- Pouvez-vous nous présenter votre livre ?
Ce roman, La Tour de la Miséricorde, raconte l’histoire d’un homme confronté à résoudre des énigmes pour atteindre une tour infernale où il pourra trouver son salut. J’écris pour divertir, distraire des vicissitudes du quotidien, en invitant le lecteur dans un voyage imaginaire basé sur la mythologie grecque. C’est une histoire qui présente des intrigues à résoudre pour avancer dans ce pays où l’état de l’être est entre la vie et la mort.
- Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?
Il n’y a pas de message particulier sinon une proposition de réflexion sur le sens de l’existence et l’aboutissement de la vie dans sa dernière durée. C’est aussi une analyse sur la sagesse et la vérité. C’est davantage un questionnement que des certitudes.
- Quelles sont vos sources d’inspirations ?
Je m’inspire beaucoup de l’histoire et des enseignements qu’elle nous propose. Il y a aussi les découvertes scientifiques qui nous confrontent dans notre réalité. Les recherches en neurologie nous apprennent comment le cerveau fonctionne notamment dans les derniers moments de notre vie. La sagesse des philosophes grecques nous enseigne comment les anticiper et comment trouver une certaine sérénité dans l’avancement de notre vie
- Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?
Je ne me souviens plus exactement quel livre m’a le plus donner envie d’écrire. À l’adolescence, les romans qui m’ont le plus marqué sont : L’île mystérieuse de Jules Verne, Gentlemen cambrioleur de Maurice Leblanc et les histoires fantastiques d’Edgar Poe.
- Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?
Ceux qui me connaissent bien, conviennent qu’imaginaire je suis créatif, curieux de tout j’aspire au savoir, et que rigoureux je cherche toujours la vérité et l’ordre.
- Quelle est votre citation favorite ?
In medio stat veritas
J’aime à répéter qu’au centre se trouve la vérité. Je crois qu’en toute chose, il faut éviter les extrêmes qui engendrent le fanatisme.
- Quel est votre rituel d’écriture ?
Ce qui se conçoit bien s’écrit facilement. Conséquemment, le plan des idées est le premier geste narratif qui précède mon rituel d’écriture. Puis il amène les nombreuses recherches tant dans ma bibliothèque, les revues et le Web. Je n’entreprends l’écriture qu’après ces étapes terminées. J’écris à l’ordinateur dans des sessions ne dépassant guère trois heures.
- Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
J’achève actuellement un roman où la race humaine doit se présenter devant un tribunal cosmique pour se défendre des imprécations faites aux lois de la nature. J’ai aussi en tête un roman discutant de la valeur de l’existence humaine.
- Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?
Je cherchais une maison d’édition qui valorisait le roman d’aventures, celui qui divertit et s’encastre aussi dans une philosophie de vie tant personnelle que sociale. Un éditeur pour qui le simple plaisir de lire une écriture harmonieuse et riche en mots est important et constitue une partie structurale de l’œuvre.
- Le mot de la fin ?
Écrire un livre c’est bâtir une cathédrale. En numérique c’est bien, mais tenir entre ses mains un manuscrit, cet objet papier qui contient toutes nos idées et notre labeur, m’impressionne beaucoup plus par sa sensualité.
Note : pour mieux comprendre mon œuvre, je vous suggère de visiter mon site web destiné à l’art d’écriture et de peinture : https://danielsenecalartistecrivain.com