Rencontre avec Djeh Pyco, auteur de « Péripéties d’une vie »

1.Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Le titre de mon livre est Péripéties d’une vie. Il a été édité et publié le 20 juin 2019 par les Éditions du Panthéon. Ce roman est un prétexte pour plaider la culture de valeurs plurielles dans le système scolaire afin que cela déteigne sur la société toute entière.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Mes sources d’inspirations sont variées. Elles se situent dans les faits de société de mes expériences personnelles d’acteur du système scolaire. Ces expériences-là sont allongées de celles qui me sont rapportées, pour écrire le livre.

3. Quel livre vous a donné envie d'écrire ? 

Le livre qui m'a donné envie d'écrire est le roman autobiographique de Camara Laye, auteur Guinéen, dont l'œuvre est intitulée L'ENFANT NOIR.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Je suis un homme curieux de connaître tout ce qui a trait à la culture africaine aux fins de valorisation ou promotion. Homme, acquisition, réinvestissement.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« On n'a jamais une seconde chance de faire une première bonne impression ! » (Zofia)

Sept jours pour une éternité... de Marc Levy

6. Quel est votre mot préféré ?

Je préfère le mot "écriture" pour me réconcilier avec mon inclination naturelle.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je me donne d’observer avec circonspection toute situation qui se présente à moi. Mon rituel d’écriture procède alors de la description elliptique ou caricaturale de la chose observée. C’est ainsi que je construis le narratif de chacune des situations qui font mes textes.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

J’aurais aimé écrire un livre qui ressasse à volonté, pour les générations futures de l’humanité, les rites et traditions d’Afrique. Pour ce faire, je vise les expressions de sagesse africaines que sont les aphorismes et les contes. Aphorismes et contes ont indéniablement un caractère constructif de la morale juvénile en vue de l’éducation de la société.

9. Stylo ou clavier ?

Mon premier livre, je l’ai écrit en manuscrit donc au stylo ; les suivants, je les fais en tapuscrit donc avec le clavier. Cependant, je garde constamment un stylo sur moi pour prendre des notes qui sont susceptibles de susciter un livre fait avec le clavier qui est formidable.

10. Le mot de la fin ?

Je ne saurais terminer cette interview sans témoigner gratitude et reconnaissance aux Éditions du Panthéon. En effet, j’ai beaucoup appris en construction syntaxique pendant les travaux préparatoires à la publication de Péripéties d’une vie.

J’adresse de chaleureuses salutations à ces femmes et ces hommes qui nous font l’honneur et l’amitié de nous suivre à travers ces lignes. Je vous remercie.

Découvrir "Péripéties d'une vie" : https://bit.ly/3N71m9l

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