos propres turpitudes.

J’essaye simplement au travers d’un travail périlleux, d’être le reflet écrit de la mosaïque de ressentiments auquel nous sommes soumis.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

On peut dire que j’ai deux sources d’inspiration.

Une sur le plan littéraire, une sur le plan personnel.

Sur le plan littéraire, Alfred de Musset, qui m’a beaucoup influencé tout au long de mon travail d’écriture et que j’ai d’ailleurs pris pour habitude de reprendre à plusieurs moments au sein de La comptine des lucioles.

Sur le plan personnel, une personne chère à mon cœur, Brigitte Cohen.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Les ouvrages qui m’ont donné envie d’écrire sont multiples.

J’ai toujours été influencée par les grands dramaturges Français.

L’influence d’Alfred de Musset est particulièrement présente dans mon travail : les Caprices de Marianne, On ne badine pas avec l’amour, mais c’est surtout Confessions d’un enfant du siècle qui a eu une résonnance et un impact considérable sur mon écriture et mon travail et d’autre part, Paroles de Jacques Prévert.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Spontanéité, pugnacité et authenticité.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« Les folies sont les seules choses qu’on ne regrettent jamais » D’Oscar Wild.

Cette citation me correspond assez bien.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Mon rituel d’écriture serait tout simplement de ne pas en avoir.

Me concernant, la créativité et l’imagination sont du domaine de l’instinct, cela ne se prépare pas, ne se commande pas, cela s’impose à moi de manière spontanée, instantanée survenant sur l’instant. Il n’y a pas d’organisation chez moi, je parlerais plus d’une « organisation désorganisée ».

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai plusieurs projets d’écriture en cours, j’adore travailler sur plusieurs projets simultanément, être continuellement en orbite.

Il y en a un qui est plus particulièrement en train de se concrétiser, un nouvel ouvrage, sur lequel je reviendrais prochainement dans la continuité de mon étude expérimentale analytique et sentimentale.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Le chemin de vie de La comptine s’est fait en plusieurs étapes, saccadées, entrecoupées, entre les différentes phases du confinement qui est venu influer sur le parcours de l’ouvrage. Ce dernier a évolué aux fils des mois. Il y a eu dans un premier temps le travail de réécriture en amont qui a été fait, en passant du roman initial, au recueil de poésie. Puis la phase de l’envoi dans un second temps, je me suis finalement résolue à l’envoyer à plusieurs maisons d’édition, 15 au total et j’ai eu la chance et l’immense surprise de recevoir plus de 13 réponses positives avec contrat à la clé.

Mon choix s’est porté sur les Editions du Panthéon, me reposant sur la renommée, le prestige et l’histoire de la maison.

Ces trois points se regroupant au sein de Panthéon, la volonté d’appartenance à une maison qui encourage les nouveaux auteurs aux sortir de la seconde Guerre Mondiale a été pour moi d’une évidence limpide.

  1. Le mot de la fin ?

Je profite de cette interview pour remercier les Editions du Panthéon pour la confiance qui m’a été accordée, pour le chemin que nous avons parcouru ensemble et d’avoir cru en ce projet, en ce rêve qui a enfin pu voir le jour et dont je suis très fière aujourd’hui.

Découvrir "La Comptine des Lucioles" : https://bit.ly/3JiUq5U

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

 A l’âge de vingt-trois ans, j’ai accepté un contrat de travail expatrié au Gabon dans  le domaine de l’électronique radio et télévision. Propulsé au volant d’un 4x4 chargé de matériel technique, j’ai connu, durant cinq ans, les pires galères sur des pistes défoncées. Partageant mon existence, un chauffeur de grumier d’origine Anglaise décrit ce qu'a été ma vie.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

En dehors de mes commentaires sur l'actualité politique de cette époque, véhiculée par un poste de radio branché en permanence dans notre véhicule, je tente de faire passer le message suivant : l’Afrique des safaris touristiques n’a rien à voir avec les strictes réalités d’un terrain étranger pour nous,  et que les us et coutumes de ces peuples de la brousse ne sont jamais décrits dans les catalogues d’agences de voyage.

