Rencontre avec Ibrahima Manda Doukouré

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

L’œuvre, Kandja – L’enfant Sarakollé en Guinée, est un livre qui décrit d’une façon chronologique l’origine à travers ses ancêtres et l’enfance de l’auteur ainsi que les trois villages Sarakollés en Guinée et leurs cultures. Elle insiste aussi sur la bonne éducation et la responsabilité juvénile pour sa bonne insertion sociale ainsi que les problématiques et les solutions au système éducatif guinéen. Enfin, elle utilise un peu de la politique pour faire une étude partielle et comparative de la Guinée et du Sénégal.

 

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Tout d’abord, il s’agit de parler du peuple Sarakolé qui joua un important rôle dans l’histoire ouest-africaine à travers l’empire du Ghana, et leurs coutumes en Guinée d’aujourd’hui à travers l’enfance de l’auteur. Aussi, il pense aussi expliquer l’importance de l’éducation dans l’enfance qui consiste un soubassement à la formation du futur homme ou de la future femme responsable dans la société.

 

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La religion, les sages conseils des vieux africains et ma propre expérience m’ont inspiré dans la rédaction de ce roman.

 

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

L’enfant noir de mon compatriote Camara Laye.

 

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Chercheur, éducateur et transmetteur.

 

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« Malheureusement, la société est constituée de personnes n’ayant absolument la même pensée ni n’agissent guère de la même manière. C’est pourquoi les coutumes autrefois et les lois aujourd’hui sont nécessaires pour harmoniser les excellences pratiques sociales et prévoir les mauvaises pour les punir. »

 

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

J’aime choisir d’abord le titre principal, les titres des chapitres, écrire tout ce qui vient en tête, et pour finir par les développer et organiser.

 

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’aimerais écrire sur de la religion, de la politique et de l’économie.

 

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Cette maison d’Édition a déjà publié le roman d’une compatriote M’mah Soumah et il a été très bien fait.

10.Le mot de la fin ?

Il a été un honneur pour moi de publier mon premier roman et je remercie la maison, Les éditions des Panthéons pour leurs aides inestimables durant tout le processus.

 

 

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