Aux Éditions du Panthéon, nous sommes bien évidemment férus de littérature. Mais pas forcément avec les mêmes goûts ! Petit florilège des livres préférés de l'équipe.
1. Corps et âme de Frank Conroy
Un livre sublime qui arrive à nous faire entendre de la musique avec des mots, qui parle, entre autres, merveilleusement de la différence.
2. La Carte et le territoire de Michel Houellebecq
Un roman à l'architecture complexe et fluide à la fois qui, en tant qu'ancien géographe mais aussi amateur d'art, m'a passionné. Le meilleur Houellebecq de mon point de vue !
3. Au Bonheur des Dames d'Emile Zola
Une machine à remonter le temps sur un sujet de société toujours actuel baigné dans une atmosphère surannée de tissus soies et rubans.
4. Ma famille et autres animaux de Gerald Durrell
Considéré souvent comme un livre jeunesse, « Ma famille et autres animaux », est à recommander à tout adulte normalement constitué. D’abord, on rit, beaucoup. Ensuite, voici un livre que l’on peut offrir à ses enfants. Ils découvrent ainsi qu’ils ne sont pas les seuls à vivre avec des fous notoires.
5. Thésaurus Sous la direction de Daniel Péchon
1176 pages et autant de chemins imaginaires empruntés, à la recherche de sa littérature personnelle et de son vocabulaire intime. Cet ouvrage est sans nul doute le meilleur guide pour trouver le mot juste qui saura développer sa pensée.
6. Un Homme ça ne pleure pas de Faiza Guène
Le parcours d’une famille Algérienne vivant à Nice. Dès le début de l’histoire nos sommes pris dans l’ambiance, pour parfois la ressentir comme une histoire personnelle que nous avons vécu. J’apprécie cet ouvrage car il est à la fois drôle par de petites expressions parsemées dans certains dialogues, parfois émouvant mais surtout très moderne de part les sujets apportés.
7. Le pays où les arbres n’ont pas d’ombre de Katrina Kalda
Trois femmes, trois générations, trois temps. Coupées du monde par un no man’s land infranchissable, chacune puise en elle ce qui donne du sens à la vie, et s’y accroche. Un paysage aussi envoûtant qu’oppressant, rythme la lutte et les respirations de Marie, Astrid et Sabine.