En dernier lieu, un sujet encore et vraisemblablement de plus en plus préoccupant : celui de la déforestation massive des forêts primaires. Le Gabon est l'exemple d'un petit pays mais l'Amazonie est beaucoup plus grande. Tout cela au profit de gouvernements totalitaires...

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Deux grands titres ont croisé ma route :

La mémoire du fleuve.

L’avion du blanc.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Particules élémentaires de Michel Houellebecq. J'ai tout lu de lui.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

 1 : Déterminé.

2 : Authentique.

3 : Critique.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

 Je la détiens d’un ancien ami à Madagascar :

"Tu sais, ici tu arrives avec une grosse fortune et tu en repars avec une petite, voire rien !"

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Pour ce premier roman, j'ai écrit uniquement la nuit, dans le silence le plus absolu.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J'ai achevé mon second roman fin octobre 2021. Dans un tout autre style et axé sur la réflexion philosophique du clonage des âmes humaines, via des expériences réalisées par des extraterrestres aux quatre coins de notre planète. Mais je n'ai pas abandonné mon esprit critique sur les sujets politiques, économiques et écologiques, que nous découvrirons sous le prisme de l'an 2042.

Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Je n'ai rien laissé au hasard, et je pense avoir trouvé l'une des meilleures.

  • Le mot de la fin ?

Suite au travail réalisé ensemble, je souhaite que nos efforts communs portent leurs fruits et que "Toi qui m'attends" ne soit pas ma dernière oeuvre.

Découvrir "Toi qui m'attends" de Peter Jagger : https://www.editions-pantheon.fr/catalogue/toi-qui-mattends/

Écrivez-nous 2, 3 lignes biographiques.

Mon premier amour a été la littérature, à l’âge de 8 ans j’avais déjà deux cahiers de poèmes, que j’avais écrits, et un agenda rempli de citations. Plus tardivement, à 20 ans, j’ai rencontré l’art, une rencontre fusionnelle, un coup de foudre que le temps n’a fait que rendre plus fervent.

 Si vous étiez un livre, vous seriez

La princesse de Clèves, Madame de Lafayette

 Si vous étiez une citation

Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours. Gandhi

 Si vous étiez un marque-page

Une plume de flamant rose

 Si vous étiez un discours

Sans doute Pro Milone, Cicéron

 Si vous étiez une collection

Barnes & Noble Classics Collection

 Si vous étiez un papier

Une boule de papier froissé

 Si vous étiez une bibliothèque

La bibliothèque de Babel

 Si vous étiez une recette

Un mille-feuille

 Si vous étiez un titre de livre

Le roi s’amuse, Hugo

Découvrir Esthétique de l'art invisuel de Corina Chutaux Mila : https://bit.ly/3AVZ074

 

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre "Nature et Humanité - Essai poétique" ?

Ecriture poétique : une autre façon de parler de la Nature et de l’humanité qui me tenait à cœur.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Chaque personne a sa part d’implication quant à l’évolution des mœurs et la vie sur notre planète.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Avec une enfance à la campagne, la nature. Et les comportements humains.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Le meilleur de soi de Guy Corneau.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Le savoir    l’humanisme   l’esthétique

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Il n’y a point de chemin vers le bonheur

Le bonheur, c’est le chemin

LA0-TSEU

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Quelle que soit l’heure, ou le lieu : feuille et crayon.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Récits de voyages effectués dans différents pays (Europe, Afrique, Amérique).

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Contacts téléphoniques convaincants.

  1. Le mot de la fin ?

Espérance.

Pouvez-vous nous présenter votre livre ? 

Un roman où trône la magie sous toutes ses formes. Où les amis imaginaires ne sont pas qu'une simple passade enfantine. Bien au contraire, elle changera la vie de la personne dotée de ce don à jamais.

Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ? 

Qu'il faut prendre le temps de voir ce qui est bien souvent invisible.

Quelles sont vos sources d'inspiration ? 

La nature, la musique, un événement dans ma vie.

Quel est le livre qui vous a donné envie d'écrire ? 

Aucun en particulier et tous à la fois.

Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Rêveuse, râleuse, réservée.

Quelle est votre citation favorite ?

La magie est partout, il suffit de bien regarder.

Quel est votre rituel d'écriture ?

