Pouvez-vous nous présenter votre livre
C’est l’histoire de deux enfants laissés à eux-mêmes dans le Montréal des années 1960 et, pour lesquels, tout est un jeu. Ils évoluent dans un quartier chaud où ils rencontreront différents personnages, bandits, prostituées qui deviendront leur famille de remplacement. Le thème principal du roman c’est l’innocence. Qu’ils se prostituent ou qu’ils volent, ils vivent dans l’absence totale de moralité, la moralité des « gens bien ».
Quel message voulez-vous transmettre au lecteur?
Je ne suis pas porteur de message. Cependant, si le roman est porteur de message, il s’agirait d’un message de tolérance.
Quelles sont vos sources d’inspiration?
L’enfance assurément. J’y reviens constamment comme pour réparer quelque chose.
Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire?
J’écris depuis toujours donc, sûrement des livres jeunesse comme les Bob Morane dont je possédais toute la collection à l’époque. Le roman qui m’a le plus marqué et qui m’a vraiment donné le goût d’écrire c’est Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline mais aussi La crucifixion en rose (Nexus, Plexus, Sexus) d’Henry Miller.
Si vous deviez vous décrire en trois mots…
Créatif, polyvalent, québécois
Quelle est votre citation favorite?
Léonard Cohen
“There is a crack in everything that’s how the light gets in.”
Quel est votre rituel d’écriture?
Je n’en ai pas vraiment si ce n’est m’obliger d’écrire au moins une heure par jour, le matin. Ensuite, c’est selon les idées qui me viennent, ce qui fait que je peux écrire des heures durant ou ne rien écrire du tout.
Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir?
Je travaille actuellement sur un recueil de nouvelles et sur un recueil de poèmes.
Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition?
Une ligne lancée au hasard.
Le mot de la fin?
Fin.
Découvrir "Le camion à ordures et le porte-conteneurs" : https://bit.ly/3zAYA73