Je n'ai pas de rituel. Cela arrive parfois au réveil, en marchant, etc… Je dois juste écrire immédiatement ce qui me traverse la tête sous peine de l'oublier.

Quels sont vos projets d'écriture pour l'avenir ?

Le tome 2 étant en préparation pour la publication, je dirais faire le tome suivant.

Comment s'est fait le choix de votre maison d'édition ?

Un bon sentiment lors de notre première communication téléphonique. Ils étaient à l'écoute de la débutante que je suis. Ils permettent aussi aux rêveurs de réaliser leur projet sans jugement.

Le mot de la fin ?

Un grand merci à toutes les personnes qui m'ont soutenue et motivée. Sans eux, ce livre n'aurait pas pu voir le jour.

Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Un ouvrier déprimé par le départ de sa femme, un sans-abri bohème et son petit chien, une jeune orpheline trop souvent punie : rien ne semblait pouvoir lier un jour ces trois personnages et pourtant, l'existence prend parfois d'étranges virages... C'est un roman plein de tendresse et d'émotion qui célèbre avec une poignante douceur le hasard et les miracles de la vie.

Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Pierre Bellemare. Quand il racontait ses histoires, il nous les faisait vivre. Cela m'a donné envie de créer mes propres personnages et de les faire se rencontrer.

Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Les Quatre Filles du docteur March, de Louisa May Alcott.

Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Sincère, réfléchie, passionnée.

Quelle est votre citation favorite ?

« Vivre sans espoir c'est cesser de vivre », de Fiodor Dostoïevski.

Quel est votre mot préféré ?

Espoir.

Stylo ou clavier ?

Stylo.

Le mot de la fin ?

Persévérer.

AVIS EDITEUR : Quel peut être le lien entre trois personnages que rien ne semblait réunir ? Marie Paviot nous propose de partir à la découverte des heureux hasards de la vie dans ce roman d’une grande douceur.

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’agit d’un témoignage, de mon histoire avec la Gendarmerie. La grande muette.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mon inspiration, c’est ma dignité, car celle-ci a été plus que bafouée.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Aucun.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Opiniâtre, injustice, juste.

5. Quelle est votre citation favorite ?

Ce sont nos choix qui dirigent notre vie et non l’inverse.

6. Quel est votre mot préféré ?

Injustice.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Le soir.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Un bon polar.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier.

10. Le mot de la fin ?

Posez-vous la question, comment est-ce possible, qu’à l’aube du siècle, on puisse agir de la sorte.

AVIS EDITEUR : Un témoignage puissant dans lequel l'auteur, en colère contre l'injustice d'un système, n'hésite pas à dénoncer les dysfonctionnements de la Gendarmerie, cette institution militaire qui parfois se révèle être une véritable machine à broyer.

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

« Pierrot Le SDF » inspiré d'une histoire réelle. Il y a 40 ans, un SDF vivait à Paris, près de l'église Alésia. Je discutais souvent avec lui et son aventure m'avait appris qu'il fallait toujours s'accrocher à la vie même quand elle basculait.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Des maraudes réalisées en plein hiver avec la Croix Rouge, le bénévolat pour l’association La Cimade et les encouragements de mon fils Kamel (co-auteur).

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

« Quand la Chine s'éveillera, le monde tremblera » d’Alain Peyrefitte.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Communication. Partage. Vivre-ensemble.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« Tout ce qui peut être fait un autre jour, le peut être aujourd'hui » De Michel de Montaigne.

6. Quel est votre mot préféré ?

Tolérance.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Bien installé sous un arbre, nageant dans le silence et une tasse de thé à la menthe à portée de main.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Le jour où l'Afrique se réveillera, le sens de l'immigration s'inversera.

9. Stylo ou clavier ?

Clavier.

10. Le mot de la fin ?

Vaut mieux être un SDF dans certains pays pauvres d'Afrique que dans certains pays riches d'Europe où le verbe partager ne se conjugue plus au présent.

AVIS EDITEUR : Un récit touchant écrit à quatre mains entre le père et le fils, d'où se dégage une analyse lucide mais remplie d'espoir sur la société actuelle et sur le monde professionnel.

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Bachir Habiballah